« Lazare de Gérin-Ricard » : différence entre les versions

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== Citations ==
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|citation=La victoire perdue, le franc à quatre sous, tout cela avait passé comme lettre à la poste ; les anciens combattants avaient haussé les épaules ; les chansonnnierschansonniers s'en étaient donné à coeurcœur joie contre les politiciens ; le tirage des journaux de droite avait doublé, et c'était tout.
|précisions=Sur la politique française de l'après-première guerre mondiale.
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{{citation
|citation=Pas davantage jusque-là (...) elle n'avait su tirer les fruits les plus faciles à cueillir de la victoire; elle avait à ce point gâché les avantages que nous avaient valus le génie de nos hommes de guerre et la vaillance de nos soldats que l'on vit bientôt la nation victorieuse, celle qui eût dû dicter sa loi au monde, donner le spectacle d'un pays ruiné, assisté, humilié presque, et obtempérant aux moindres désirs de Londres ou de New-York. Certains de ces désirs exprimaient tant de sottise, de cynisme et d'ingratitude de la part de ces alliés, qu'il serait permis de se demander comment un Clemenceau avait pu y souscrire, si l'on ne savait que ce politicien était le docile serviteur de l'Angleterre et que des raisons de démagogie électorale et de doctrine maçonnique lui dictèrent des acquiescements où s'inscrivait déjà (..) la promesse d'une guerre future.
|précisions=Sur la France de l'après-première guerre mondiale et l'action de [[Georges Clemenceau]].
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|citation=(...) l'Action française commémora au cimetière Montparnasse le quatrième anniversaire de l'assassinat de Gabriel Syveton, par le port d'une couronne dont la banderole portait : "AÀ la mémoire de Gabriel Syveton, assassiné par ordre, la veille du procès qui fit peur au traître Dreyfus."
|précisions=
}}