« Paul Lafargue » : différence entre les versions

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|publication=La Jeunesse socialiste
|date=1895
|page=1
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{{Citation|ce qu'on méprisait à ces époques, c'est la vente du travail. L'homme qui vendait son travail, qui recevait un salaire, se dégradait au rang des esclaves, il se vendait comme esclave, il perdait sa dignité d'homme libre. Cette action dégradante est commise quotidiennement par les hommes libres de la société capitaliste. Les prolétaires de la main comme ceux de l'intelligence, n'ont qu'une unique préoccupation : se vendre, vendre leur travail manuel, vendre leur travail intellectuel, vendre la pensée, cette chose sacrée.}}
 
{{Réf Article|titre=L'idéalisme et le matérialisme dans la conception de l'histoire. Réponse à la Conférence du citoyen Jean Jaurès.
|auteur=Paul Lafargue
|publication=La Jeunesse socialiste
|date=janvier 1895
|page=1
}}
 
{{Citation|Le prolétaire n'a et ne peut avoir qu'un idéal : vendre son travail le mieux possible. Un juste salaire pour une juste journée de travail est la devise des trade's unions de tous les travailleurs du monde. Le prolétaire ne se plaint que lorsqu'il ne peut vendre son travail à son juste prix. Et ce n'est que lorsque la classe ouvrière ne parvient pas à obtenir la dégradante et avilissante justice de la classe capitaliste, qu'elle commence à songer à la révolte.}}
 
{{Réf Article|titre=L'idéalisme et le matérialisme dans la conception de l'histoire. Réponse à la Conférence du citoyen Jean Jaurès.
|auteur=Paul Lafargue
|publication=La Jeunesse socialiste
|date=janvier 1895
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