« Ludwig Tieck » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
Ligne 22 :
}}
{{Réf Article
|titre=La Coupe d'Or et autres contes
|auteur=Louis Tieck
|publication={{w|Denoël et Steele, trad. Albert Béguin}}
|date=1933
|page=191}}
{{Citation
|J'étais donc de la meilleure humeur du monde et je me régalais à coeur-que-veux-tu. Au reste, je n'ai jamais aimé à me rien refuser, car après tout, on est toujours son propre prochain.
}}
{{Réf Article
|auteur=Louis Tieck
|publication={{w|Denoël et Steele, trad. Albert Béguin}}
|date=1933
|page=238}}
Ligne 36 ⟶ 44 :
}}
{{Réf Article
|titre=La Coupe d'Or et autres contes
|auteur=Louis Tieck
|publication={{w|Denoël et Steele, trad. Albert Béguin}}
|date=1933
|page=254}}
Ligne 43 ⟶ 56 :
}}
{{Réf Article
|titre=La Coupe d'Or et autres contes
|auteur=Louis Tieck
|publication={{w|Denoël et Steele, trad. Albert Béguin}}
|date=1933
|page=260}}
== Liens ==
|