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== Citations remarquables ==
{{citation|citation=Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de chaque côté. Puis au milieu, il y a des… des tourbillons d'îles flottantes avec des orchidées hautes comme des arbres. Le Yang-tsé-Kiang, camarade, c'est des millions de mètres cubes d'or et de fleuresfleurs qui descendent vers Nankin, puis avec tout le long des villes ponton où on peut tout acheter, l'alcool de riz, les religions… les garces et l'opium…
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{{Réf Film|titre=Un singe en hiver
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{{citation|citation=Cette nuit, Albert vous a parlé du Yang Tsé -tsé-Kiang. Eh bien il! Il faut pas ! C'est mauvais pour lui.
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{{Réf Film|titre=Un singe en hiver
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|acteur=Suzanne Flon}}
 
{{citation|citation=Ah ! Nous y voilà ! Ma bonne Suzanne, tu viens de commettre ton premier faux- pas ! Y a des femmes qui révèlent à leur mari toute une vie d'infidélité, mais toi, tu viens de m'avouer 15 années de soupçon. C'est pire ! Eh bien que t'a peut-être raison : qui a bu boira ! Ça faut reconnaître qu'on a le proverbe contre nous.
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{{Réf Film|titre=Un singe en hiver
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{{citation|citation=En Chine, quand les grands froids arrivent, dans toutes les rues des villes, on trouve des tas de petits singes égarés sans père ni mère. On sait pas s'ilils sont venus là par curiosité ou bien par peur de l'hiver, mais comme tous les gens là-bas croient que même les singes ont une âme, ils donnent tout ce qu'ils ont pour qu'on les ramène dans leur forêt, pour qu'ils trouvent leurs habitudes, leurs amis. C'est pour ça qu'on trouve des trains pleins de petits singes qui remontent vers la jungle.
}}
{{Réf Film|titre=Un singe en hiver
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Suzanne}} : Avoue que c'est quand même une drôle d'heure pour arriver, surtout de ce temps -là !
{{Personnage|Albert}} : Ah ! Les voyageurs c'est fait pour voyager, le temps n'a rien à voir là-dedans !
</poem>
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{{Personnage|Albert}} : Le voyage, votre façon de voyager.
{{Personnage|Gabriel}} : Ah ça ! C'est un secret !
{{Personnage|Albert}} : Oh ! là là ! Le véhicule, je le connais : je l'ai déjà pris. Et ce n'était pas un train de banlieue, vous pouvez me croire. M. Fouquet, moi aussi, il m'est arrivé de boire. Et ça m'envoyait un peu plus loin que l'Espagne. Le Yang Tsé -tsé-Kiang, vous en avez entendu parler du Yang Tsé -tsé-Kiang ? Cela tient de la place dans une chambre, moi je vous le dis !
</poem>
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{{Personnage|Esnault}} : Les grands ducs !
{{Personnage|Albert}} : Oui, monsieur ! Les princes de la cuite, les seigneurs ! Ceux avec qui tu buvais le coup dans le temps et qui ont toujours fait verre à part ! Dis-toi bien, que tes clients et toi, ils vous laissent à vos putasseries les seigneurs : ils sont à cent mille verres de vous ! Eux, ils tutoient les anges !
{{Personnage|Esnault}} : Excuse -moi, mais nous autres on est encore capable de tenir le litre sans se prendre pour Dieu le Père !
{{Personnage|Albert}} : Mais, c'est bien ce que je vous reproche ! Vous avez le vin petit et la cuite mesquine. Dans le fonds, vous ne méritez pas de boire ! Tu te demandes pourquoi il picole l'Espagnol ? C'est pour essayer d'oublier les pignoufs comme vous !
</poem>