Stargate SG-1

série de télévision américaine

Stargate SG-1 est une série télévisée américano-canadienne de science-fiction, créée par Brad Wright et Jonathan Glassner d'après le film Stargate, la porte des étoiles de Roland Emmerich. Cette série terminée comporte 10 saisons, ainsi que deux téléfilms.


Saison 1 Saison 2 Saison 3 Saison 4 Saison 5
Enfants des Dieux La Morsure du serpent Dans l'antre des Goa'uld Victoires illusoires Ennemis jurés
L'Ennemi Intérieur La Tête à l'envers Seth L'Autre Côté Le Seuil
Émancipation Perpétuité Diplomatie Expérimentation hasardeuse Ascension
La Théorie de Broca Le Maître du jeu Héritage Destins croisés Le Cinquième Homme
Le Premier Commandement La Princesse Shyla Méthodes d'apprentissage Diviser pour conquérir Mission Soleil rouge
Double L'Œil de pierre De l'autre côté du miroir L'Histoire sans fin Rite initiatique
Les Nox Un message dans une bouteille Le Chasseur de prime Eaux troubles Maîtres et Serviteurs
Les Désignés Conseil de famille Les Démons Primitifs La Tombe
Le Marteau de Thor Secrets Règles de combat Terre brûlée Traquenard
Le Supplice de Tantale Le Fléau Le Jour sans fin Sous la glace Les Faux Amis
Retour sur Chulak La Tok'ra (1/2) Le Passé oublié Point de non-retour Ultime Recours
Le Feu et l'Eau La Tok'ra (2/2) Les Flammes de l'enfer (1/2) Perdus dans l'espace Wormhole X-Treme
Hathor Les Esprits Les Flammes de l'enfer (2/2) La Malédiction L'Épreuve du feu
Cassandra La Clé de voûte Invasion Le Venin du serpent 48 heures
Le Procès La Cinquième Race Simulation Réaction en chaîne Sans issue (1/2)
Les Réfugiés Une Question de temps Un étrange compagnon 2010 Sans issue (2/2)
Portés disparus Transfert La Pluie de feu Pouvoir absolu Impact
Les Doubles robotiques La Colère des dieux Trahisons La Lumière Le Guerrier
Une dimension trop réelle Le Faux Pas Un nouveau monde Prodige Menace
Décision politique L'Ennemi invisible Instinct maternel Entité Sentinelle
Dans le nid du serpent 1969 Le Crâne de cristal Répliques Zénith
Après un long sommeil Nemesis Exode Révélations
Saison 6 Saison 7 Saison 8 Saison 9 Saison 10
Rédemption (1/2) Retour aux sources (1/2) Mésalliance (1/2) Le Trésor d'Avalon (1/2) L'Oricy
Rédemption (2/2) Retour aux sources (2/2) Mésalliance (2/2) Le Trésor d'Avalon (2/2) Dans les bras de Morphée
Réunion L'Apprenti sorcier Quarantaine Le Livre des origines Chassé-Croisé
Prisonnière des glaces Les Esclaves d'Erebus Heure H Ce lien qui nous unit… La Guerre des clones
L'Expérience secrète Le Réseau Le Feu aux poudres Prosélytisme La Créature
Abysses Vaisseau fantôme Avatar Le Piège Wormhole X-Treme, le film
Résistance Les Envahisseurs Monde cruel Terre d'asile La Riposte
Acte de bravoure La Grande Épreuve Aux yeux du monde Pour l'honneur Amnésie
L'union fait la force Le Vengeur Discordes Prototype Aux mains des rebelles
La Reine Les Amazones Sans pitié Le Quatrième Cavalier de l'apocalypse (1/2) La Quête du Graal (1/2)
Promethée La Fontaine de Jouvence (1/2) Vulnérable Le Quatrième Cavalier de l'apocalypse (2/2) La Quête du Graal (2/2)
Évolution La Fontaine de Jouvence (2/2) En détresse Dommage collatéral Line in the Sand
Hallucinations Le Voyage intérieur Une vieille connaissance Effet domino La Grande Illusion
Écrans de fumée Dangereuse Alliance Alerte maximum Prise de contrôle Question de confiance
Paradis perdu Chimères Rien à perdre Ingérence Morts ou Vifs
Métamorphose La Fin de l'union La Dernière Chance (1/2) Hors limite Prise d'otages
Secret d'État Héros (1/2) La Dernière Chance (2/2) Le Châtiment La Loi du Talion
Les Rescapés Héros (2/2) Pour la vie Le Manteau d'Arthur Un air de famille
La Porte des rêves Résurrection Retour vers le futur (2/2) La Grande Croisade La Symbiose du Mal
En quête du passé Lutte de pouvoir Retour vers le futur (2/2) La Première Vague Le Temps d'une vie
La Prophétie La Cité perdue (1/2)
Pacte avec le diable La Cité perdue (2/2)


Saison 1

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Enfants des dieux [1.1 et 1.2]

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Samuels : Colonel Jack O'Neill ?
O'Neill : À la retraite.


