« Esclavage » : différence entre les versions

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{{réf Livre|auteur=[[:w:Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre|Bernardin de Saint-Pierre]]
|titre=Oeuvres complètes
|titre de la contribution=[http://books.google.fr/books?id=PFk-oceBWmQC&pg=RA1-PA162 Voyage à l'Ile de France]
|année de la contribution=1769
|éditeur=Méquignon-Marvis
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|date=21 ventôse an XI
|lieu=Paris, séance du Conseil d’Etat
|source=[http://books.google.fr/books?id=DmsPAAAAQAAJ&pg=PA323 Le Consulat et l'Empire]
|tome=3
|parution=chez Jules Renouard, 1834, p.251323
|auteur=A.C Thibaudeau
}}
 
{{Citation|citation=L’esclavage de l’Orient est celui que l’on voit dans l’écriture sainte; l’esclave hérite de son maître, il épouse sa fille. La plupart des pachas ont été esclaves; grand nombre de grands vizirs, tous les Mameluks, Ali-Bey, Mourad-Bey, l’ont été et ont commencé par remplir les plus bas offices dans la maison de leur maître, et se sont élevés par leur mérite ou la faveur. En Occident, au contraire, l’esclave fut toujours au-dessous du domestique; il occupait le dernier rang. Les Romains affranchissaient leurs esclaves; mais l’affranchi ne fut jamais considéré l’égal d’un citoyen né libre.}}
{{Réf Livre|titre=[http://books.google.fr/books?id=TLsNAAAAIAAJ&pg=PA234 Campagnes d'Egypte et de Syrie 1798-1799 (dictées par lui-même à Saint-Hélène au gal Bertrand)]
|auteur=Napoléon Bonaparte
|éditeur=Comon et cie
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{{réf Livre|auteur=[[:w:Nicolas de Condorcet|Nicolas de Condorcet]]
|titre=Oeuvres de Condorcet
|titre de la contribution=[http://books.google.fr/books?id=LzJzkwwiSKMC&pg=PA63 Réflexions sur l'esclavage des nègres]
|année de la contribution=1781
|éditeur=Firmin Didot frères
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{{réf Livre|auteur=[[:w:Nicolas de Condorcet|Nicolas de Condorcet]]
|titre=Oeuvres de Condorcet
|titre de la contribution=[http://books.google.fr/books?id=LzJzkwwiSKMC&pg=PA88 Réflexions sur l'esclavage des nègres]
|année de la contribution=1781
|éditeur=Firmin Didot frères
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|date=4 février 1794
|lieu=Assemblée nationale
|source=En travaillant à la Constitution du peuple français L'abolition de l'esclavage
|parution=chez J. Lecoffre, 1861, p.13
|auteur=Augustin Cochin
}}
 
 
== [[Denis Diderot]] ==
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== [[ibn Khaldoun]] ==
 
{{Citation|Au sud de ce Nil existe un peuple noir que l'on désigne par le nom de Lemlem. Ce sont des païens qui portent
des stigmates sur leurs visages et sur leurs tempes. Les habitants de Ghana et de Tekrour font des incursions dans le territoire de ce peuple pour faire des prisonniers. Les marchands auxquels ils vendent leurs captifs les conduisent dans le Maghreb, pays dont la plupart des esclaves appartiennent à cette race nègre. Au delà du pays des Lemlem, dans la direction du sud, on rencontre une population peu considérable; les hommes qui la composent ressemblent plutôt à des animaux sauvages qu'à des êtres raisonnables. Ils habitent les marécages boisés et les cavernes; leur nourriture consiste en herbes et en graines qui n'ont subi aucune préparation; quelquefois même ils se dévorent les uns les autres : aussi ne méritent-ils pas d'être
l'on désigne par le nom de Lemlem. Ce sont des païens qui portent
des stigmates sur leurs visages et sur leurs tempes. Les habitants
de Ghana et de Tekrour font des incursions dans le territoire de ce
peuple pour faire des prisonniers. Les marchands auxquels ils vendent
leurs captifs les conduisent dans le Maghreb, pays dont la plupart
des esclaves appartiennent à cette race nègre. Au delà du pays
des Lemlem, dans la direction du sud, on rencontre une population
peu considérable; les hommes qui la composent ressemblent plutôt à
des animaux sauvages qu'à des êtres raisonnables. Ils habitent les marécages
boisés et les cavernes; leur nourriture consiste en herbes et
en graines qui n'ont subi aucune préparation; quelquefois même ils
se dévorent les uns les autres : aussi ne méritent-ils pas d'être
comptés parmi les hommes.
}}
{{Réf Livre
|titre=[http://books.google.fr/books?id=uE48AAAAMAAJ&pg=PA115 Les prolégomènes ]
|auteur= [[w:ibn Khaldoun|ibn Khaldoun]]
|année d'origine=1377
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{{citation| Le droit de l’esclavage vient du mépris qu’une nation conçoit pour une autre, fondé sur la différence des coutumes.}}
{{réf Livre|auteur=Montesquieu
|titre=[http://books.google.fr/books?id=2boOAAAAYAAJ&pg=PA202 De l'esprit des lois]
|éditeur=Firmin Didot frères
|année=1862
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|date= avril 1803
|lieu= Haïti
|source=[http://books.google.fr/books?id=_vSRVyp_HDcC&pg=PA373 Vie de Toussaint Louverture]
|parution=chez Ollendorf, 1889, p.373
|auteur=Victor Schoelcher