« Léon Bloy » : différence entre les versions

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|année=2005
|page=298}}
 
== ''Mon journal'' ==
 
{{citation|citation=Depuis une dizaine de siècles, au moins, il n'y a jamais eu qu'une Question d'Orient, question à triple face et à triple tour. Extermination ou du moins expulsion des Musulmans, extermination des Grecs et conquête du Saint-Sépulcre. Tout le reste est imbécillité et mensonge.}}
 
{{Réf Livre
|titre=Mon journal
|auteur=Léon Bloy
|éditeur=Mercure de France
|année=1904
|page=41}}
 
{{citation|citation=On veut à toute force que je sois un très grand et très haut artiste, dont la principale affaire est d'agiter l'âme de ses contemporains, alors que je suis bonnement un pauvre homme qui cherche son Dieu, en l'appelant avec des sanglots par tous les chemins. J'ai écrit cela de bien des façons et personne n'a voulu me croire...}}
 
{{Réf Livre
|titre=Mon journal
|auteur=Léon Bloy
|éditeur=Mercure de France
|année=1904
|page=124}}
 
{{citation|citation=Lorsque les hommes se réunissent, ils ne font ordinairement rien de noble.}}
 
{{Réf Livre
|titre=Mon journal
|auteur=Léon Bloy
|éditeur=Mercure de France
|année=1904
|page=201}}
 
{{citation|citation=Tout chrétien qui ne regarde pas chaque pauvre comme pouvant être Jésus-Christ doit être tenu pour un protestant.}}
 
{{Réf Livre
|titre=Mon journal
|auteur=Léon Bloy
|éditeur=Mercure de France
|année=1904
|page=269}}
 
{{citation|citation=Voulez-vous savoir ce qu'il y a de vital, de tout à fait essentiel dans l'Église de Jésus-Christ ? Regardez ce que les protestants exècrent.}}
 
{{Réf Livre
|titre=Mon journal
|auteur=Léon Bloy
|éditeur=Mercure de France
|année=1904
|page=293}}
 
== Correspondance ==
 
=== À Georges Landry ===
 
{{citation|citation=Il y a une loi d'équilibre divin, appelée la communion des Saints, en vertu de laquelle le mérite ou le démérite d'une âme, d'une seule âme est réversible sur le monde entier. Cette loi fait de nous absolument des dieux et donne à la vie humaine des proportions du grandiose le plus ineffable. Le plus vil des goujats porte dans le creux de sa main des millions de cœurs et tient sous son pied des millions de têtes de serpents. Cela il le saura au dernier jour. Un homme qui ne prie pas fait un mal inexprimable en tout langue humaine ou angélique. Le silence des lèvres est bien autrement épouvantable que le silence des astres.|précisions=Lettre du 16 octobre 1878 (?).}}
 
{{Réf Livre
|titre=Lettres de jeunesse (1870-1893)
|auteur=Léon Bloy
|éditeur=Édouard-Joseph
|année=1920
|page=98}}
 
{{interprojet|s=Léon Bloy|w=Léon Bloy}}