« Paul Valéry » : différence entre les versions
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== ''Variété'' ==
{{citation|citation=Ce n'est qu'un jeu pour l'amateur de symétries historiques, c'est-à-dire imaginaires, que de démontrer que ces deux figures littéraires sont des figures semblables.
}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres I
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1957
|page=427
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Villon et Verlaine
}}
{{citation|citation=Dans les domaines de la création, qui sont aussi les domaines de l'orgueil, la nécessité de se distinguer est indivisible de l'existence même.
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}}
{{citation|citation=Mais un homme excité ne se paie pas de logique. Mon ami regardait mon calme comme un beau vase qui donne envie de le mettre en morceaux.
}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres I
|auteur= Paul Valéry
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|année=1957
|année d'origine=1924
|page=
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=
{{citation|citation=Maintenant, sur une immense terrasse d'Elsinore, qui va de Bâle à Cologne, qui touche aux sables de Nieuport, aux marais de la somme, aux craies de Champagne, aux granits d'Alsace, — l'Hamlet européen regarde des millions de spectres. Mais il est un Hamlet intellectuel. Il médite sur la vie et la mort des vérités.}}
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}}
== ''
{{citation|citation=L'accomplicement de nos désirs ne nous éloigne pas toujours de notre perte.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|page=931
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Notes sur la grandeur et décadence de l´Europe
}}
{{citation|citation=Une guerre dont l´issue n'a été due qu'a l'inégalité des puissances totales des adversaires, et une guerre suspendue.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|page=931
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Notes sur la grandeur et décadence de l´Europe
}}
{{citation|citation=La politique fut d'abord l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde. A une époque suivante, on y adjoignit l'art de contraindre les gens à décider sur ce qu'ils n'entendent pas.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|page=947
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Des parties
}}
{{citation|citation=L'historien fait pour le passé ce que la tireuse de cartes fait pour le futur. Mais la sorcière s'expose à une vérification et non l'historien.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|page=948
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Des parties
}}
{{citation|citation=L'existence des voisins est la seule défense des nations contre une perpétuelle guerre civile.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|page=948
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Des parties
}}
== ''Tel quel'' ==
{{citation|citation=Il est des hommes dont l´oreille, toute saine qu'elle est, ne distingue pas les sons d'avec les bruits.}}
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|page=481
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Choses
}}
Ligne 207 ⟶ 276 :
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Cahier B
}}
{{citation|citation=Le poème - cette hésitation prolongée entre le son et le sens.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1941
|page=636
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Rhumbs
}}
Ligne 218 ⟶ 299 :
|page=689
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Autres
}}
{{citation|citation=Le sujet d'un ouvrage est à quoi se réduit un mauvais ouvrage.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1941
|page=679
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Autres rhumbs
}}
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|page=689
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Autres
}}
{{citation|citation=Le
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
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|année=1960
|année d'origine=1941
|page=
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|chapitre=Autres
}}
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}}
== ''Mauvaise
{{citation|citation=Être soi-même!... Mais soi-même en vaut-il la peine?}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=811
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Offense-moi, - pour me donner la force de te tuer.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=826
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Tous nos ennemis sont mortels.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=834
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Quand nous parvenons au but, nous croyons que le chemin a eté le bon.}}
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|année d'origine=1942
|page=863
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Le simple est toujours faux. Ce qui n'est l'est pas est inutilisable.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=864
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=L´espoir fait vivre, mais comme sur une corde raide.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=864
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Nous avons de quoi saisir ce qui n'existe pas et de quoi ne pas voir ce qui nous crève les yeux.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=866
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=L'homme de génie est m'en donne.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=881
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Le pauvre est le produit d'une transformation facile effectuée sur le riche; le riche, celui d´une transformation difficile effectuée sur le pauvre.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=884
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Un homme compétent est un homme qui se trompe selon les règles.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=887
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Proverbe pour les puissants: Si quelqu'un te léche les bottes, mets-lui le pied dessus avant qu'il ne commence à te mordre.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=900
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Líndividu est la plus étrange création de l´homme.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=905
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
{{citation|citation=Dieu a tout fait de rien. Mais le rien perce.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres II
|auteur= Paul Valéry
|éditeur=Gallimard
|année=1960
|année d'origine=1942
|page=907
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
}}
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