« Thomas Bernhard » : différence entre les versions

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== ''Maîtres anciens'', 1985 ==
 
{{citation|citation=''Quand nous écoutons les guides, nous entendons tout de même toujours le bavardage sur l'art qui nous tape sur les nerfs, l'insupportable bavardage sur l'art des historiens d'art'' […]}}
{{Réf Livre|titre=Maîtres anciens
|auteur=Thomas Bernhard
|traducteur=Gilberte Lambrichs
|année=1988
|année d'origine=1985
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|ISBN=2-07-038390-3
|page=14}}
 
{{citation|citation=Tout de même les gens ne vont au musée que parce qu'on leur a dit qu'un homme cultivé doit y aller, pas par intérêt, les gens ne s'intéressent pas à l'art, quatre-vingt-dix-neuf pour cent de l'humanité, en tout cas, ne s'intéresse pas le moins du monde à l'art […]}}
{{Réf Livre|titre=Maîtres anciens
|auteur=Thomas Bernhard
|traducteur=Gilberte Lambrichs
|année=1988
|année d'origine=1985
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|ISBN=2-07-038390-3
|page=14}}
 
{{citation|citation=C'est seulement lorsque nous nous sommes rendu compte, à chaque fois, que le tout et la perfection n'existent pas, que nous avons la possibilité de continuer à vivre.}}
{{Réf Livre|titre=Maîtres anciens
|auteur=Thomas Bernhard
|traducteur=Gilberte Lambrichs
|année=1988
|année d'origine=1985
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|ISBN=2-07-038390-3
|page=37}}
 
{{citation|citation=Les professeurs abîment les élèves, voilà la vérité, depuis des siècles […]}}
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|ISBN=2-07-038390-3
|page=110}}
 
{{citation|citation=La faim culturelle de l'humanité civilisée est énorme, la perversité qui se cache là-dedans, universelle.}}
{{Réf Livre|titre=Maîtres anciens
|auteur=Thomas Bernhard
|traducteur=Gilberte Lambrichs
|année=1988
|année d'origine=1985
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|ISBN=2-07-038390-3
|page=149}}
 
{{citation|citation=Faire des cadeaux est une habitude épouvantable, naturellement contractée par mauvaise conscience et, très souvent aussi, par la peur commune de la solitude […]}}