« Les Barbouzes » : différence entre les versions
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'''[[w:Les Barbouzes|Les Barbouzes]]''' est un film de [[w:Georges Lautner|Georges Lautner]], sorti sur les écrans en [[w:1964|1964]]. Les dialogues sont de [[Michel Audiard]].
== Citations remarquables ==
{{citation|citation={{Personnage|Le Narrateur}} : Dans la nuit du 13 au 14 septembre 1964, le monde vivait en paix. Et qui, au cours de cette nuit, appuya le premier sur la gâchette ? Qui recassa le vase de Soissons ? Bref, qui donna le premier coup de pied au cul ?
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}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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}}
{{citation|citation={{Personnage|Agent Fiduc}} ''(répondant au téléphone)'' : Et en plus, j'ai trois
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{citation|citation={{Personnage|Commandant Lanoix}} : Félicitations ! Avouez que vous êtes doués, vous ! On le suit pas à pas depuis des années. Nous savons qu'il doit livrer des roquettes à la
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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}}
{{citation|citation={{Personnage|Le Narrateur}} : Voici donc Francis Lagneau, dit « Petit Marquis », dit « Chérubin », dit « Talon Rouge », dit « Falbala », dit « Belle Manière ». Il est également connu, dans certains milieux, sous le sobriquet de « Requiem », dit « Bazooka », dit « La Praline », dit « Belle Châtaigne ». C'est curieux comme les gens sont méchants.
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|précisions=Description de l'agent français interprété par
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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}}
{{citation|citation={{Personnage|Le Narrateur}} : Citoyen de Genève, représentant des banques et dépositaire de la pensée neutraliste, voici Eusébio Caffarelli, dit « le Chanoine », entomologiste et esprit distingué. Son mysticisme, à la fois très hostile au rationalisme de saint Thomas et à l'orthodoxie mécaniste de la scolastique, le pousse parfois à des actions brutales que sa conscience réprouve. Mais le meilleur des hommes ne saurait être parfait.
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|précisions=Description de l'agent suisse interprété par
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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}}
{{citation|citation={{Personnage|Le Narrateur}} : Compatriote de Goethe et de Wagner, voici Hans Müller, dit « le bon docteur », philologue, musicien et humaniste, chercheur assoiffé de vérité, auteur d'un ouvrage aujourd'hui introuvable, « ''Les points sensibles ou la thérapeutique contre le mensonge'' » .|original=
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|précisions=Description de l'agent allemand interprété par
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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}}
{{citation|citation={{Personnage|Le Narrateur}} : Apôtre de la coexistence, Boris Vassilief, sujet très doué, surnommé dès son plus jeune âge
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|précisions=Description de l'agent russe interprété par
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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}}
{{citation|citation={{Personnage|Le Narrateur}} : Comme les indicateurs n'existent pas et ne sont pas reconnus par la Sécurité sociale, c'est grâce à son instinct légendaire, que le SR français apprit que Son Excellence Benar Shah venait de réserver une suite dans un grand hôtel d'Istanbul.
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{citation|citation={{Personnage|Commandant Lanoix}} : Madame Pauline n'est pas la femme de Benar Shah et son bouic de la rue de Chazelles n'a rien à voir avec le château fort du défunt.
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|précisions=La rue de Chazelles se trouve dans le 17{{e}} arrondissement de Paris, bouic = maison close
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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}}
{{citation|citation={{Personnage|Francis Lagneau}} : Son Excellent avait le bras long, oui ! Son Excellence avait obtenu une amnésie courtoise des fichiers, oui ! Mais, Son Excellence est canée !
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{citation|citation={{Personnage|Commandant Lanoix}} : Inutile de vous dire, que si cet héritage tombe entre des mains mal éclairées, c'est l'Apocalypse en édition populaire. Le siècle numéro 20
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{citation|citation={{Personnage|Commandant Lanoix}} : Les ordres sont les suivants : on courtise, on séduit, on enlève et en cas d'urgence : on épouse !
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{citation|citation={{Personnage|Amaranthe}} : Vous savez, quand un monsieur inconnu ramène chez vous votre mari mort, dynamite la salle de bain et jette les visiteurs par la fenêtre, on prend l'habitude de ne plus s'étonner de grand chose !
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{citation|citation={{Personnage|Amaranthe}} : On part pour jouer Phèdre et puis on se retrouve à faire la danse du ventre sur le Bosphore ! Et encore j'étais trop maigre !
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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}}
{{citation|citation={{Personnage|Amaranthe}} : Écoutez, Francis ! Si vous arrêtez une seconde, je ne demande pas beaucoup, une seconde d'être héroïque ! Nos rapports pourraient être tellement plus simples. Nous pourrions sympathiser sans nous enrouler de tricolore, sans remettre en cause les accords de Yalta et sans que la France perde Saint-Pierre-et-Miquelon !
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
|date=1964
|acteur=[[w:
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{{citation|citation={{Personnage|Francis}} : Elle dit
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
|date=1964
|acteur=[[w:
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{{citation|citation={{Personnage|Amaranthe}} : Avoue tout de même, que je suis la reine des pommes !
