« Saïd Boualam » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
+1 |
|||
Ligne 94 :
|année d'origine=1963
|page=206}}
{{citation|Comme il était beau ce 13 mai [1958] de la fraternité et comment n'avez-vous pas senti, Français de France, ce miracle qui liait à tout jamais la France et l'Algérie en un seul espoir, celui d'en finir avec une poignée de tueurs qui n'ont jamais représenté le peuple algérien [...]. Si vous aviez vu le visage de ces jeunes Musulmans, de ces femmes qui déchiraient leur voile, de ces anciens combattants qui brandissainr leurs décorations, vous auriez compris que ce jour concrétisait la conquête que la France avait réalisée il y a cent trente ans, celle des coeurs.}}
{{Réf Livre|titre=Mon pays la France
|auteur=[[:w:Saïd Boualam|Saïd Boualam]]
|éditeur=Pocket
|année=1973
|année d'origine=1963
|page=240}}
{{citation|Même au moment ou tout était perdu, il y avait dans le coeur de certains Musulmans l'immense espoir que les chefs militaires prestigieux qui avaient été à la tête de l'Armée française et qui avaient pris la tête de l'armée secrète parviennent à la victoire. J'ai le devoir d'écrire que si de nombreux Musulmans, beaucoup plus nombreux qu'on ne le dit, se sont embarqués sur cette galère qu'ils soient du MNA ou de l'Algérie française, c'est qu'ils voyaient dans l'OAS une planche de salut, leur dernière avant de s'avouer vaincus, avant de dire définitivement, nous avons été trahis.}}
|