« Thomas Bernhard » : différence entre les versions

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|ISBN=2-07-038390-3
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{{citation|citation=Les hommes que nous voyons sont des victimes de l'État, et l'humanité que nous voyons n'est rien d'autre que la mangeaille de l'État, donnée à manger à l'État qui devient de plus en plus glouton.}}
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|page=50}}
 
{{citation|citation=L'humanité est un gigantesque État qui, soyons sincères, à chaque réveil nous donne la nausée.}}
{{Réf Livre|titre=Maîtres anciens
|auteur=Thomas Bernhard
|traducteur=Gilberte Lambrichs
|année=1988
|année d'origine=1985
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|ISBN=2-07-038390-3
|page=51}}
 
{{citation|citation=Je déteste les hommes, mais ils sont en même temps mon unique raison de vivre.}}
{{Réf Livre|titre=Maîtres anciens
|auteur=Thomas Bernhard
|traducteur=Gilberte Lambrichs
|année=1988
|année d'origine=1985
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|ISBN=2-07-038390-3
|page=85}}
 
{{citation|citation=Les gens falsifient tout, ils falsifient jusqu'à l'enfance qu'ils ont eue. Ils disent, j'ai eu une belle enfance, et ils n'ont tout de même eu que l'enfer.}}
{{Réf Livre|titre=Maîtres anciens
|auteur=Thomas Bernhard
|traducteur=Gilberte Lambrichs
|année=1988
|année d'origine=1985
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|ISBN=2-07-038390-3
|page=87}}
 
{{citation|citation=Dès mon enfance je l'ai évitée, la masse, j'ai détesté la foule, le rassemblement de gens, cette concentration de grossièreté et d'étourderie et de mensonge. Autant nous ''devrions'' aimer chacun en particulier, me dis-je, autant nous détestons la masse.}}