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{citation|{{Personnage|Francis}} : citation=Un barbu, c'est un barbu ! Trois barbus, c'est
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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|auteur=Michel Audiard
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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|précisions=Au moment du décès de Benar Shah dans le ''claque'' de Mme Pauline.
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 288 ⟶ 265 :
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 295 ⟶ 271 :
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{{citation|citation={{Personnage|Le Chauffeur}} : Dans deux ans, au revoir Messieurs
{{Personnage|Rudolphe}} : Faut surtout la prendre vivant ! C'est pas dans les moyens de tout le monde !
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Ligne 301 ⟶ 277 :
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 309 ⟶ 284 :
{{citation|citation={{Personnage|Rudolphe}} : Qu'est ce que t'as ? T'es tout dispersé ! Un œil sur la bouffe et l'autre on sait pas où !<br />
{{Personnage|Le Chauffeur}} : Sur le motif ! T'est [[wikt:bath#Adjectif|bath]] toi ! Je suis à deux ans de la retraite, moi ! Tu vois pas qu'on nous le fauche ! Hein !
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|précisions=En parlant de la caisse contenant la dépouille de Benar Shah.
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 321 ⟶ 295 :
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{{citation|citation={{Personnage|
{{Personnage|Francis}} : Ça va peut-être pas être inutile !
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Ligne 327 ⟶ 301 :
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 336 ⟶ 309 :
{{citation|citation={{Personnage|Boris}} : Ah ! L'odeur du goudron sur les quais d'Odessa ! Le vent du large dans les cheveux de ce pauvre cher Constantin !<br />
{{Personnage|Amaranthe}} : Mais je croyais qu'il était né à Téhéran.<br />
{{Personnage|Boris}} : Et alors ! On chante aussi bien à Téhéran qu'à Odessa
{{Personnage|Francis}} : Mais le vent du large souffle un peu moins fort ! C'est à 200 bornes de la mer !<br />
{{Personnage|Boris}} : Notion bourgeoise des distances !
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 351 ⟶ 323 :
{{citation|citation={{Personnage|Francis}} : N'empêche que dans certaines de nos écoles, le coup du scorpion est désigné aux futurs agents sous le nom de coup du Chanoine !<br />
{{Personnage|
{{Personnage|Francis}} : Jamais entendu parler de ça !<br />
{{Personnage|
{{Personnage|Boris}} : Je ne vous répondrai rien du tout ! Je ne vous parle plus !<br />
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Ligne 359 ⟶ 331 :
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 372 ⟶ 343 :
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 387 ⟶ 357 :
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 395 ⟶ 364 :
{{citation|citation={{Personnage|Amaranthe}} : Francis, qui êtes-vous au juste ?<br />
{{Personnage|
{{Personnage|Boris}} : Un cafard abject, un sycophante glaireux !<br />
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Ligne 405 ⟶ 374 :
|date=1964
|acteur=[[w:Mireille Darc|Mireille Darc]], [[w:Bernard Blier|Bernard Blier]] et [[w:Francis Blanche|Francis Blanche]]
}}
{{citation|citation={{Personnage|Boris}} : Qu'est-ce qu'on fait ? On le tue tout de suite, ou on boit café d'abord ? </br>
{{Personnage|Eusebio}} : On réfléchit.</br>
{{Personnage|Hans}} : J'ai la tête vide. Moi la trahison, ça me démolit !
{{Personnage|Eusebio}} : Question de formation. Moi ça m'inspire.
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
|date=1964
|acteur=, [[w:|Francis Blanche]], [[w:|Bernard Blier]] et [[w:|Charles Millot]]
}}
{{citation|citation={{Personnage|Boris}} : Et maintenant ! Le monstre, comment on le supprime ?<br />
{{Personnage|
{{Personnage|Boris}} : Oh, c'est un peu triste, non ! J'aimerais mieux quelque chose de... de plus enlevé, de plus allègre ! Quelque chose de... dans le genre de ça !<br />
{{Personnage|Hans}} : Qu'est-ce que c'est ?<br />
{{Personnage|Boris}} : Ça, un dérivé lent de la nitroglycérine. 5-6 gouttes dans le potage et le patient explose... wouf ! ...de l'intérieur !<br />
{{Personnage|
{{Personnage|Boris}} : Oh ! Si vous préférez le bricolage !<br />
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 427 ⟶ 409 :
{{citation|citation={{Personnage|Amaranthe}} : T'as connu Benar Shah ?<br />
{{Personnage|Francis}} : Ah ! Pas au mieux de sa forme, non !<br />
{{Personnage|Amaranthe}} : 65 ans, 1 m 40 de tour de taille et deux sujets de conversation : la
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
Ligne 439 ⟶ 420 :
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{{citation|citation={{Personnage|Francis}} : Bon ! Vous,
{{Personnage|Fiduc et son collègue}} : On flingue !<br />
{{Personnage|Francis}} : Voilà ! C'est ça !<br />
Ligne 446 ⟶ 427 :
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{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
|auteur=Michel Audiard
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