« Synagogue de Doura Europos » : différence entre les versions
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{{citation|citation= Découverte il y a quarante ans dans ce que Michel Rostovtzeff a appelé la « Pompéi du désert syrien », la synagogue du III<sup>e</sup> s. à Doura-Europos a défié avec succès les théories savantes stéréotypées et bien établies. Bien qu'elle ne soit pas aussi connue ni autant mise en avant que les Manuscrits de la Mer Morte, la synagogue n'en a pas moins des implications révolutionnaires de grande importance pour tous les étudiants de l'histoire, de la religion et de l'art antiques. Premier monument d'art juif à avoir jamais été mis au jour, elle contient les plus anciens cycles d'images bibliques connus. Des décors figurés d'une complexité et d'une surface comparables n'apparaissent pas dans l'art chrétien avant le V<sup>e</sup> s.
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{{citation|citation= Le signal fut donné et les meilleurs de nos piocheurs dégagèrent la couche de terre qui masquait le mur ouest. Comme une couverture ou une série de couvertures, la terre tomba et révéla des images, des fresques, de couleurs éclatantes, étonnantes ; si fraîches qu'elle semblaient avoir été peintes un mois auparavant.
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{{citation|citation= C'était comme dans un rêve ! Dans l'espace infini du ciel bleu clair et du désert gris et vide, un miracle se produisait, une oasis de peintures surgissait de la terre monotone.
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