Baruch Spinoza
Baruch Spinoza est un philosophe néerlandais né à Amsterdam en 1632 et décédé à La Haye en 1677.
Citations rapportées de Spinoza
modifier- La philosophie pour les nuls, Christian Godin, éd. First Éditions, 2006 (ISBN 2-87691-998-2), p. 241
- Start-up nation overdose bullshit, Arthur De Grave, éd. Rue de l'échiquier, 2019 (ISBN 9-782374-251561), p. 77
D'autres auteurs le concernant
modifierMaxime Rovere, La joie, mode d'emploi, 2010
modifier- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « La joie, mode d'emploi », Maxime Rovere, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 68
- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « La joie, mode d'emploi », Maxime Rovere, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 68
- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « La joie, mode d'emploi », Maxime Rovere, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 68
- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « La joie, mode d'emploi », Maxime Rovere, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 69
- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « La joie, mode d'emploi », Maxime Rovere, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 70
Filippo Mignini, Dieu tout-pensant, 2010
modifier- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « Dieu tout-pensant », Filippo Mignini, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 76
- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « Dieu tout-pensant », Filippo Mignini, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 76
Françoise Barbaras, Une sociologie en puissance ?, 2010
modifier- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « Une sociologie en puissance ? », Françoise Barbaras, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 82
En termes modernes, la puissance chez Spinoza renvoie au concept scientifique de travail ; elle a la dimension d'une énergie, grandeur scalaire, et non d'une force, vecteur de changement, supposant à la fois un point d'application, la localisation d'une source et une direction.
Ce concept spinoziste de « puissance » implique un bilan, l'idée d'une équivalence entre ce qui se dépense dans la cause et ce qui se gagne dans l'effet, entre les quantités de réalité, les « perfections » comme dit Spinoza, qui sont engagées dans une cause et dans un effet. La puissance est une grandeur conservative, une quantité de réalité (une « perfection ») qui se conserve dans la liaison de la cause à l'effet, la composition réglée qui définit l'action.
- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « Une sociologie en puissance ? », Françoise Barbaras, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 82
Nicolas Israël, Gare aux abus de tranquilisants, 2010
modifier- Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.
- « Gare aux abus de tranquilisants », Nicolas Israël, Le Magazine Littéraire, nº 493, Janvier 2010, p. 85
Alberto Eiguer, Psychanalyse du libertin, 2010
modifier- Psychanalyse du libertin, Alberto Eiguer, éd. Dunot, coll. « Psychismes », 2010 (ISBN 978-2-10-054958-0), partie I. Libertinage, le plaisir et la joie, chap. Le libertinage épousant l'histoire, Les libertins érudits du XVIIe siècle, p. 63
Ménissier observe que l'œuvre de Spinoza réserve quelques surprises puisqu'elle propose un angle d'observation différent [...] : il étudie l'obtention d'une bonne réputation sociale par des gestes ou des actions mérités qui conduisent à une reconnaissance complémentaire par les co-citoyens.
Ménissier poursuit :
« Du point de vue de Spinoza, la gloire est une illusion à la fois structurante pour l'individu et féconde pour la société : nous imaginons qu'autrui nous considère comme grand ; nous projetons alors sur nous-mêmes une certaine grandeur que nous prêterait autrui, et à partir de là nous nous fortifions par notre imagination. L'impression de gloire résulte donc d'un travail de construction de notre propre éminence, et par conséquent d'une autoglorification. Or celle-ci ne doit pas — ou pas seulement — être comprise comme un sentiment de délectation intime : elle engendre un véritable travail de subjectivation à l'égard d'autrui, lequel fait office de relais nécessaire en vue d'une reconnaissance, certes illusoire ou hypothétique — car il n'est pas certain qu'autrui nous prête effectivement autant de crédit que nous croyons — mais qui constitue bel et bien une reconnaissance de soi par soi » (2009).
Ce ne sont pas tant les succès, les prix, les décorations qui contribuent à l'affirmation de soi, mais un travail subjectif.
- Psychanalyse du libertin, Alberto Eiguer, éd. Dunot, coll. « Psychismes », 2010 (ISBN 978-2-10-054958-0), partie I. Libertinage, le plaisir et la joie, chap. Le libertinage épousant l'histoire, Joie et liberté, p. 64
Pour Spinoza (1677), les affects constituent des éléments essentiels de l'être. Le désir émane de l'être intime, le conatus, qui évolue en joie ou en tristesse [...].
Pour ce qui concerne la joie, elle s'oriente vers un état de béatitude, parce qu'elle tend à la perfection. L'être se vit exalté et renforcé dans son estime de soi. La tristesse par contre réduit l'extension de lui-même et de sa puissance d'agir; le sujet essayera alors de s'éloigner de ce qu'il considère comme cause de ce déplaisir ou de le détruire.
- Psychanalyse du libertin, Alberto Eiguer, éd. Dunot, coll. « Psychismes », 2010 (ISBN 978-2-10-054958-0), partie I. Libertinage, le plaisir et la joie, chap. Le libertinage épousant l'histoire, Joie et liberté, p. 65
- Psychanalyse du libertin, Alberto Eiguer, éd. Dunot, coll. « Psychismes », 2010 (ISBN 978-2-10-054958-0), partie I. Libertinage, le plaisir et la joie, chap. Le libertinage épousant l'histoire, Joie et liberté, p. 65
- Psychanalyse du libertin, Alberto Eiguer, éd. Dunot, coll. « Psychismes », 2010 (ISBN 978-2-10-054958-0), partie I. Libertinage, le plaisir et la joie, chap. Le libertinage épousant l'histoire, Joie et liberté, p. 65
- Psychanalyse du libertin, Alberto Eiguer, éd. Dunot, coll. « Psychismes », 2010 (ISBN 978-2-10-054958-0), partie I. Libertinage, le plaisir et la joie, chap. Le libertinage épousant l'histoire, Joie et liberté, p. 67