« Orange mécanique » : différence entre les versions
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{{Citation|citation={{personnage|Alex}} : C'est du coté de l'ancien casino en ruines qu'on est tombés sur Billy Boy et ses quatre droogies. Il se mettaient en train pour s'offrir une séance de ça-va-ça-vient avec une pauvre petite devotchka fraîche levée.▼
▲{{personnage|Alex}} : C'est du coté de l'ancien casino en ruines qu'on est tombés sur Billy Boy et ses quatre droogies. Il se mettaient en train pour s'offrir une séance de ça-va-ça-vient avec une pauvre petite devotchka fraîche levée.
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{{Citation|citation={{personnage|Alex}} : Oh ! Oh ! Oh ! Si ce n'est pas ce gros sac tout poicreux de Billy Boy empoisonne ? Que racontes-tu, grosse outre pleine de mauvaises huiles à mauvaises fris, graillon puant ? Viens t'en prendre un dans les cabouilles, s'il te reste des cabouilles, triste eunuque en gélatine !▼
▲{{personnage|Alex}} : Oh ! Oh ! Oh ! Si ce n'est pas ce gros sac tout poicreux de Billy Boy empoisonne ? Que racontes-tu, grosse outre pleine de mauvaises huiles à mauvaises fris, graillon puant ? Viens t'en prendre un dans les cabouilles, s'il te reste des cabouilles, triste eunuque en gélatine !
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{{citation|citation=
{{personnage|Mr Deltoïd}} puis {{personnage|Le ministre de l'intérieur}} : Suis-je suffisamment clair ?
{{personnage|Alex}} : Comme un lac de montagne, monsieur (Fred). Aussi clair qu'un ciel d'Azur au coeur de l'été (par un beau matin de mai). Vous pouvez compter sur moi, monsieur (Fred).
</poem>
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{{citation|citation={{personnage|Alex}} : Oh oui, j'étais guéri pour de bon.
|précisions=Dernière phrase prononcée par Alex à la toute fin du film, alors qu'il se met à imaginer une scène d'une parfaite obscenité sans subir les douleurs habituelles qui y sont liées, signe que les effets de son conditionnement commencent à s'estomper.
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