« Charles Péguy » : différence entre les versions
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{{réf Livre|titre=De Jean Coste|auteur=Charles Péguy|éditeur=Acte Sud Labor L'Aire|collection=Babel|année=1993|page=55}}
== ''Note conjointe sur M. Bergson'' ==
{{citation|Une grande philosophie n’est pas celle qui prononce des jugements définitifs, qui installe une vérité définitive. C’est celle qui introduit une inquiétude, qui ouvre un ébranlement.}}
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{{citation|Le juif est un homme qui lit depuis toujours, le protestant est un homme qui lit depuis Calvin, le catholique est un homme qui lit depuis Ferry.}}
{{réf Livre|titre=Œuvres en prose, 1909-1914|auteur=Charles Péguy|éditeur=Gallimard|collection=Bibliothèque de la Pléiade|année=1959|page=1375}}
== ''Note conjointe sur M. Descartes'' ==
{{citation|Du bois mort, c'est du bois extrêmement habitué. Et une âme morte c'est aussi une âme extrêmement habituée. Du bois mort c'est du bois habitué à sa limite. Et une âme morte c'est aussi une âme habituée à sa limite.}}
{{réf Livre|titre=Œuvres en prose, 1909-1914|auteur=Charles Péguy|éditeur=Gallimard|collection=Bibliothèque de la Pléiade|année=1959|page=1399}}
{{citation|Du bois mort est celui où il ya le plus de matière consacrée à la mémoire. Et la mémoire et l'habitude sont les fourriers de la mort.}}
{{réf Livre|titre=Œuvres en prose, 1909-1914|auteur=Charles Péguy|éditeur=Gallimard|collection=Bibliothèque de la Pléiade|année=1959|page=1404}}
== Divers ==
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