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::Bonjour, j'ai inséré ce modèle sur certaines citations qui me semblaient bcp trop longues (> 1500 caractères ) sur les pages [[Victor Hugo]] et [[Histoire de ma vie (Casanova)]]--[[Special:Contributions/90.28.253.138|90.28.253.138]] 17 mai 2008 à 16:05 (CEST)
::: Pour Casanova je ne suis pas trop d'accord, ce n'est pas la citation qui est longue mais l'explication du contexte, c'est d'ailleurs ce qui fait la force de cette page je trouve ... [[Utilisateur:Bouette|Bouette]] 17 mai 2008 à 18:35 (CEST)
 
:::: Ce n'est effectivement pas les citations qui sont longues ni non plus d'ailleurs l'explication du contexte mais '''l'extrait du livre qui contient la citation en question''' qui suit (fr) après chaque citation. Je suis tout à fait d'accord que c'est cela qui fait l'intéret de cette page. Cependant d'autres citations ont été retirées alors que si je comprends bien on peut simplement les transformer en mettant une citation courte puis l'extrait qui contient la citation dans la section (fr) comme dans cette exemple sans aller à l'encontre de la charte wq. Cela me convient toutà fait mais pouvez vous me confirmer que cela est autorisé auquel cas je remettrai les citations supprimées en utilisant la même technique ? Merci d'avance--[[Special:Contributions/90.28.253.138|90.28.253.138]] 17 mai 2008 à 19:52 (CEST)
 
Exemple extrait de Casanova :
 
Citation:'''Il y a des situations dans lesquelles il est absolument impossible à l’homme d’user de douceur.'''
 
(fr) [Casanova, détenu en Espagne suite à une fausse dénonciation, risque les galères.] Mais malgré tous ces damnés j’ai fini mes lettres, et je les ai cachetées. Dans mes lettres, il n’y avait point d’art. Elles respiraient le venin qui circulait dans mon âme. […] J’écrivais à M. Emmanuel de Roda, homme savant, ministre de grâce et de justice, que je ne voulais pas de sa grâce, mais seulement de sa justice. “Servez, Monseigneur, Dieu et votre maître le roi en empêchant que l’Alcade Messa assassine un Vénitien, qui n’a rien fait contre les lois, et qui n’est venu en Espagne que croyant de venir dans un pays habité par des honnêtes gens, et non pas par des assassins autorisés à l’être impunément par les charges qu’on leur donne. L’homme qui vous écrit a dans sa poche une bourse remplie de doblones, et est enfermé dans une salle où on l’a déjà volé. Il a peur qu’on l’assassine cette nuit pour lui voler sa bourse, et tout ce qu’il a.” […] La plus forte de mes quatre lettres fut celle que j’ai écrite au comte d’Aranda. Je lui disais que si on finissait l’assassinat par me tuer, je croirai avant que d’expirer que c’est par son ordre, puisque j’avais dit en vain à l’officier qui m’a arrêté que j’étais venu à Madrid avec une lettre d’une princesse, qui me recommandait à lui. [Il reçoit la visite d’un ami.] Manucci me dit que mes lettres ne pouvaient être portées à leurs adresses que dans la journée ; et il me dit en riant que j’avais écrit à l’ambassadeur une lettre cruelle. Je lui ai alors montré la copie des autres, et le jeune homme sans expérience me dit que le style fait pour obtenir était celui de la douceur. Il ne savait pas '''qu’il y a des situations dans lesquelles il est absolument impossible à l’homme d’user de douceur'''. [Quand l’Alcade le libère.] “— La colère, Monsieur l’Alcade, m’a fait écrire la même chose à quatre ministres. Je l’ai cru, et je ne le crois plus. Oublions tout ; mais avouez que si je n’avais pas su écrire, vous m’auriez envoyé aux galères. — Hélas ! cela se peut.”
 
== Question ==