« Histoire de ma vie (Casanova) » : différence entre les versions

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| chapitre = X
| page = 624-625
}}
 
{{Citation|citation=[Le] vrai, [le] seul auteur de la nature[,] l’amour.
| langue = fr
| original =
[Casanova a retrouvé donna Lucrezia, son amante dix-huit ans plus tôt, maintenant veuve.] Le ressouvenir d’une ancienne tendresse vis-à-vis d’une femme adorable la réveille, les désirs renaissent, et la force avec laquelle ils se renouvellent est sans borne ; il leur semble de rentrer en possession d’un bien qui leur appartient, dont les cruelles combinaisons leur en a défendu pour longtemps la jouissance. Tels nous devînmes dans un instant, sans aucun préambule, point de vains discours, point de préliminaires, point même de fausses attaques, où l’un des deux doit nécessairement mentir. Plongés dans la douceur d’un riant silence nous nous abandonnâmes au vrai, au seul auteur de la nature, à l’amour.
| précisions=
}}
{{Réf Livre
| référence = Histoire de ma vie (Casanova)/Robert Laffont
| tome = II
| volume = 7
| chapitre = X
| page = 638
}}
 
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| chapitre = XI
| page = 655
}}
 
{{Citation|citation=Les républiques se tiennent superstitieusement attachées à leurs anciennes méthodes ; elles craignent que le moindre changement en tout genre ait, ou puisse avoir, une influence sur la constitution au préjudice de l’État. ''Ne tangas Camerinam.'' [“Ne touchez point Camerina !”, Virgile, l’''Énéide'' ; oracle delphique aux habitants de Camerina, qui se repentirent de ne pas l’avoir suivi.]
| précisions=
}}
{{Réf Livre
| référence = Histoire de ma vie (Casanova)/Robert Laffont
| tome = II
| volume = 7
| chapitre = XII
| page = 666
}}