« Emmanuel Levinas » : différence entre les versions
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|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=23}}
{{citation|L'existence elle-même, comme par l'effet d'une intentionnalité, est animée d'un sens, du sens ontologique primordial du néant. Il ne dérive pas de ce qu'on peut savoir ''sur'' la destinée de l'homme, ou ''sur'' ses causes, ou ''sur'' ses fins; l'existence dans son évènement même d'existence signifie, dans l'angoisse, le néant, comme si le verbe exister avait un complément direct.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=31}}
{{citation|Dans le vide absolu, qu'on peut imaginer, d'avant la création - il y a.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=38}}
{{citation|Ma première idée était que peut-être l'"étant", le "quelque chose" qu'on peut désigner du doigt, correspond à une maîtrise de l'"il y a" qui effraie dans l'être.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=41}}
{{citation|D'où un tout autre mouvement: pour sortir de l'"il y a", il faut non pas se poser, mais se déposer; faire un acte de déposition, au sens où l'on parle de rois déposés. Cette déposition de la souveraineté par le ''moi'', c'est la relation sociale avec autrui, la relation dés-inter-essée.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=42}}
{{citation|En réalité, le fait d'être est ce qu'il y a de plus privé; l'existence est la seule chose que je ne puisse communiquer; je peux la raconter, mais je ne peux partager mon existence. La solitude apparaît donc ici comme l'isolement qui marque l'évènement même d'être. Le social est au-delà de l'odontologie.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=50}}
{{citation|La conscience de soi est en même temps la conscience du tout.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=69}}
{{citation|C'est alors la vision panoramique du réel qui est la vérité et qui donne toute sa satisfaction à l'esprit.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=70}}
{{citation|Le terme de "transcendance" signifie précisément le fait qu'on ne peut penser Dieu et l'être ensemble. De même, dans la relation interpersonnelle, il ne s'agit pas de penser ensemble moi et l'autre, mais d'être en face. La véritable union ou le véritable ensemble n'est pas un ensemble de synthèse, mais un ensemble de face à face.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=72}}
{{citation|le visage est ce qui nous interdit de tuer. [...]Le visage est signification, et signification sans contexte.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=80}}
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