« Moby Dick » : différence entre les versions

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}}
 
 
=== CXXXII. ''La symphonie'' ===
 
{{Citation
|— Qu'est-ce que c'est ? quelle est cette chose sans nom, insondable et surnaturelle ? quel dieu sournois, quel terrible roi sans remords me commande, pour que malgré les désirs naturels et l'amour, je continue à me sentir poussé, bousculé, forcé, et que je m'apprête à faire follement ce que mon propre coeur naturel n'ose même pas concevoir ? Est-ce qu'Achab est Achab ? Dieu... est-ce moi ? ou qui est-ce qui me lie les bras ?
}}
{{Réf Livre
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}}
 
{{Citation
|L'air maintenant sent comme s'il avait passé sur un pré. Ils ont fait le foin, quelque part, sur les pentes des Andes, Starbuck, et les faucheurs dorment dans le foin fraîchement coupé. Ils dorment. Oui, nous pouvons peiner tant que nous voulons, mais il nous faut dormir, finalement, dans le champ. Sommeil ? Oui, et pourrir parmi la verdure, comme se rouillent les faucilles de l'an passé jetées à terre et bandonnées dans les coupes non achevées...
}}
{{Réf Livre
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=== CXXXV. ''La chasse : troisième jour'' ===
 
{{Citation
|« [...] Achab ne pense jamais ; il ne fait que sentir, sentir. Et c'est assez pour l'homme. Penser est de l'audace. Dieu seul a ce droit et privilège. Penser est ou devrait être un rafraîchissement ou un calmant ; et nos pauvres cœurs palpitent, et nos pauvres cerveaux battent trop pour ça. »
}}
{{Réf Livre
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}}
 
{{Citation
|J'ai connu des vaisseaux faits avec des arbres morts qui survivaient à des vies d'hommes taillés dans la meilleure étoffe de vie.
}}
{{Réf Livre
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|page=719
}}
 
{{Citation
|— Oh, Achab, cria Starbuck, il n'est pas trop tard, même maintenant, le troisième jour, pour renoncer. Vois, Moby Dick ne te cherche pas. C'est toi, toi qui la cherches follement.
}}
{{Réf Livre
|référence=Moby Dick/Gallimard-Folio
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