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[[Image:Adolf Hitler.png|thumb|Adolf Hitler]]
'''[[w:Adolf Hitler|Adolf Hitler]]''', né le {{Date|20|avril|1889}} à [[w:Braunau am Inn|Braunau am Inn]], en [[w:Autriche|Autriche]], décédé le {{Date|30|avril|1945}} à [[w:Berlin|Berlin]], est un [[:catégorie:personnalité politique|homme politique]] [[:catégorie:personnalité allemande|allemand]] qui instaure la [[:catégorie:dictateur|dictature]] du [[w:Troisième Reich|Troisième Reich]]. Il fut à l'origine de la [[w:Seconde Guerre mondiale|Seconde Guerre mondiale]].
 
=== Histoire ===
{{Citation|citation=Si le Duce mourrait, ce serait un grand malheur pour l'Italie. Quand on circule avec lui dans la villa Borghèse et qu'on le compare avec les bustes romains, on pense immédiatement : c'est un César ! Il a certainement en lui l'héritage d'un des grands hommes de cette époque.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=27 juillet 1941
|page=142}}
 
{{Citation|citation=Celui qui reste indifférent à l'Histoire est comme privé d'ouïe ou de visage. Assurément, il peut vivre ainsi, mais qu'est-ce qu'une telle vie !. }}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=27 juillet 1941
|page=143}}
 
{{Citation|citation=Berlin, en tant que capitale mondiale, ne pourra se comparer qu'à l'ancienne Egypte, à Babylone ou à Rome; qu'est-ce que Londres, qu'est-ce que Paris à côté de cela ?}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=11 mars 1942
|page=218}}
 
{{Citation|citation=L'Angleterre a contraint Napoléon à faire la guerre, exactement comme avec nous. Si on ne le comprends pas, on ne rend pas justice à Napoléon.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=23 mars 1942
|page=222}}
 
{{Citation|citation=A l'époque ou nos ançêtres fabriquaient des auges en pierre et des cruches en argile, autour desquelles nos archéologues font tant de bruit, on construisait une acropole en Grèce. [...] Les véritables représentants de la civilisation dans les derniers millénaires avant notre ère et dans le premier après, furent les Mediterranéens.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=7 juillet 1942
|page=503}}
 
{{Citation|citation=L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées.}}
{{Réf Livre|titre=Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann
|auteur=Adolf Hitler
|éditeur=Flammarion
|année=1954
|section=1{{er}} août 1942
|page=227}}
 
{{Citation|citation=La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes.}}
{{Réf Livre|titre=Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann
|auteur=Adolf Hitler
|éditeur=Flammarion
|année=1954
|section=28 août 1942
|page=297}}
 
=== Politique étrangère ===
{{Citation|citation=Ils sont d'une outrecuidance inouïe ces Anglais, mais je ne les admire pas moins; nous avons beaucoup à apprendre à cet égard. }}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=10 septembre 1941
|page=156}}
 
{{Citation|citation=La France et l'Italie, battues à tour de rôle et à quelques mois de distance par les deux puissances germaniques, s'en seraient tirées à bon compte. L'une et l'autre auraient dû renoncer à une politique de grandeur hors de saison. Elles eussent renoncé du même coup à leurs prétentions en Afrique du Nord et dans le Proche-Orient, ce qui eût permis à l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam. Quant à l'Angleterre, débarrassée de ses soucis européens,elle pouvait se consacrer entièrement au salut de l'Empire. L'Allemagne enfin, ses arrières étant assurés, pouvait se jeter à corps perdu dans ce qui constituait sa tâche essentielle, le but de ma vie et la raison d'être du national-socialisme: l'écrasement du bolchevisme. Cela entraînait comme conséquence la conquête des espaces, à l'Est, qui doivent assurer l'avenir du peuple allemand.}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=4 février 1945
|page=55}}
 
{{Citation|citation=Les blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples (colonisés), le pire qu'ils pussent leur
apporter, les plaies du monde qui est le nôtre: le matérialisme, le fanatisme, l'alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes [...] Une seule réussite à l'actif des colonisateurs: ils ont partout suscité la haine. Cette haine qui pousse tous ces peuples, réveillés par nous de leur sommeil, à nous chasser. Il semble même qu'ils ne se soient réveillés que pour cela !}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=7 février 1945
|page=71-72}}
 
