« Un singe en hiver (film) » : différence entre les versions

'''[[w:Un singe en hiver (film)|Un singe en hiver]]''' est un film d'[[Henri Verneuil]] sorti en [[w:1962 au cinéma|1962]]. Les dialogues sont signés [[Michel Audiard]].

{{citation|citation=Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de chaque côté. Puis au milieu, il y a des… des tourbillons d'îles flottantes avec des orchidées hautes comme des arbres. Le Yang-tsé-Kiang, camarade, c'est des millions de mètres cubes d'or et de fleurs qui descendent vers Nankin, puis avec tout le long des villes ponton où on peut tout acheter, l'alcool de riz, les religions… les garces et l'opium…}}

|acteur=Jean Gabin}}

{{citation|citation=Aux chiottes les Teutons ! Bande de mange-merde !}}

|acteur=Jean Gabin}}

{{citation|citation=Si je buvais moins, je serais un autre homme, et j'y tiens pas !}}

|acteur=Jean Gabin}}

{{citation|citation=Arrière les Esquimaux ! Je rentre seul. Un matador rentre toujours seul ! Plus il est grand, plus il est seul. Je vous laisse à vos banquises, à vos igloos, à vos pingouins. ¡ Por favor Señora ! À quelle heure le train pour Madrid ?}}

|acteur=Jean-Paul Belmondo}}

{{citation|citation=Le picon-bière, ça pardonne pas. C'est de ça que mon pauvre papa est mort. Il n'y a rien de plus traître !}}

|acteur=Paul Frankeur}}

{{citation|citation=Cette nuit, Albert vous a parlé du Yang-tsé-Kiang. Eh bien ! Il faut pas ! C'est mauvais pour lui.}}

{{citation|citation=L'imprévu ? Qu'est-ce que c'est ?}}

{{citation|citation=Ah ! Nous y voilà ! Ma bonne Suzanne, tu viens de commettre ton premier faux pas ! Y a des femmes qui révèlent à leur mari toute une vie d'infidélité, mais toi, tu viens de m'avouer 15 années de soupçon. C'est pire ! Eh bien que t'a peut-être raison : qui a bu boira ! Ça faut reconnaître qu'on a le proverbe contre nous.}}

|acteur=Jean Gabin}}

{{citation|citation=Les gastronomes disent que c'est une maison de passe et les vicelards un restaurant chinois.}}

|acteur=Jean Gabin}}

|acteur=Jean-Paul Belmondo}}

{{citation|citation=Quand on a un enfant, y a des choses qu'on a pas le droit de faire !}}

|acteur=Jean Gabin}}

{{citation|citation=Dis-toi bien que si quelque chose devait me manquer, ce ne serait plus le vin, ce serait l'ivresse !}}

|acteur=Jean Gabin}}

{{citation|citation=Tenez, mon vieux ! Si je vous disais que certains soirs, derrière ce mur, là, et ben, j'ai vu, pas cru voir, hein, j'ai vu, une ville, des tramways, là, la foule, des drames ! }}

|acteur=Jean Gabin}}

{{citation|citation=Monsieur Esnault, si la connerie n'est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille !}}

|acteur=Jean-Paul Belmondo}}

|précisions=Landru en parlant des gendarmes lors du feu d'artifice.}}

|acteur=Noêl Roquevert}}

{{citation|citation=En Chine, quand les grands froids arrivent, dans toutes les rues des villes, on trouve des tas de petits singes égarés sans père ni mère. On sait pas s'ils sont venus là par curiosité ou bien par peur de l'hiver, mais comme tous les gens là-bas croient que même les singes ont une âme, ils donnent tout ce qu'ils ont pour qu'on les ramène dans leur forêt, pour qu'ils trouvent leurs habitudes, leurs amis. C'est pour ça qu'on trouve des trains pleins de petits singes qui remontent vers la jungle.}}

|acteur=Jean Gabin}}

{{citation|citation=Les assassins et les voleurs se nourrissent de journaux. L'homme traqué est obligé de se tenir au courant de tout. Depuis cette manie des portraits-robots, je suis obligé de changer de tête tous les jours. Je m'étais fait hier, je crois, la tête de l'homme qui boit. Demain de quoi sera-t-il fait ?}}

|acteur=Jean-Paul Belmondo}}

{{citation|citation={{Personnage|Albert}} : C'est pas l'alcool qui me manque , c'est l'ivresse !}}

|acteur=Jean Gabin}}

{{Personnage|Albert Quentin}} : Je ne vous apprendrai rien en vous rappelant que Huang Ho veut dire fleuve jaune et Yang-tsé-Kiang fleuve bleu. Je ne sais pas si vous vous rendez compte de l'aspect grandiose du mélange. Un fleuve vert ! Vert comme les forêts, comme l'espérance. Matelot Esnault, nous allons repeindre l'Asie, lui donner une couleur tendre. Nous allons installer le printemps dans ce pays de merde.</poem>}}

|acteur=Jean Gabin, Paul Frankeur}}

|précisions=Pendant un bombardement.}}

|acteur=Suzanne Flon, Jean Gabin}}

</poem>}}

|acteur=Suzanne Flon, Jean Gabin}}

</poem> }}

|acteur=Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo}}

</poem>}}

|acteur=Jean Gabin, Paul Frankeur}}

</poem>}}

|acteur=Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo}}

</poem>}}

|acteur=Suzanne Flon, Jean Gabin}}

</poem>}}

|acteur=Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo}}

|précisions=La toute dernière réplique du film.}}

|acteur=Jean-Paul Belmondo}}

|précisions= trébuchant, ivre, dans la rue.}}

|acteur=Jean-Paul Belmondo}}