« Saïd Boualam » : différence entre les versions

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|année d'origine=1963
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}}
 
{{citation|[L]’oeuvre de la France est une réalité et aujourd’hui, dans le chaos et la guerre civile qui déchirent et mutilent mon pays, s’impose une vérité historique que l’Occident va apprendre à ses dépens : la nécessité de la présence française. Hors cette paix que la France a maintenue pendant un siècle, le vieux fanatisme religieux de l’Islam, [...], n’ouvre qu’une voie : le retour sanglant à la féodalité.
}}
{{Réf Livre|titre=Mon pays la France
|auteur=[[:w:Saïd Boualam|Saïd Boualam]]
|éditeur=Pocket
|année=1973
|année d'origine=1963
|page=17
}}
 
{{citation|Quand les Français débarquèrent sur nos côtes, le mot Algérie n’existait pas. Notre histoire commence en 1845 comme celle de la France, en tant que peuple, a commencé avec les Capétiens. 1830, en cette terre d’Afrique du Nord, c’est le chaos, deux millions d’esclaves rançonnés par les pillards ou les féodaux, rongés par la syphilis, le trachome, le choléra, la malaria ; des déserts, des marais pestilentiels, plus rien de ce qui avait été la paix romaine.
}}
{{Réf Livre|titre=Mon pays la France
|auteur=[[:w:Saïd Boualam|Saïd Boualam]]
|éditeur=Pocket
|année=1973
|année d'origine=1963
|page=23
}}
 
{{citation|On a laissé insulter ces soldats qui sont pourtant vos fils, Français de France, ces soldats que j’ai vu tenir les mancherons de la charrue dans les champs de nos paysans, mettre au monde des petits Musulmans, les soigner, leur apprendre à lire, à travailler.
}}
{{Réf Livre|titre=Mon pays la France
|auteur=[[:w:Saïd Boualam|Saïd Boualam]]
|éditeur=Pocket
|année=1973
|année d'origine=1963
|page=26
}}
 
{{citation|Je ne retiens pas de l’œuvre française que ces terres arrachées à l’érosion, ces routes, ces ports, ces barrages, je voudrais montrer aux esprits évolués de la décolonisation, un aspect qu’ils doivent ignorer, je pense, de l’action de la France : l’enseignement.
}}
{{Réf Livre|titre=Mon pays la France
|auteur=[[:w:Saïd Boualam|Saïd Boualam]]
|éditeur=Pocket
|année=1973
|année d'origine=1963
|page=69
}}
 
{{citation|L’erreur [...] a été de croire qu’une négociation pouvait s’engager sur des bases démocratiques avec ceux-là qu’on osera appeler beaucoup plus tard des braves et qui ne tenaient leur représentativité que des couteaux et des mitraillettes tchèques braquées sur les populations.
}}
{{Réf Livre|titre=Mon pays la France
|auteur=[[:w:Saïd Boualam|Saïd Boualam]]
|éditeur=Pocket
|année=1973
|année d'origine=1963
|page=102
}}
 
{{citation|Hommes égorgés et mutilés, femmes violées avant d’être assassinées, enfants épinglés aux murs au bout de baïonnettes, tels des papillons, bétail mutilé, égorgé. C’était cela la guerre d’Algérie. Ces tueurs qui s’acharnaient sur tout ce qui représentait la France, sa civilisation et surtout sur les familles musulmanes.
}}
{{Réf Livre|titre=Mon pays la France
|auteur=[[:w:Saïd Boualam|Saïd Boualam]]
|éditeur=Pocket
|année=1973
|année d'origine=1963
|page=122
}}