« Adolfo Bioy Casares » : différence entre les versions
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{{citation|Le monde attribue ses infortunes aux conspirations et machinations des grands méchants. Je pense qu´
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{{citation|Révolution: Mouvement politique qui illusionne beaucoup des personnes, en desillusionne encore plus, incommode presque tout le monde
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{{citation|Elle vient sûrement de recevoir une bonne nouvelle, parce que hier elle avait tous ses cheveux blancs
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{{réf Livre|titre=Descanso de caminantes|auteur=Adolfo Bioy Casares|éditeur=Émece|année=[[w:2001|2001]]|page=176|ISBN=9500720280
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{{citation|Un médecin, c´est la conjonction d´une blouse blanche, un stéthoscope et un jargon.|original=Un médico es la conjunción de un guardapolvo, un estetoscópio y una jerga.
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{{réf Livre|titre=Descanso de caminantes|auteur=Adolfo Bioy Casares|éditeur=Émece|année=[[w:2001|2001]]|page=356|ISBN=9500720280
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=== Citations sans source ===
{{citation|Dieu est un monosyllabe qui a
{{citation|L´éternité est une des rares vertus de la littérature.}}▼
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▲{{citation|Dieu est un monosyllabe qui a joui d´un succès extraordinaire.}}
{{citation|Je crois qu´une partie de mon amour pour la vie, c´est grâce à mon amour pour les livres.|original=Creo que parte de mi amor a la vida se lo debo a mi amor a los libros.
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▲{{citation|L´éternité est une des rares vertus de la littérature.
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{{citation|Le luxe est vulgarité.|original=El lujo es vulgaridad.
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{{citation|Le souvenir que l´on a d´un livre est parfois plus important que le livre en soi.|original=El recuerdo que deja un libro a veces es más importante que el libro en sí.
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{{citation|Je n´aime pas du tout l´idée de mourir. Si je pouvais vivre 500 ans, j´y accepterais et je demanderais encore: Puis-je en avoir quelques plus?|original=No me gusta nada la idea de morir. Si pudiera vivir quinientos años aceptaría y pediría: ¿No puede darme unos más?
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=== Liens externes ===
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