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{{Utilisateur:MyXiLo/Laboratoire}}
== December 2, 1996 ==
 
'''[[w:Vincent van Gogh|Vincent van Gogh]]''', né le 30 mars 1853 à Groot-Zundert aux Pays-Bas et mort le 29 juillet 1890 à Auvers-sur-Oise, est un peintre et dessinateur néerlandais.
 
== Correspondance ==
 
=== [[w:Amsterdam|Amsterdam]], Mai 1877 — juillet 1878 ===
{{citation
|citation=[...] quand on se révèle capable en une chose et l'on comprend bien une question, on peut être sûr d'en comprendre beaucoup d'autres.
|citation=Écrire n'est rien d'autre que ça : non pas une évasion hors de la réalité, mais une tentative pour ''changer'' la réalité, de sorte que [l']écrivain peut s'évader des limites de la réalité.
}}
{{Réf Livre
|page=76
|titre=Ultimes Paroles
|référence=Lettres à son frère Théo/Gallimar-L'Imaginaire
|auteur=William Seward Burroughs
|éditeur=Christian Bourgois éditeur
|année=1997
|page=45
|ISBN=978-2-267-01885-1
|traducteur=Mona de Pracontal
|année d'origine=1997
|collection=Titres
}}
 
=== [[w:Borinage|Le Borinage]], Novembre 1878 — octobre 1880 ===
== December 31, 1996 ==
{{citation
|citation={{Tab}}Il y a celui qui est fainéant par paresse et lâcheté de caractère, par la bassesse de sa nature, tu peux si tu juges bon me prendre pour un tel.{{BrTab}}Puis il y a l'autre fainéant, le fainéant bien malgré lui, qui est rongé intérieurement par un grand désir d'action, qui ne fait rien, parce qu'il est dans l'impossibilité de rien faire, puisqu'il est comme en prison dans quelque chose, parce qu'il n'a pas ce qui lui faudrait pour être productif, parce que la fatalité des circonstances le réduit à ce point ; un tel ne sait pas toujours lui-même ce qu'il pourrait faire, mais il sent par instinct : pourtant je suis bon à quelque chose, je me sens une raison d'être ! Je sais que je pourrais être un tout autre homme ! A quoi donc pourrais-je être utile, à quoi pourrais-je servir ? Il y a quelque chose au-dedans de moi, qu'est-ce que c'est donc ?
|citation=La vérité est là quand tous les mots sont effacés. Les mots ont été faits pour mentir.
}}
{{Réf Livre
|page=102
|titre=Ultimes Paroles
|référence=Lettres à son frère Théo/Gallimar-L'Imaginaire
|auteur=William Seward Burroughs
|éditeur=Christian Bourgois éditeur
|année=1997
|page=69
|ISBN=978-2-267-01885-1
|traducteur=Mona de Pracontal
|année d'origine=1997
|collection=Titres
}}
 
 
=== [[w:La Haye|La Haye]], Décembre 1881 — september 1883 ===
{{citation
|citation=Que la tempête de lève, que la nuit tombe ; qu'est-ce qui est le plus redoutable, le danger ou la peur du ganer ? Je préfère la réalité, le danger même.
|citation=Ce n'est pas la vérité qui blesse, c'est le mensonge éhonté.
}}
{{Réf Livre
|page=193
|titre=Ultimes Paroles
|référence=Lettres à son frère Théo/Gallimar-L'Imaginaire
|auteur=William Seward Burroughs
|éditeur=Christian Bourgois éditeur
|année=1997
|page=71
|ISBN=978-2-267-01885-1
|traducteur=Mona de Pracontal
|année d'origine=1997
|collection=Titres
}}
 