{{Citation|citation=A aucun prix nous ne devions jouer la carte française contre les peuples qui subissaient le joug de la France. Nous devions au contraire les aider à se libérer de cette tutelle, les y pousser au besoin. Rien ne nous empêchait, en 1940, de faire ce geste dans le Proche-Orient et en Afrique du Nord. Eh bien, notre diplomatie s'est appliquée à consolider le pouvoir des Français aussi bien en Syrie qu'en Tunisie, en Algérie et au Maroc. Nos gentlemen préféraient certainement entretenir des rapports avec des Français distingués plutôt qu'avec des révolutionnaires hirsutes, avec des officiers à badine qui ne songeaient qu'à nous flouer plutôt qu'avec les Arabes - qui eussent été pour nous de loyaux partenaires.}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=14 février 1945
|page=85}}
 
{{Citation|citation=L'allié italien nous a gênés presque partout. C'est ce qui nous a empêchés, en Afrique du Nord, par exemple, de faire une politique révolutionnaire [...] Seuls, nous aurions pu émanciper les pays musulmans dominés par la France. Cela aurait eu un retentissement énorme en Égypte et dans le Proche-Orient asservis par les Anglais. D'avoir notre sort lié à celui des Italiens, cela rendait une telle politique impossible. Tout l'Islam vibrait à l'annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider, pour les pousser même, comme c'eût été notre intérêt et notre devoir. La présence à nos côtés des Italiens nous paralysait, et elle créait un malaise chez nos amis de l'Islam, car ils voyaient en nous des complices, volontaires ou non, de leurs oppresseurs [...] Le souvenir des barbares représailles exercées contre les Senoussis y est toujours vivant. Et d'autre part la ridicule prétention du Duce d'être considéré comme le "Glaive de l'Islam" entretient encore le long ricanement qu'elle suscita avant la guerre. Ce titre qui convient à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l'était fait donner par quelques pauvres bougres, qu'il avait payés ou terrorisés. Il y avait une grande politique à faire à l'égard de l'Islam. C'est raté - comme tant d'autres choses que nous avons ratées par fidélité à l'alliance italienne! Les Italiens, sur ce théâtre d'opérations, nous ont donc empêchés de jouer l'une de nos meilleures cartes: qui consistait à émanciper tous les protégés français et à soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l'enthousiasme dans tout l'Islam. C'est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l'Atlantique à celles du Pacifique.}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=17 février 1945
|page=100}}
 
=== Religion ===
Ligne 87 ⟶ 186 :
|section=13 février 1945
|page=83}}
 
=== Politique étrangère ===
{{Citation|citation=Ils sont d'une outrecuidance inouïe ces Anglais, mais je ne les admire pas moins; nous avons beaucoup à apprendre à cet égard. }}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=10 septembre 1941
|page=156}}
 
{{Citation|citation=La France et l'Italie, battues à tour de rôle et à quelques mois de distance par les deux puissances germaniques, s'en seraient tirées à bon compte. L'une et l'autre auraient dû renoncer à une politique de grandeur hors de saison. Elles eussent renoncé du même coup à leurs prétentions en Afrique du Nord et dans le Proche-Orient, ce qui eût permis à l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam. Quant à l'Angleterre, débarrassée de ses soucis européens,elle pouvait se consacrer entièrement au salut de l'Empire. L'Allemagne enfin, ses arrières étant assurés, pouvait se jeter à corps perdu dans ce qui constituait sa tâche essentielle, le but de ma vie et la raison d'être du national-socialisme: l'écrasement du bolchevisme. Cela entraînait comme conséquence la conquête des espaces, à l'Est, qui doivent assurer l'avenir du peuple allemand.}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=4 février 1945
|page=55}}
 
{{Citation|citation=Les blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples (colonisés), le pire qu'ils pussent leur
apporter, les plaies du monde qui est le nôtre: le matérialisme, le fanatisme, l'alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes [...] Une seule réussite à l'actif des colonisateurs: ils ont partout suscité la haine. Cette haine qui pousse tous ces peuples, réveillés par nous de leur sommeil, à nous chasser. Il semble même qu'ils ne se soient réveillés que pour cela !}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=7 février 1945
|page=71-72}}
 
