« Pierre Choderlos de Laclos » : différence entre les versions

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== ''Les Liaisons dangereuses'' ==
{{citation
|citation="Je dis mes principes, et je le dis à dessein : car ils ne sont pas, comme ceux des autres femmes, donnés au hasard, sans examen et suivis par habitude, ils sont le fruit de mes profondes réflexions; je les ai créés, et je puis dire que je suis mon ouvrage."
}}
{{Réf Livre
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|page=212
|partie=Lettre LXXXI(81)
|année=2005
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation="Je réussis, et j'obtins qu'elle lui ferait une querelle de cette même partie de chasse, à laquelle, bien évidemment, il n'avait consenti que pour elle. On ne pouvait prendre un plus mauvais prétexte : mais nulle femme n'a mieux que la Vicomtesse ce talent, commun à toutes, de mettre l'humeur à la place de la raison, et de n'être jamais si difficile à apaiser que quand elle a tort."
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=Folioplus classiques
|page=178
|partie=Lettre 71
|année=2005
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation="Je suis sûre que si j'avais le bon esprit de le quitter à présent, il en serait au désespoir ; et rien ne m'amuse comme un désespoir amoureux. Il m'appellerait perfide, et ce mot de perfide m'a toujours fait plaisir ; c'est, après celui de cruelle, le plus doux à l'oreille d'une femme."
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=Folio plus classiques
|page=28
|partie=Lettre 5
|année=2005
|s=Les Liaisons dangereuses