== February 7, 1996 ==
{{citation
|citation=Les principes ne sont bons que lorsqu'ils engendrent des actes ; je trouve bon de réfléchir et de se montrer consciencieux, parce que cela accroît l'activité d'un homme et fait un tout de ses divers actes.
|citation=L'utilisation de la bombe atomique alors que même en poussant le pragmatisme au maximum, ce n'était pas nécessaire, ça frolait le péché impardonnable puisqu'il y aurait pu n'y avoir personne pour pardonner.
}}
{{Réf Livre
|page=239
|titre=Ultimes Paroles
|référence=Lettres à son frère Théo/Gallimar-L'Imaginaire
|auteur=William Seward Burroughs
|éditeur=Christian Bourgois éditeur
|année=1997
|page=120
|ISBN=978-2-267-01885-1
|traducteur=Mona de Pracontal
|année d'origine=1997
|collection=Titres
}}
 
== March 9, 1997 ==
{{citation
|citation=Sans friction, sans conflit, n'importe quel système s'arrêtera.
}}
{{Réf Livre
|titre=Ultimes Paroles
|auteur=William Seward Burroughs
|éditeur=Christian Bourgois éditeur
|année=1997
|page=148
|ISBN=978-2-267-01885-1
|traducteur=Mona de Pracontal
|année d'origine=1997
|collection=Titres
}}
 
=== [[w:Nuenen|Nuenen]], Décembre 1883 — novembre 1885 ===
== March 21, 1997 ==
{{citation
|citation={{Tab}}Crois-moi, quand on veut être actif, il ne faut pas craindre de faire certaines choses de traverse, ne pas avoir peur de commettre quelques erreurs. Pour devenir meilleur, il ne suffit pas, comme la plupart le croient, ''de ne rien faire de mal''. La passivité est un mensonge, tu disais toi-même autrefois que c'en était un. On aboutit ainsi à la stagnation, à la médiocrité. ''Etends des couleurs'' sur la toile blanche si tu en vois une te regarder fixement d'un air un peu idiot.{{BrTab}}Tu ne sais pas à quel point il est ''décourageant'' de fixer une toile blanche qui dit au peintre : ''tu n'es capable de rien'' ; la toile a un regarde fixe ''idiot'' et elle fascine à ce point certains peintres qu'ils en deviennent idiots eux-mêmes.{{BrTab}}Nombreux sont les peintres qui ''ont peur'' d'une ''toile blanche'', mais une toile blanche a peur du véritable peintre passionné qui ose — et qui a su vaincre la fascination de ce ''tu n'es capable de rien''.
|citation={{Tab}}Le patient, en proie au transfert le plus abject, saute sur les genoux du docteur et lui pisse abondamment dessus en dégoisant des mots doux d'enfant :<br/>{{Tab}}« T'es mon papa cracra en sucre – Oh ! j'ai eu un ''accident'' dans mes couches. »<br/>{{Tab}}En thérapie il se présente des situations qu'il faut savoir traiter en expert.
}}
{{Réf Livre
|page=328
|titre=Ultimes Paroles
|référence=Lettres à son frère Théo/Gallimar-L'Imaginaire
|auteur=William Seward Burroughs
|éditeur=Christian Bourgois éditeur
|année=1997
|page=169
|ISBN=978-2-267-01885-1
|traducteur=Mona de Pracontal
|année d'origine=1997
|collection=Titres
}}
 
=== [[w:Saint-Rémy-de-Provence|Saint-Rémy-de-Provence]], Mai 1889 — mai 1890 ===
== July 20, 1997 ==
{{citation
|citation=[...] n'oublions pas que les petits émotions sont les grands capitaines de nos vis et qu'à celles-ci nous obéissons sans le savoir.
|citation=Pour moi le péché le plus impardonnable est le Mensonge parce que, tout comme la fausse monnaie, il dévalue la vérité.
}}
{{Réf Livre
|page=517
|titre=Ultimes Paroles
|référence=Lettres à son frère Théo/Gallimar-L'Imaginaire
|auteur=William Seward Burroughs
|éditeur=Christian Bourgois éditeur
|année=1997
|page=296
|ISBN=978-2-267-01885-1
|traducteur=Mona de Pracontal
|année d'origine=1997
|collection=Titres
}}