« Voltaire » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
citations Essais sur les moeurs à déplacer ds nouvel article... |
→Voltaire et la religion : citations trop longues |
||
Ligne 172 :
{{réf Livre|auteur=Voltaire|titre=Essais sur les Mœurs|éditeur=Moland|année=1875|chapitre=6-De l’Arabie et de Mahomet|page=229|tome=11}}
{{citation|Il est évident que le génie du peuple arabe, mis en mouvement par Mahomet, fit tout de lui-même pendant près de trois siècles, et ressembla en cela au génie des anciens Romains
{{réf Livre|auteur=Voltaire|titre=Essais sur les Mœurs|éditeur=Moland|année=1875|chapitre=6-De l’Arabie et de Mahomet|page=237|tome=11}}
Ligne 219 :
{{citation|Si ces Ismaélites [les Arabes] ressemblaient aux Juifs par l'enthousiasme et la soif du pillage, ils étaient prodigieusement supérieurs par le courage, par la grandeur d'âme, par la magnanimité [...] Ces traits caractérisent une nation. On ne voit au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l'hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d'exercer l'usure avec les étrangers ; et cet esprit d'usure, principe de toute lâcheté, est tellement enracinée dans leurs coeurs, que c'est l'objet continuel des figures qu'ils emploient dans l'espèce d'éloquence qui leur est propre. Leur gloire est de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils peuvent s'emparer. Ils égorgent les vieillards et les enfants ; ils ne réservent que les filles nubiles ; ils assassinent leurs maîtres quand ils sont esclaves ;ils ne savent jamais pardonner quand ils sont vainqueurs : ils sont ennemis du genre humain. Nulle politesse, nulle science, nul art perfectionné dans aucun temps, chez cette nation atroce.}}
{{réf Livre|auteur=Voltaire|titre=Essais sur les Mœurs|éditeur=Moland|année=1875|chapitre=6-De l’Arabie et de Mahomet|page=231|tome=11}}
{{citation|Vous ne trouverez en eux qu’un peuple ignorant et barbare, qui joint depuis longtemps la plus sordide avarice à la plus détestable superstition et à la plus invincible haine pour tous les peuples qui les tolèrent et qui les enrichissent. Il ne faut pourtant pas les brûler.}}
|