« Georges Bernanos » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
+4 Monsieur Ouine
Ligne 100 :
|année=1971
|page=582
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
 
== ''Monsieur Ouine'', 1943 ==
 
{{citation|Le diable, voyez-vous, c'est l'ami qui ne reste jamais jusqu'au bout.}}
 
{{Réf Livre|titre=Monsieur Ouine'', dans'' Œuvres romanesques
|auteur=Georges Bernanos
|éditeur=Gallimard
|année=1947
|page=302
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
 
{{citation|L'homme c'est bien malaisé à définir. Admettons que ça reste un enfant. Gentil et câlin à ses heures, mais plein de vices.}}
 
{{Réf Livre|titre=Monsieur Ouine'', dans'' Œuvres romanesques
|auteur=Georges Bernanos
|éditeur=Gallimard
|année=1947
|page=315
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
 
{{citation|La haine qu'on se porte à soi-même est probablement celle entre toutes pour laquelle il n'est pas de pardon.}}
 
{{Réf Livre|titre=Monsieur Ouine'', dans'' Œuvres romanesques
|auteur=Georges Bernanos
|éditeur=Gallimard
|année=1947
|page=333
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
 
{{citation|Le berceau est moins profond que la tombe.}}
 
{{Réf Livre|titre=Monsieur Ouine'', dans'' Œuvres romanesques
|auteur=Georges Bernanos
|éditeur=Gallimard
|année=1947
|page=359
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}