« Jean Paulhan » : différence entre les versions

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{{citation|citation=Et je sais, dit-il, qu'il y en a qui disent : ils sont morts pour peu de choses. Un simple renseignement, pas toujours très précis ne valait pas ça, ni un tract, ni même un journal clandestin parfois mal composé. A ceux là il faut répondre : c'est qu'ils étaient du côté de la vie. C'est qu'ils aimaient des choses aussi insignifiantes qu'une chanson, un claquement de doigts, un sourire. Tu peux serrer dans ta main une abeille jusqu'à ce qu'elle étouffe. Elle n'étouffera pas sans t'avoir piqué. C'est peu de choses, dis-tu. Oui, c'est peu de choses. Mais si elle ne te piquait pas, il y a longtemps qu'il n'y aurait plus d'abeilles.}}
{{Réf Article|titre=L’Abeille
|auteur=Jean Paulhan (sous le pseudonyme de "Juste")
|publication=Les Cahiers de Libération
|date=Février 1944
|page=
}}
 
{{interprojet|w=Jean Paulhan}}