{{citation|Je parle [...] du génie des Arabes qui n'est jamais mort entièrement, qui s'était seulement endormi dans la silencieuse vie des Bédouins, et qui souvent, comme en songe, porta la main sur son épée, quand quelque lion distingué faisait entendre au dehors son rugissement guerrier. Ces Arabes fortifiés par le sommeil séculaire n'attendent peut-être qu'un grand appel prophétique pour s'élancer encore une fois hors de leurs brûlantes solitudes, aussi violemment que jadis aux