« Michel Rocard » : différence entre les versions

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{{citation|citation=La France ne peut accueillir toute la misère du monde, mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part.}} (phrase prononcée le 3 décembre 1989 devant les militants de la Cimade. Cette phrase est très souvent citée dans sa version tronquée, la deuxième partie n'en est pas moins importante car Michel Rocard commente sa phrase le 24 août 1996<ref>[http://www.bok.net/pajol/rocard.html « La part de la France par Michel Rocard »], ''Le Monde'', 24 août 1996</ref>. De nombreuses personnalités ont néanmoins pu y voir en germe, les racines d'un vaste mouvement de lepénisation des esprits<ref>Sylvie Tissot et Pierre Tévanian, ''Dictionnaire de la lepénisation des esprits'', 2002</ref>.
 
{{citation|citation=1968-1974 [il a dirigé le PSU de 1967 à 1973] : six années infernales — pis encore, c’était une guerre infernale. J'étais toujours en défense. Le parti votait n'importe quoi. Ainsi, un beau jour, dans un conseil national, il a confirmé que nous étions un “parti révolutionnaire”. Qu'est-ce que j'avais à faire de ça ! J’étais empêtré. Je me débattais comme je pouvais. Je me rappelle avoir fait à la télé des cours de sémantique, expliquant que le mot “révolutionnaire” était en ce cas aussi anodin qu’il l’était quand la régie Renault prétendait que sa nouvelle Frégate avait une transmission “révolutionnaire”. Ça a fait rigoler la France entière.}}, {{Citation|Certes, je ne suis pas devenu président ; je n’ai pas vécu sous les ors de la monarchie républicaine ; mais mon inscription dans l’histoire du socialisme est déjà acquise.}}, {{Citation|Ça m’arrange d’avoir eu cette femme sectaire (Édith Cresson) comme successeur. Ça fait mieux ma différence…}}<ref>Michel
{{Réf Rocard, ''Livre|titre=Si la gauche savait'', 2005</ref>.
|auteur=Michel Rocard
|éditeur=Robert Laffont
|année=[[w:2005|2005]]
|page=
|ISBN=2221104358
|collection=
|langue=fr}}
 
{{citation|citation=Les historiens maîtrisent à peu près maintenant l'histoire humaine sur les {{formatnum:6000}} dernières années. Sur ces {{formatnum:6000}} ans, {{formatnum:5800}} ans ont vu l'homme manger ce que produisait la terre ; ce fut un monde où, en dehors de quelques prêtres et de quelques rois, tout le monde vécut dans des conditions de pauvreté extrême et effroyable. Nous sommes sortis de cela grâce au capitalisme.}}<ref>[[Frits
{{Réf Bolkestein]] et Michel Rocard, ''Livre|titre=Peut-on réformer la France ?'', Autrement, octobre 2006</ref>
|auteur=[[:w:Frits Bolkestein|Frits Bolkestein]] et Michel Rocard
|éditeur=Autrement
|année=[[w:2006|2006]]
|page=
|ISBN=2746708582
|année d'origine=
|collection=Frontières
|langue=fr}}
 
{{citation|citation=Le capitalisme est assurément la forme d'organisation sociale qui garantit les plus grandes marges de liberté à tous les acteurs du système. Cela ne peut évidemment pas tenir sans un haut degré d'autolimitation et d'autocontrôle.}}<ref>[http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-853408,0.html « Le capitalisme éthique, un principe fragile »], ''Le Monde'', 10 janvier 2007</ref>
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|page=10
}}
 
== Notes et références ==
{{Références}}
 
{{interprojet|w=Michel Rocard|commons=Michel Rocard}}