« Abus sexuels sur mineurs dans l'Église catholique » : différence entre les versions

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L''''[[Église catholique romaine|Église catholique]]''' fait face depuis la fin du {{s-|XX|e}}XXe siècle à la révélation de plusieurs affaires d''''[[Abus sexuel sur mineur|abus sexuels sur mineurs]]''' commis par des [[Prêtre catholique|prêtres]] et des religieux. Si certaines de ces affaires ont été portées en justice, d'autres sont prescrites. D'autres encore ont été couvertes ou étouffées par la hiérarchie ecclésiastique. Depuis le début du {{s-|XXI|e}}XXIe siècle, de nombreux diocèses tendent à reconnaître publiquement leurs torts et cherchent à mieux collaborer avec les autorités civiles.
 
 
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{{citation|Le débat actuel sur les prêtres pédophiles – considéré du point de vue du sociologue – est un exemple typique de « panique morale ». Le concept trouve son origine dans les années 1970 pour expliquer comment certains problèmes sont l’objet d’une « hyper-construction sociale ». Plus précisément, les paniques morales ont été défini comme des problèmes socialement construits, caractérisés par une amplification systématique des données réelles, que ce soit dans la représentation médiatique, ou dans le débat politique.
|langue=fr}}
{{Réf Pub|nom=[[Massimo Introvigne]]
|date={{Date|28|mars|2010}}
|lieu=