« Marguerite Yourcenar » : différence entre les versions

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|chapitre=''Tellus stabilita''
}}
 
 
{{citation|Le culte de Mithra, moins répandu alors qu'il ne l'est devenu depuis nos expéditions chez les Parthes, me conquit un moment par les exigences de son ascétisme ardu, qui retendait durement l'arc de la volonté, par l'obsession de la mort, du fer et du sang, qui élevait au rang d'explication du monde l'âpreté banale de nos vie de soldats.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Mémoires d'Hadrien
|année de la contribution=1951
|page=57
 
{{citation|Chacun de nous croyait échapper aux limites de sa condition d'homme, se sentait à la fois lui-même et l'adversaire, assimilé au dieu dont on ne sait plus très bien s'il meurt sous forme bestiale ou s'il tue sous forme humaine. Ces rêves bizarres, qui aujourd'hui parfois m"épouvantent, ne différaient d'ailleurs pas tellement des théories d'Héraclite sur l'identité de l'arc et du but. Ils m'aidaient alors à tolérer la vie. La victoire et la défaite étaient mêlées, confondues, rayons différents d'un même jour solaire.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Mémoires d'Hadrien
|année de la contribution=1951
|page=58
|chapitre=''Tellus stabilita''
 
== ''[[w:L'Œuvre au noir|L'Œuvre au noir]]'', 1968 ==