« Arthur Rimbaud » : différence entre les versions

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[[Image:Carjat Arthur Rimbaud 1872 n2.jpg|thumb|Arthur Rimbaud en 1872 (17-18 ans).]]
'''[[w:Arthur Rimbaud|Jean Nicolas Arthur Rimbaud]]''' est un [[:Catégorie:Poète|poète]] [[:Catégorie:Personnalité française|français]], né le 20 octobre [[:Catégorie:Naissance en 1854|1854]] à Charleville, dans les Ardennes, et mort le 10 novembre [[:Catégorie:Décès en 1891|1891]] à l'hôpital de la Conception à Marseille.
 
== Correspondance ==
{{citation|citation=JE est un autre.
|précisions=Issue d'une des lettres « du voyant », à Georges Izambard (13 mai 1871)
}}
{{Réf Livre|titre=Poésies. Une saison en enfer. Illuminations.|auteur=Arthur Rimbaud|éditeur=Gallimard|année=1984|page=200|ISBN=
|collection=Poésie/Gallimard
|s=Lettres (Rimbaud)#À_Georges_Izambard_(13_mai_1871)
}}
 
{{citation|citation=Ô Nature ! ô ma mère !
|précisions=Issue d'une des lettres « du voyant », à Ernest Delahaye ( mai 1871)
}}
{{Réf Livre|titre=Poésies. Une saison en enfer. Illuminations.|auteur=Arthur Rimbaud|éditeur=Gallimard|année=1984|page=???|ISBN=
|collection=Poésie/Gallimard
|s=Lettres (Rimbaud)#À_Georges_Izambard_(13_mai_1871)
}}
 
== Poèmes ==
 
{{citation|<poem>Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse! et j'étais ton féal.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Ma bohème
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=91|vers=1-3|s=Ma bohème}}
 
{{citation|<poem>A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu, voyelles,
Je dirai quelque jour vos naissances latentes.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Voyelles
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=7|vers=1-2|s=Voyelles}}
 
{{citation|<poem>Elle est retrouvée
Quoi ? l'éternité.
C'est la mer allée
Avec le soleil.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=L'Éternité
|référence=Reliquaire/Genonceaux
|page=100|vers=1-4}}
 
{{citation|<poem>C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Le Dormeur du val
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=84|vers=1-4|s=Le Dormeur du val}}
 
{{citation|<poem>Ô saisons, ô chateaux
Quelle âme est sans défaut ?</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Ô saisons, ô chateaux
|référence=Reliquaire/Genonceaux
|page=148|vers=1-2}}
 
{{citation|<poem>- On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Roman
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=59|vers=29-30|s=Roman (Rimbaud)}}
 
{{citation|<poem>Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, - heureux comme avec une femme.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Sensation
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=53|vers 7-8|s=Sensation}}
 
=== Le Bateau ivre ===
 
{{citation|<poem>Comme je descendais des Fleuves impassibles
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs ;
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Le Bateau ivre
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=17|vers=1-4|s=Le Bateau ivre}}
 
{{citation|<poem>Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises,
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus avec de noirs parfums.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Le Bateau ivre
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=20|vers=53-56|s=Le Bateau ivre}}
 
{{citation|<poem>Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer.</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Le Bateau ivre
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=21|vers=89-90|s=Le Bateau ivre}}
 
== ''Une saison en Enfer'' ==
 
{{citation|Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient.<br />
Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère. - Et je l'ai injuriée.}}
{{réf Livre|référence=Une saison en Enfer/Alliance typographique
|page=1}}
 
{{citation|Le monde marche ! Pourquoi ne tournerait-il pas ?}}
{{réf Livre|référence=Une saison en Enfer/Alliance typographique
|section=« Mauvais sang »|page=7}}
 
{{citation|Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le
vôtre.}}
{{réf Livre|référence=Une saison en Enfer/Alliance typographique
|section=« Nuit de l'enfer »|page=15}}
{{Choisie citation du jour
|puce=*
|année=2008
|mois=novembre
|jour=10
|commentaire=
|}}
 
 
{{citation|Je n'aime pas les femmes. L'amour est à réinventer.}}
{{réf Livre|référence=Une saison en Enfer/Alliance typographique
|section=« Délires I : Vierge folle »|page=22}}
 
{{citation|J'écrivais des silences, des nuits, je notais l'inexprimable. Je fixais des vertiges.}}
{{réf Livre|référence=Une saison en Enfer/Alliance typographique
|section=« Délires II : Alchimie du verbe »|page=30}}
 
{{citation|La vieillerie poétique avait une bonne part dans mon alchimie du verbe.}}
{{réf Livre|référence=Une saison en Enfer/Alliance typographique
|section=« Délires II : Alchimie du verbe »|page=31}}
 
{{citation|La morale est la faiblesse de la cervelle.}}
{{réf Livre|référence=Une saison en Enfer/Alliance typographique
|section=« Délires II : Alchimie du verbe »|page=34}}
 
{{citation|Il faut être absolument moderne.}}
{{réf Livre|référence=Une saison en Enfer/Alliance typographique
|section=« Adieu »|page=52}}
 
== ''Illuminations'' ==
 
{{citation|La musique savante manque à notre désir.}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Conte
|référence=Poésies (Rimbaud)/Renaissance du livre|cacher auteur|page=106}}
 
 
{{citation|J'ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d'or d'étoile à étoile et je danse.}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Phrases |référence=Œuvres complètes d'Arthur Rimbaud/Pléiade|cacher auteur|page=132}}
 
== Sur Rimbaud ==
 
{{citation|Venez, chère grande âme, on vous appelle, on vous attend.}}
{{réf Livre|titre de la contribution=lettre|auteur de la contribution=Paul Verlaine
|référence=Œuvres complètes d'Arthur Rimbaud/Pléiade
|page=261}}
 
{{citation|Rimbaud fut un poète mort jeune mais vierge de toute platitude ou décadence - comme il fut un homme mort jeune aussi, mais dans son voeu bien formulé d'indépendance et de haut dédain de n'importe quelle adhésion à ce qu'il ne lui plaisait pas de faire ni d'être.}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Préface|auteur de la contribution=Paul Verlaine
|référence=Poésies (Rimbaud)/Vanier
|page=XVIII}}
 
 
 
 
{{interprojet|s=Arthur Rimbaud|commons=Category:Arthur Rimbaud|w=Arthur Rimbaud}}
 
{{DEFAULTSORT:Rimbaud, Arthur}}
 
[[Catégorie:Homme]]
[[Catégorie:Personnalité française]]
[[Catégorie:Écrivain]]
[[Catégorie:Poète]]
[[Catégorie:Naissance en 1854]]
[[Catégorie:Décès en 1891]]
 
[[de:Arthur Rimbaud]]
[[el:Αρθούρος Ρεμπώ]]
[[en:Arthur Rimbaud]]
[[es:Arthur Rimbaud]]
[[eo:Arthur RIMBAUD]]
[[gl:Arthur Rimbaud]]
[[it:Arthur Rimbaud]]
[[he:ארתור רמבו]]
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[[pt:Rimbaud]]
[[sl:Arthur Rimbaud]]