« Valéry Giscard d'Estaing » : différence entre les versions

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{{citation|citation=D'abord, je trouve toujours choquant et blessant de s'arroger le monopole du cœur. Vous n'avez pas, monsieur Mitterrand, le monopole du cœur, vous ne l'avez pas. J'ai un cœur comme le vôtre qui bat à sa cadence et qui est le mien [...] et ne parlez pas aux Français de cette façon si blessante pour les autres…}}
 
{{Réf Émission|émission=Débatdébat télévisé de l'entre-deux-tours de l'[[w:Élection présidentielle française de 1974|élection présidentielle de 1974]]
|auteur=Valéry Giscard d'Estaing à François Mitterrand
|diffuseur=[http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&from=fulltext&num_notice=4&full=monopole&cs_order=0&total_notices=70 les archives de l'INA]
|date=10 mai 1974
|langue=
}}
 
== Allocution d'adieu de 1981 ==
 
{{citation|citation=Françaises, Français, il y a sept ans, le peuple français me confiait la destinée de notre pays. Cela était un grand honneur pour moi de le diriger dans un monde difficile, dangereux, aux prises avec une crise économique, sociale et morale sans précédent depuis cinquante ans. Vous m'aviez donné en garde les biens les plus précieux de la collectivité nationale : la paix, la liberté et nos institutions. J'en ai été le gardien, et à l'heure où je m'en vais, ils vous sont restitués intactes. […] Après-demain, je quitterai l'Élysée. Je viens ce soir vous dire très simplement au revoir. […] Pendant sept ans, la France a vécu en paix, sans souffrir de secousses intérieures graves, ni politiques, ni sociales. Toutes les élections ont eu lieues à leurs dates normales. La France est restée le pays de toutes les libertés : le déroulement de l'élection présidentielle vient d'en apporter la preuve. […] Chaque fois que nos forces ont eu à intervenir à l'extérieur, elle l'ont fait avec succès ; cela restera mon honneur de l'avoir décidé. Si notre pays n'a pas connu toute la prospérité que je voulais pour lui, nous avons maintenu pendant sept ans la solidité du franc, limité le déficit budgétaire, rétablit l'équilibre de la sécurité sociale, et sauvé ainsi nos régimes sociaux. […] En ce jour qui marque pour beaucoup le terme de grandes espérances, je sais que vous êtes nombreux à partager mon émotion. […] Et dans ces temps difficiles, où le mal rôde et frappe dans le monde, je souhaite que la Providence veille sur la France, pour son bonheur, pour son bien et pour sa grandeur. Au revoir !}}
{{Réf Émission|émission=Journal télévisé de [[w:TF1|TF1]]
|auteur=Valéry Giscard d'Estaing
|diffuseur=[http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&from=fulltext&full=giscard+au+revoir&num_notice=2&total_notices=2 les archives de l'INA]
* Le |date=19 mai 1981, à 20 hheures.
|langue=
}}
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{{citation|citation=À la civilisation de masse doit succéder une civilisation à l'échelle de l'individu.}}
* Extrait d’une intervention à Lyon, le 23 avril 1981.
 
{{citation|citation=Pendant sept ans, la France a vécu en paix, sans souffrir de secousses intérieures graves, ni politiques, ni sociales. […] En ce jour qui marque pour beaucoup le terme de grandes espérances, je sais que vous êtes nombreux à partager mon émotion. […] Et dans ces temps difficiles, où le mal rôde et frappe dans le monde, je souhaite que la Providence veille sur la France, pour son bonheur, pour son bien et pour sa grandeur. Au revoir !}}
* Le 19 mai 1981, à 20 h.
 
== Après la présidence ==