{{Citation|citation=A aucun prix nous ne devions jouer la carte française contre les peuples qui subissaient le joug de la France. Nous devions au contraire les aider à se libérer de cette tutelle, les y pousser au besoin. Rien ne nous empêchait, en 1940, de faire ce geste dans le Proche-Orient et en Afrique du Nord. Eh bien, notre diplomatie s'est appliquée à consolider le pouvoir des Français aussi bien en Syrie qu'en Tunisie, en Algérie et au Maroc. Nos gentlemen préféraient certainement entretenir des rapports avec des Français distingués plutôt qu'avec des révolutionnaires hirsutes, avec des officiers à badine qui ne songeaient qu'à nous flouer plutôt qu'avec les Arabes - qui eussent été pour nous de loyaux partenaires.}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=14 février 1945
|page=85}}
 
{{Citation|citation=L'allié italien nous a gênés presque partout. C'est ce qui nous a empêchés, en Afrique du Nord, par exemple, de faire une politique révolutionnaire [...] Seuls, nous aurions pu émanciper les pays musulmans dominés par la France. Cela aurait eu un retentissement énorme en Égypte et dans le Proche-Orient asservis par les Anglais. D'avoir notre sort lié à celui des Italiens, cela rendait une telle politique impossible. Tout l'Islam vibrait à l'annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider, pour les pousser même, comme c'eût été notre intérêt et notre devoir. La présence à nos côtés des Italiens nous paralysait, et elle créait un malaise chez nos amis de l'Islam, car ils voyaient en nous des complices, volontaires ou non, de leurs oppresseurs [...] Le souvenir des barbares représailles exercées contre les Senoussis y est toujours vivant. Et d'autre part la ridicule prétention du Duce d'être considéré comme le "Glaive de l'Islam" entretient encore le long ricanement qu'elle suscita avant la guerre. Ce titre qui convient à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l'était fait donner par quelques pauvres bougres, qu'il avait payés ou terrorisés. Il y avait une grande politique à faire à l'égard de l'Islam. C'est raté - comme tant d'autres choses que nous avons ratées par fidélité à l'alliance italienne! Les Italiens, sur ce théâtre d'opérations, nous ont donc empêchés de jouer l'une de nos meilleures cartes: qui consistait à émanciper tous les protégés français et à soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l'enthousiasme dans tout l'Islam. C'est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l'Atlantique à celles du Pacifique.}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=17 février 1945
|page=100}}
 
=== La famille et les femmes ===
Ligne 138 ⟶ 195 :
|section=10 mars 1942
|page=215}}
 
=== Histoire ===
{{Citation|citation=Si le Duce mourrait, ce serait un grand malheur pour l'Italie. Quand on circule avec lui dans la villa Borghèse et qu'on le compare avec les bustes romains, on pense immédiatement : c'est un César ! Il a certainement en lui l'héritage d'un des grands hommes de cette époque.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=27 juillet 1941
|page=142}}
 
{{Citation|citation=Celui qui reste indifférent à l'Histoire est comme privé d'ouïe ou de visage. Assurément, il peut vivre ainsi, mais qu'est-ce qu'une telle vie !. }}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=27 juillet 1941
|page=143}}
 
{{Citation|citation=Berlin, en tant que capitale mondiale, ne pourra se comparer qu'à l'ancienne Egypte, à Babylone ou à Rome; qu'est-ce que Londres, qu'est-ce que Paris à côté de cela ?}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=11 mars 1942
|page=218}}
 
{{Citation|citation=L'Angleterre a contraint Napoléon à faire la guerre, exactement comme avec nous. Si on ne le comprends pas, on ne rend pas justice à Napoléon.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=23 mars 1942
|page=222}}
 
{{Citation|citation=A l'époque ou nos ançêtres fabriquaient des auges en pierre et des cruches en argile, autour desquelles nos archéologues font tant de bruit, on construisait une acropole en Grèce. [...] Les véritables représentants de la civilisation dans les derniers millénaires avant notre ère et dans le premier après, furent les Mediterranéens.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=7 juillet 1942
|page=503}}
 
{{Citation|citation=L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées.}}
{{Réf Livre|titre=Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann
|auteur=Adolf Hitler
|éditeur=Flammarion
|année=1954
|section=1{{er}} août 1942
|page=227}}
 
{{Citation|citation=La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes.}}
{{Réf Livre|titre=Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann
|auteur=Adolf Hitler
|éditeur=Flammarion
|année=1954
|section=28 août 1942
|page=297}}
 
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