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|année=1986
|page=269}}
 
== ''Petite Somme contre les gentils'', 1986 ==
 
{{citation|citation=J'adore rouler mes contemporains dans le caca. Les mots orduriers ne me font pas peur, je nourris pour eux une passion stendhalienne. Il en est de bien laids, de bien gluants, de bien puants, de bien excrémentiels qui définissent excellemment le petit personnel que je brocarde.}}
{{Réf Livre
|titre=Petite Somme contre les gentils
|auteur=Michel-Georges Micberth
|éditeur=Res Universalis
|année=1986
|page=21}}
 
{{citation|citation=Dites à la populace que sa litière est un palais, sa jargonaphasie, une culture, sa morgue, un droit et elle vous offrira son adhésion. Il suffit de faire accroire n'importe quoi aux imbéciles pour que d'un coup d'un seul ils hissent sur le pavois les rusés qui les abusent.}}
{{Réf Livre
|titre=Petite Somme contre les gentils
|auteur=Michel-Georges Micberth
|éditeur=Res Universalis
|année=1986
|page=22}}
 
{{citation|citation=La rue m'offre le spectacle écoeurant de la multitude vulgaire et débraillée, de l'architecture déprimante pour handicapés moteurs et dérébraux ; l'édition évacue sur la table de mon cabinet de travail les déjections des gribouilles, oeuvres insipides, confiseries pour mongoliens, compilations de pompeurs professionnels, vertigineuse nullité ; le cinéma, la télévision, repaires de pâles voyous avachis, pressurent jusqu'à la sanie l'éternel chancre infecté des passions humaines, grande agitation qui se prend pour de l'action ; la campagne s'enlaidit des soues boueuses de nos grands prédateurs prolétaires au motif qu'ils auraient - eux aussi - le droit au repos dominical contre la nature, l'arbre, le buisson, le faisan, l'alouette...}}
{{Réf Livre
|titre=Petite Somme contre les gentils
|auteur=Michel-Georges Micberth
|éditeur=Res Universalis
|année=1986
|page=23}}
 
{{citation|citation=[Sur François Mitterrand] J'ai honte de son physique de prélat pervers ou de gluant florentin, de ses manières onctueuses de sodomite incontinent, de sa posture de potiche peinturlurée ou de momie enclosée derrière une vitrine sale, de sa dialectique qui évoque les momeries d'un tribun de sous-préfecture, de toute la détestable médiocrité qui se dégage de son image télévisée et qui fait penser au "parrain" d'une quelconque association de malfaiteurs.}}
{{Réf Livre
|titre=Petite Somme contre les gentils
|auteur=Michel-Georges Micberth
|éditeur=Res Universalis
|année=1986
|page=26}}
 
{{citation|citation=Est vraiment de droite à notre époque, celui qui refuse le sens de l'histoire, qui n'admet pas la démocratie indirecte, la République bâtie sur les cadavres de centaines de milliers de Français ; qui nie en bloc les lois républicaines, la constitution, les institutions bricolées par les petits-enfants de Robespierre et rejette en fait le dieu-peuple.}}
{{Réf Livre
|titre=Petite Somme contre les gentils
|auteur=Michel-Georges Micberth
|éditeur=Res Universalis
|année=1986
|page=37}}
 
{{citation|citation=L'immonde sanie socialo-communiste sortait des fosses, pour se répandre dans une insoutenable puanteur sur tout notre pays. Ce fut le temps des helminthes triomphants, des ascaris couronnés, des cestodes exultants et des oxyures ébahis.
Bref, les déjections prenaient le pouvoir.}}
{{Réf Livre
|titre=Petite Somme contre les gentils
|auteur=Michel-Georges Micberth
|éditeur=Res Universalis
|année=1986
|page=72}}
 
{{interprojet|s= Michel-Georges Micberth|w= Michel-Georges Micberth}}