« Paul Lafargue » : différence entre les versions
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m →Karl Marx, Souvenirs personnels, 1890 : coquille |
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|année=1883
|page=V}}
{{Citation|Les socialistes révolutionnaires ont à recommencer le combat qu'ont combattu les philosophoses et les pamphlétaires de la bourgeoisie; ils ont à démolir, dans les têtes de la classe appelée à l'action, les préjugés semés par la classe régnante;...}}
{{Réf Livre|titre=Le Droit à la paresse
|auteur=Paul Lafargue
|éditeur=Le Temps des Cerises
|année=2002
|page=42
|partie=Avant-propos
|ISBN=2-84109-052-3
|année d'origine=1883
}}
{{citation|Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie traîne à sa suite des misères individuelles et sociales qui, depuis des siècles, torturent la triste humanité. Cette folie est l'amour du travail, la passion moribonde du travail, poussée jusqu'à l'épuisement des forces vitales de l'individu et de sa progéniture. Au lieu de réagir contre cette aberration mentale, les prêtres, les économistes, les moralistes, ont sacro-sanctifié le travail. Hommes aveugles et bornés, ils ont voulu être plus sages que leur Dieu; hommes faibles et méprisables, ils ont voulu réhabiliter ce que leur Dieu avait maudit.}}
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|chapitre=2 (« Bénédictions du travail »)
|page=20}}
{{Citation|Notre époque est, dit-on, le siècle du travail; il est en effet le siècle de la douleur, de la misère et de la corruption.}}
{{Réf Livre|titre=Le Droit à la paresse
|auteur=Paul Lafargue
|éditeur=Le Temps des Cerises
|année=2002
|page=73
|Chapitre=4 (« Bénédictions du travail »)
|ISBN=2-84109-052-3
|année d'origine=1883
}}
{{Citation|Notre époque sera appelée l'''âge de la falsification'' comme les premières époque de l'humanité ont reçu les noms d'''âge de pierre'', d'''âge de bronze'', du caractère de leur production.}}
{{Réf Livre|titre=Le Droit à la paresse
|auteur=Paul Lafargue
|éditeur=Le Temps des Cerises
|année=2002
|page=73
|Chapitre=4 (« Ce qui suis la surproduction »)
|ISBN=2-84109-052-3
|année d'origine=1883
}}
{{Citation|Ô idiots ! c'est parce que vous travaillez trop que l'outillage industriel se développe lentement.}}
{{Réf Livre|titre=Le Droit à la paresse
|auteur=Paul Lafargue
|éditeur=Le Temps des Cerises
|année=2002
|page=77
|Chapitre=4 (« Ce qui suis la surproduction »)
|ISBN=2-84109-052-3
|année d'origine=1883
}}
{{Citation|Pour forcer les capitalistes à perfectionner leurs machines de bois et de fers, il faut hausser les salaires et diminuer les heures de travail des machines de chaire et d'os. La preuve à l'appui ? C'est par centaine qu'on peut les fournir.}}
{{Réf Livre|titre=Le Droit à la paresse
|auteur=Paul Lafargue
|éditeur=Le Temps des Cerises
|année=2002
|page=77
|Chapitre=4 (« Ce qui suis la surproduction »)
|ISBN=2-84109-052-3
|année d'origine=1883
}}
{{Citation|... La ''Farce électorale''. Devant les électeurs, à têtes de bois et oreilles d'âne, les candidats bourgeois vêtus en paillasses danseront la danse des libertés politiques, se torchant la face et la postface avec leurs programmes électoraux aux multiples promesses, et parlant avec des larmes dans les yeux des misères du peuple et avec du cuivre dans la voix des gloires de la France; et les têtes des électeurs de braire en choeur et solidement: hi han! hi han!}}
{{Réf Livre|titre=Le Droit à la paresse
|auteur=Paul Lafargue
|éditeur=Le Temps des Cerises
|année=2002
|page=83-84
|Chapitre=4 (« À nouvel air, chanson nouvelle »)
|ISBN=2-84109-052-3
|année d'origine=1883
}}
{{citation|Ô Paresse, mère des arts et des nobles vertus, sois le baume des angoisses humaines !}}
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