« Vin et religion » : différence entre les versions

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== =''Théodore MonodVoltaire'', 1937 1772===
{{citation|Sa religion est sage, sévère, chaste, et humaine : sage, puisqu’elle ne tombe pas dans la démence de donner à Dieu des associés, et qu’elle n’a point de mystères ; sévère, puisqu’elle défend les jeux de hasard, le vin et les liqueurs fortes, et qu’elle ordonne la prière cinq fois par jour ; chaste, puisqu’elle réduit à quatre femmes ce nombre prodigieux d’épouses qui partageaient le lit de tous les princes de l’Orient ; humaine, puisqu’elle nous ordonne l’aumône bien plus rigoureusement que le voyage de la Mecque. Ajoutez à tous ces caractères de vérité, la tolérance.}}
{{réf Livre|auteur=Voltaire
|titre=Oeuvres complètes de Voltaire
|titre de la contribution=Il faut prendre un parti
|année de la contribution=1772
|éditeur=Moland|année=1875|chapitre=23-Discours d’un Turc|page=547|tome=28}}
 
===''Théodore Monod'', 1937===
{{citation|citation=Au lieu de chercher dans la prohibition islamique prétexte à plaisanteries plus ou moins spirituelles, au lieu de nous réjouir publiquement, avec une presse vendue à la cause du vin "national", des progrès de la consommation des boissons fermentées (c'est-à-dire, en français, de l'alcool et de l'alcoolisme) en pays musulman, sachons admirer un grand exemple et renonçons au fallacieux espoir que la vue d'un sous-officier ivre soit toujours de nature à rehausser, aux yeux de l'indigène saharien, le prestige du "chrétien" et du "civilisé".}}
{{Réf Livre|titre=Méharées