« Emmanuel Levinas » : différence entre les versions

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|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=80}}
 
{{citation|Autrui est visage.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=81}}
 
{{citation|La relation interpersonnelle que j'établis avec autrui, je dois l'établir aussi avec les autres hommes; il y a donc nécessité de modérer ce privilège d'autrui; d'où la justice. Celle-ci, exercée par les institutions, qui sont inévitables, doit toujours être contrôlée par la relation interpersonnelle initiale.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=84}}
 
{{citation|La relation à l'Inifini n'est pas un savoir, mais un Désir.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=86}}
 
{{citation|Le lien avec autrui ne se noue que comme responsabilité, que celle-ci, d'ailleurs, soit acceptée ou refusée, que l'on sache ou non comment l'assumer, que l'on puisse ou non faire quelque chose de concret pour autrui.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=93}}
 
{{citation|Mais la justice n'a de sens que si elle conserve l'esprit du dés-inter-essement qui anime l'idée de la responsabilité pour l'autre homme. [...] La subjectivité, se constituant dans le mouvement même où à elle incombe d'être responsable pour l'autre, va jusqu'à la substitution pour autrui. [...] L'humanité dans l'être historique et objectif, la percée même du subjectif, du psychisme humain, dans son originelle vigilance ou dégrisement, c'est l'être qui se défait de sa condition d'être: le dés-inter-essement. [...] La condition ontologique se défait, ou est défaite, dans la condition ou l'incondition humaine}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=96-97}}
 
{{citation|Le visage ''signifie'' l'Infini.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=101}}
 
{{citation|Le témoignage éthique est une révélation qui n'est pas une connaissance.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=104}}
 
{{citation|La gloire de Dieu, c'est cela l'"autrement qu'être"
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=106-107}}
 
{{citation|Je pense le prophétisme comme un moment de la condition humaine elle-même. Assumer la responsabilité pour autrui est pour tout homme une manière de témoigner de la gloire de l'Infini, et d'être inspiré.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=111}}
 
{{citation|Oui, la vérité éthique est commune. La lecture de la Bible, même si elle est diverse, exprime dans sa diversité ce que chaque personne apporte à la Bible. La condition subjective de la lecture est nécessaire à la lecture du prophétique.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=114}}
 
{{citation|L'exigence éthique est universelle.}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=116}}
 
{{citation|Par conséquent, la question importante du sens de l'être n'est pas: pourquoi y a-t-il quelque chose et non rien - question leibnizienne tant commentée par Heidegger - mais: est-ce que je ne tue pas en étant?}}
{{Réf Livre|titre=Ethique et infini
|auteur=Emmanuel Levinas
|éditeur=Le Livre de poche
|année=1982
|ISBN=978-2-253-03426-1
|page=119}}