« Le Gentleman d'Epsom » : différence entre les versions

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{{citation|citation=
{{personnage|Le Commandant}} : O tempora O mores.<br />
{{personnage|Lucien}} : Quoi ?<br />
{{personnage|Le Commandant}} : C'est du latin, ça veut dire drôle d'époque. Et quand je dis drôle d'époque je minimise. En réalité nous assistons au triomphe de la subversion, au renversement des valeurs. Mais dites-vous bien messieurs que le subversion ne date pas d'hier : je l'ai vue naître, moi, en 27, lorsqu'on a monté les hussards sur des motocyclettes. J'ai préféré ne pas participer à cette mascarade, car voir Saumur transformé en garage et le cadre noir en bleu de mécanicien c'est plus qu'un honnête homme ne pouvait en supporter et c'est pourquoi j'ai rendu ma cravache, mon képi et mes éperons. L'odeur du crottin, soit, mais l'odeur du cambouis, non !
}}
{{Réf Film|titre=Le Gentleman d'Epsom
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{{citation|citation=
{{personnage|Le Commandant}} : Qu'est-ce que c'est que ça ?<br />
{{personnage|Béatrice}} : Oh rien. Quelques intégrales, des vérifications sur les théories des groupes. C'est assez nouveau, c'est intéressant comme tout. Ça ne te dit rien ?<br />
{{personnage|Le Commandant}} : Si je comprenais quelque chose aux mathématiques, j'aurais fait l'artillerie comme Bonaparte et comme ton grand père. L'uniforme m'aurait plu, noir avec une bande rouge.
}}
{{Réf Film|titre=Le Gentleman d'Epsom
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
|acteur=Jean Gabin, Josée Steiner
}}