« Octave Mirbeau » : différence entre les versions

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{{Citation|L'anarchie est la reconquête de l'individu, c'est la liberté du développement de l'individu, dans un sens normam et harmonique. On peut la définir d'un mot : l'utilisation spontanée de toutes les énergies humaines, criminellement gaspillées par l'État.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/11724030/Octave-Mirbeau-Preface-de-La-Societe-mourante-et-lanarchie-de-Jean-Grave Préface de ''La Société mourante et l'anarchie''], de Jean Grave, 1893}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
|titre=Combats politiques
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{{Citation|Chaque fois que j'apprends qu'un artiste que j'aime, qu'un écrivain que j'admire viennent d'être décorés, j'éprouve un sentiment pénible, et je me dis aussitôt : Quel dommage !
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/11703467/Octave-Mirbeau-Le-Chemin-de-la-Croix- « Le Chemin de la croix »], ''Le Figaro'', 16 janvier 1888
}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
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{{Citation|On n'explique pas une œuvre d'art comme on démontre un problème de géométrie. [...] Comment faire ? Le mieux serait donc d'admirer ce qu'on est capable d'admirer, et de se taire. Mais nous ne pouvons pas nous taire. Il nous faut crier notre enthousiasme ou notre dégoût.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/8458131/Octave-Mirbeau-Sur-M-Felix-Vallotton- Préface à l'exposition Félix Vallotton], janvier 1910
}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
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{{Citation|En art, l’exactitude est la déformation et la vérité est le mensonge. Il n’y a rien là d’absolument vrai, ou plutôt il existe autant de vérités humaines que d’individus.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/10847106/Octave-Mirbeau-Le-Reve- « Le Rêve »], ''Le Gaulois'', 3 novembre 1884
}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
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{{Citation|Ainsi nous en sommes là en ce siècle de la Réclame. Le talent n’est plus rien, l’art ne compte pas, le génie reste à terre, impuissant, rampant tristement sur les moignons de ses ailes coupées, s’il ne s’est pas promené à travers les rues par les pitres, affublé de costumes grotesques, comme un queue-rouge.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/10847714/Octave-Mirbeau-Reclame- « Réclame »], ''Le Gaulois'', 8 décembre 1884
}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
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{{Citation|Avez-vous réfléchi à ce qu’il y a de profondément comique, d’extraordinairement incohérent dans la situation d’un homme dont le devoir, sur la terre, consiste à inspecter les Beaux-Arts ? Moi, cela me fait l’effet de ces métiers burlesques que nous révèlent les chansons des cafés-concerts. Il me semble que celui qui “inspecte les Beaux-Arts” exerce une fonction aussi improbable que celle du monsieur qui “ramassait le crottin des chevaux de bois”.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/10666244/Octave-Mirbeau-La-Comedie-de-la-gloire- « La Comédie de la gloire »], ''L’Écho de Paris'', 3 mai 1889
}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
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{{Citation|Il ne s’agit plus de créer une belle œuvre, il faut savoir s’organiser une belle réclame.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/10668502/Octave-Mirbeau-Le-Manuel-du-savoir-ecrire- « Le Manuel du savoir-écrire »], ''Le Figaro'', 11 mai 1889
}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
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{{Citation|Le public veut de l’amour et ne veut que de l’amour. Les littérateurs sont bien forcés d’en vendre. Ils en vendent en boîte, en sac, en flacon, en bouteille […]. Si la littérature est restée en arrière des sciences, dans la marche ascensionnelle vers la conquête de l’idée, c’est que, plus avide de succès immédiats et d’argent, elle a davantage incarné les routines, les vices, l’ignorance du public, qui veut qu’on le berce et qu’on le berne avec des histoires de l’autre monde.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/8438087/Octave-Mirbeau-Amour-Amour- « Amour ! Amour ! »], ''Le Figaro'', 25 juillet 1890
}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
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{{Citation|Les symbolistes ont méconnu la première loi, qui est d’exprimer la vie. Ces gens-là ne la voient pas, leurs paysages ont les racines en l’air, ils peignent la mer avec du vermicelle. Ils ont la vie en horreur. Tout l’effort humain doit tendre vers la conquête de la vie. Tous ceux qui s’en écartent, poètes, peintres, romanciers, sont condamnés à disparaître.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/11340395/Octave-Mirbeau-Interview-sur-le-roman Interview de Mirbeau par Louis Vauxcelles], ''Le Figaro'', 10 décembre 1900
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{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
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{{Citation| Il n’y a pas de pires ignorants, de pires imbéciles, de pires réactionnaires, par conséquent de plus dangereuses bêtes que ce qu’on appelle les hommes d’esprit.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/2348134/Octave-Mirbeau-Sur-les-Academies- « Sur les académies »], ''Le Journal'', 12 janvier 1902
 
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}}
 
== LienLiens externeexternes ==
 
* [http://membreswww.lycosmirbeau.fr/octavemirbeau/dcitationsaccueilorg/citations.htmhtml Citations, sur le siteportail de la Société Octave Mirbeau].
* [http://start5g.ovh.net/~mirbeau/dcitationsaccueil/citations.htm Citations, sur le site de la Société Octave Mirbeau].
 
{{interprojet|s=Octave Mirbeau|commons=Category:Octave Mirbeau|w=Octave Mirbeau}}