« Michel Rocard » : différence entre les versions

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* {{Citation|La France ne peut accueillir toute la misère du monde, mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part.}} a été prononcée le 3 décembre 1989 devant les militants de la [[Cimade]]. Cette phrase est très souvent citée dans sa version tronquée, la deuxième partie n'en est pas moins importante car Michel Rocard commente sa phrase le 24 août 1996<ref>[http://www.bok.net/pajol/rocard.html La part de la France par Michel Rocard, article paru dans les pages ''Opinions'' du [[Le Monde|Monde]] du 24 août 1996]</ref>. De nombreuses personnalités ont néanmoins pu y voir en germe, les racines d'un vaste mouvement de lepénisation des esprits. (voir le dictionnaire de la lepénisation des esprits de Sylvie Tissot et Pierre Tévanian) [[Bernard Tapie]] a par exemple vigoureusement dénoncé cette formule (INA débat sur Antenne 2 dirigé par P.Amar dans le cadre des elections européennes de juin 1994 B.Tapie/ JM Le Pen).
 
* En 2004, à un journaliste qui lui demandait {{Citation|Regrettez- vous de n’avoir jamais été Président de la République ?}}, Michel Rocard répondit : {{Citation|Je pense avoir été un Premier ministre acceptable, je ne sais pas si j’aurais fait un bon président.}}
 
* {{Citation|Certes, je ne suis pas devenu Président ; je n’ai pas vécu sous les ors de la monarchie républicaine ; mais mon inscription dans l’histoire du socialisme est déjà acquise.}} {{Citation|Ça m’arrange d’avoir eu cette femme sectaire ([[Édith Cresson]]) comme successeur. Ça fait mieux ma différence…}} {{Citation|Je suis sur [la ligne] L’État ne peut pas grand chose ; ce qu’il y a d’essentiel n’est pas toujours très politique.}} in ''Si la gauche savait'' (2005).
 
* {{Citation|Il n'y a pas de Parti socialiste, il n'y a que les amis de François Mitterrand}} (citation de François Mitterrand rapportée par Michel Rocard dans le ''Nouvel Observateur'' n° 2135)
 
* {{Citation|Faites gaffe les gars !}} à propos des menaces qui pèsent sur les libertés numériques (notamment les [[brevet logiciel en Europe|brevets logiciels]] et la [[loi DADVSI]]) lors des [[Rencontres mondiales du logiciel libre]] le 6 juillet 2006 à [[Vandœuvre-lès-Nancy]]. Voir [http://2006.rmll.info/rub_69 Table ronde politique : Quel environnement juridique pour les logiciels libres ?].
 
* {{Citation|Les historiens maîtrisent à peu près maintenant l'histoire humaine sur les 6000 dernières années. Sur ces 6000 ans, 5800 ans ont vu l'homme manger ce que produisait la terre ; ce fut un monde où, en dehors de quelques prêtres et de quelques rois, tout le monde vécut dans des conditions de pauvreté extrême et effroyable. Nous sommes sortis de cela grâce au capitalisme.}} in ''Peut-on réformer la France ? par [[Frits Bolkestein]] et Michel Rocard, Paris, Autrement, oct. 2006''
 
* {{Citation|1968-1974 [il a dirigé le [[Parti socialiste unifié|PSU]] de 1967 à 1973] : six années infernales — pis encore, c’était une guerre infernale. J’étais toujours en défense. Le parti votait n’importe quoi. Ainsi, un beau jour, dans un conseil national, il a confirmé que nous étions un « parti révolutionnaire ». Qu’est-ce que j’avais à faire de ça ! J’étais empêtré. Je me débattais comme je pouvais. Je me rappelle avoir fait à la télé des cours de sémantique, expliquant que le mot « révolutionnaire » était en ce cas aussi anodin qu’il l’était quand la régie Renault prétendait que sa nouvelle Frégate avait une transmission « révolutionnaire ». Ça a fait rigoler la France entière.}} ({{Ouvrage|auteur=Michel Rocard|titre=Si la gauche savait|année=2005|passage=163}})
 
* {{Citation|Le capitalisme est assurément la forme d'organisation sociale qui garantit les plus grandes marges de liberté à tous les acteurs du système. Cela ne peut évidemment pas tenir sans un haut degré d'autolimitation et d'autocontrôle.}}<ref>[http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-853408,0.html LeMonde.fr : Le capitalisme éthique, un principe fragile<!-- Titre généré automatiquement -->]</ref>
 
* {{Citation|La gauche française ne s'est toujours pas défaite de son rêve d'économie administrée.}}<ref>Paris Match, 27 juillet 2007.</ref>
 
* {{Citation|Le socialisme français doit commencer par cesser d’agir sous le doigt accusateur de ceux qui s’arrogent une sorte de droit à dire ce qui est, et ce qui n’est pas, «de gauche».}}<ref>Libération, tribune avec [[Michel Pezet]], http://www.liberation.fr/rebonds/261110.FR.php, 14 juin 2007.</ref>
 
* {{Citation| Il m'a viré.}} Après que François Mitterrand se soit séparé de lui, Rocard lâche cette petite phrase amère.
 
 
{{interprojet|w=Michel Rocard|commons=Michel Rocard}}