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'''''Le Désir et le temps''''' est une [[œuvre philosophique]] majeure de [[Nicolas Grimaldi]] parue en 1992.
 
{{citation|Toute philosophie a pour origine quelque déception. Si nous philosophons, c’est parce qu’il y a en nous quelque chose d’inapaisé dont nous sentons que toute notre existence restera hypothéquée tant que nous ne l’aurons pas élucidé.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=7}}
 
{{citation|C'est l'essence de la nature de se séparer de soi, comme l'essence du désir est de refuser le réel.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=155}}
 
{{citation|Par l'éveil du besoin cesse la torpeur de l'immanence.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=187}}
 
{{citation|C'est le ''désir'' qui sépare l'animal de la placidité du réel, et ne lui fait vivre le réel que comme prophétique d'une ''autre'' réalité, ''ailleurs'', ''ultérieure'' vers laquelle tend et se déroule tout le comportement.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=191}}
 
{{citation|Le psychisme dont la transcendance naît dans la douleur du désir et la séparation du désiré vit la satisfaction du désir et le bonheur de la plénitude comme une petite mort. [...] Plus l'esprit est inquiet de désir, moins il peut s'engourdir dans le bonheur de ses petites morts.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=203}}
 
{{citation|L’eau qui nous désaltère dans une solitude ardente est reçue comme autre chose et quelque chose de plus que ce simple apaisement au fond de notre gorge. Elle est apaisante, mais reçue comme pacifiante. Elle met fin à cette rupture qu’en nous la soif mettait avec le monde. Elle met fin à la cruauté de la solitude et au mal du bannissement.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=349}}
 
{{citation|Être sensible aux choses c’est les entendre plutôt que les voir et les rêver plutôt que les sentir.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=395}}
 
{{citation|Les choses inanimées n’ont pas d’âme : c’est nous qui leur prêtons la nôtre.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=397}}
 
{{citation|Dans l’événement, il n’est plus temps de parler pour conjurer ni pour prévenir, et le temps n’est pas encore venu de parler pour expliquer, pour justifier, pour condamner ni pour expier. C’est pourquoi les grands bonheurs et les grands malheurs sont silencieux.}}
{{Réf Livre|titre=Le Désir et le temps
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=Vrin
|année=2006
|année d'origine=1992
|ISBN=2-7116-1104-3
|page=418}}
 
{{DEFAULTSORT:Désir et le temps, Le}}