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« Blaise Pascal » : différence entre les versions

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|ISBN=2070316254
|section=fragment 72
|s=Pensées}}
 
{{citation|Qui sait si cette autre moitié de la vie où nous pensons veiller n'est pas un autre sommeil un peu différent du premier, dont nous nous éveillons quand nous pensons dormir ?}}▼
{{réf Livre
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Gallimard (édition de Michel Le Guern)
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=112
|ISBN=2070316254
|section=fragment 122
|s=Pensées}}
 
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|ISBN=2070316254
|section=fragment 172
|s=Pensées}}
 
{{citation|La dernière démarche de la raison, c'est de connaîtrereconnaître qu’ilqu'il y a une infinité de choses qui la surpassent.}}▼
{{réf Livre
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Gallimard (édition de Michel Le Guern)
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=147
|ISBN=2070316254
|section=fragment 177
|s=Pensées}}
 
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|s=Pensées}}
 
{{citation|On se croit naturellement bien plus capable d'arriver au centre des choses, que d'embrasser leur circonférence[...]}}▼
{{citation|Tout notre raisonnement se réduit à céder au sentiment.}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
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|collection=Folio classique
|année=1977
|page=334156
|ISBN=2070316254
|section=fragment 470185
|s=Pensées}}
 
{{citation|L'hommeLe n'estnez nide angeCléopâtre, nis'il bête,eût etété leplus malheurcourt, veuttoute quela quiface veutde fairela l'angeterre fait laaurait bêtechangé.}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
Ligne 101 ⟶ 125 :
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=370243
|ISBN=2070316254
|section=fragment 572392
|s=Pensées}}
 
{{citation|Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point}}
{{citation|[...] peu d'amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu'il n'y est pas, quoiqu'il en parle alors sincèrement et sans passion.}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
Ligne 113 ⟶ 137 :
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=502251
|ISBN=2070316254
|section=fragment 758397
|s=Pensées}}
 
{{citation|NotreLa raisonvraie estéloquence toujoursse déçuemoque parde l'inconstanceéloquence, desla apparencesvraie morale se moque de la morale [...]}}
{{réf Livre
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur=Antoine-Augustin Renouard|année=1812|tome=1|page=212|partie=1|section=article VI (« Faiblesse de l'homme ; incertitude de ses connaissances naturelles »), pensée XXIV|s=}}
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Gallimard (édition de Michel Le Guern)
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=330
|ISBN=2070316254
|section=fragment 467
|s=Pensées}}
 
{{citation|LeTout cœurnotre araisonnement sesse raisons,réduit queà lacéder raisonau ne connaît pointsentiment.}}
{{réf Livre
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur=Firmin Didot|année=1856|page=291|partie=2|section=article XVII (« Pensées diverses sur la religion »), pensée LXII|s=}}
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Gallimard (édition de Michel Le Guern)
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=334
|ISBN=2070316254
|section=fragment 470
|s=Pensées}}
 
{{citation|Le ''moi'' est haïssable.}}▼
{{citation|Si le nez de Cléopâtre eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé.}}
{{réf Livre
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur=Firmin Didot|année=1856|page=105|partie=1|section=article IX (« Pensées morales détachées »), pensée XLVI|s=}}
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Gallimard (édition de Michel Le Guern)
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=351
|ISBN=2070316254
|section=fragment 509
|s=Pensées}}
 
{{citation|LaL'homme vraien'est moraleni seange, moqueni debête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la moralebête.}}
{{réf Livre
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur=Firmin Didot|année=1856|page=121|partie=1|section=article X (« Pensées diverses de philosophie et de littérature »), pensée XXXIV|s=}}
|titre=Pensées
 
|auteur=Blaise Pascal
▲{{citation|Qui sait si cette autre moitié de la vie où nous pensons veiller n'est pas un autre sommeil un peu différent du premier ?}}
|éditeur=Gallimard (édition de Michel Le Guern)
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur=Firmin Didot|année=1856|page=144|partie=2|section=article premier, pensée I|s=}}
|collection=Folio classique
 
|année=1977
▲{{citation|La dernière démarche de la raison, c'est de connaître qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent.}}
|page=370
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur=Firmin Didot|année=1856|page=186|partie=1|section=article VI (« Soumission et usage de la raison »), pensée I|s=}}
|ISBN=2070316254
 
|section=fragment 572
▲{{citation|Le ''moi'' est haïssable.}}
|s=Pensées}}
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur=Firmin Didot|année=1856|page=97|partie=1|section=article IX (« Pensées morales détachées »), pensée XXIII|s=}}
 
{{citation|Nous ne cherchons jamais les choses, mais la recherche des choses.}}
{{réf Livre
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur=Firmin Didot|année=1856|page=102|partie=1|section=article IX (« Pensées morales détachées »), pensée XXIV|s=}}
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Gallimard (édition de Michel Le Guern)
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=395
|ISBN=2070316254
|section=fragment 647
|s=Pensées}}
 
▲{{citation|On se croit naturellement bien plus capable d'arriver au centre des choses, que d'embrasser leur circonférence.}}
{{réf Livre|titre=Pensées|auteur=Blaise Pascal|éditeur= Abraham Wolfgang|année=1688|page=222|partie=1|chapitre=XXXI (« Pensées diverses »)|section=pensée 27|s=}}
 
{{interprojet|s=Blaise Pascal|b=Blaise Pascal|commons=Blaise Pascal|w=Blaise Pascal}}
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