« Georges Clemenceau » : différence entre les versions

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|chapitre=IV (« Le défaitisme »)
|page=105}}
 
{{citation
|citation=Pas davantage jusque-là (...) elle n'avait su tirer les fruits les plus faciles à cueillir de la victoire; elle avait à ce point gâché les avantages que nous avaient valus le génie de nos hommes de guerre et la vaillance de nos soldats que l'on vit bientôt la nation victorieuse, celle qui eût dû dicter sa loi au monde, donner le spectacle d'un pays ruiné, assisté, humilié presque, et obtempérant aux moindres désirs de Londres ou de New-York. Certains de ces désirs exprimaient tant de sottise, de cynisme et d'ingratitude de la part de ces alliés, qu'il serait permis de se demander comment un Clemenceau avait pu y souscrire, si l'on ne savait que de politicien était le docile serviteur de l'Angleterre et que des raisons de démagogie électorale et de doctrine maçonnique lui dictèrent des acquiescements où s'inscrivait déjà (..) la promesse d'une guerre future.
|précisions=Sur la France en 1934.
}}
{{Réf Livre
|titre=Histoire de l'Action Française
|auteur={{w|Lazare de Gérin-Ricard}} et {{w|Louis Truc}}
|éditeur=Fournier-Valdès
|année=1949
|page=180
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|chapitre=XII, Heurs et malheurs...
|section=
}}
 
{{interprojet|s=Auteur:Georges Clemenceau|w=Georges Clemenceau}}