Samuels : Général Hammond. (O'Neill entre) Le colonel Jack O'Neill.
O'Neill : À la retraite(!).
Hammond : Vous avez de la chance ! Je suis moi-même à quelques mois de la retraite. J'ai commencé à penser à l'écriture de mes futures mémoires... vous n'avez jamais songé à raconter vos exploits dans un bouquin ?
O'Neill : Oh, ça me tente bien, si. (froidement) Mais, ce qui me gêne, c'est d'avoir à éliminer tous ceux qui l'auront lu.
Hammond : ...
O'Neill : Enfin, j'plaisante, mon général... La plupart de mes missions ont été classées secret-défense.


Hammond : Êtes-vous sûr qu'il [Ra] soit mort, colonel ?
O'Neill : À moins qu'il n'ait pu survivre à l'explosion d'une tête nucléaire, je peux effectivement, affirmer qu'il est mort.


Hammond : Vous n'aimiez pas Daniel Jackson, n'est-ce pas ?
O'Neill : Daniel était un scientifique. Il éternuait tout le temps... Bref, je l'supportais pas.


Hammond : Jackson est peut-être mort, vous ne savez pas où vous mettez les pieds !
O'Neill : Mon général, il n'y a qu'un moyen de le savoir !
Hammond : Bien... Nous enverrons d'abord la sonde pour effectuer quelques repérages...
O'Neill : Mon général, nous n'en avons pas besoin.
Kawalski : Vous êtes sûr ?
O'Neill : Oui ! (Il prend une boîte de mouchoirs) Ça suffira.
(...)
O'Neill : Si Daniel est de l'autre coté, il saura ce que veut dire ce message.
Samuels : Et si ce sont les aliens qui le trouvent ?
O'Neill : Dans ce cas, ils auront de quoi se moucher pendant un bon bout de temps...


Kawalski : Vous préférez vous faire appeler Sam ?
Carter : Ne vous inquiétez pas Major, je n'ai plus joué à la poupée depuis mes dix ans.
Kawalski : Oh ! GI Joe ?
Carter : Non, le major Matt Mason.
Kawalski : Oh ! Qui ça ?
Ferretti : Le major Matt Mason, la poupée astronaute, le modèle muni du petit parachute pour le faire voler.
Hammond : Merci messieurs.


O'Neill : Pour ceux d'entre vous qui feront le voyage pour la première fois, il faudra bien vous préparer...
Carter : J'ai pratiquement mémorisé le rapport de la première mission, je n'ai jamais été aussi bien préparée de toute mon existence !
Kawalski : Ce que le colonel veut vous dire, c'est : "Avez vous déjà pratiqué une simulation de bombardement à bord d'un F-16 à plus de 8G ?"
Carter : ...Oui.
Kawalski : (Déçu) Oh... ... Et bien c'est dix fois pire que ça !


O'Neill : (Après que Carter a décrit un phénomène de matière très scientifique) Ah ben voyons... Encore une scientifique ! Mon général, pitié(!)...
Carter : Théoricienne en astrophysique...
O'Neill : Ce qui signifie(!)...?
Hammond : Qu'elle est plus intelligente et plus maligne que vous, colonel.


Carter : Je suis officier de l'armée de l'air, comme vous, mon colonel. Et le fait que mes organes de reproduction soient situés à l'intérieur de mon corps, ne veut pas dire que je vous suis inférieure, mon colonel...
O'Neill : ... Oh mais je n'ai absolument rien contre les femmes, capitaine... J'adore les femmes ! ...J'ai juste un léger problème avec les scientifiques.
Carter : Mon colonel, j'ai volé plus de cent heures dans l'espace aérien irakien durant la guerre. Cela suffit à vous rassurer... ou vous voulez vous qu'on fasse un bras de fer ?

  • À noter que la réplique de Carter concernant ses "organes de reproduction" a été supprimée de la version remastérisée de 2009.


Carter : Il nous a fallu 15 années et 3 super-ordinateurs pour parvenir à créer un système d'utilisation fiable. Regardez comme il [Le DHD d'Abydos] est petit !
O'Neill : (agacé) Capitaine! (lui commande de venir)
Carter : Oh! Désolée! Docteur Jackson, je présume? Je suis le professeur Samantha Carter.
O'Neill : (sarcastique) Vous ne voulez plus qu'on vous appelle Capitaine?

  • la deuxième remarque de Carter est une parodie de la célèbre phrase (ainsi que de la situation) de l'explorateur Stanley Morgan lorsqu'il retrouve le docteur Livingstone qui s'était perdu en Afrique.


Kawalski : (En voyant Abydos) Bon sang, cet endroit ne m'a vraiment pas manqué !


O'Neill : Une carte de quoi ?
Jackson : Je n'ai pas encore pu tout analyser... Regardez un peu, ça représente... le travail de toute une vie !
O'Neill : Désolé Daniel, mais nous sommes un peu pressés... C'est une carte de quoi ?!
Jackson : Ah, eh bien les cartouches semblent séparés en plusieurs groupes... Chaque groupe est rattaché aux autres par une série de lignes, et chacun des groupes est composé lui-même de sept symboles... Vous commencez à voir où ça nous mène ?
O'Neill : ... ...Précisez quand même.


Jackson : Ils ne savent pas ce qu'ils [SGC] vont faire de moi... Et je ne sais pas ce que je vais faire de moi non plus.


Jackson : Elle [Sha're] se tordait de rire chaque fois que je me lançait dans une tâche qui pour eux était tout à fait banale. Tenez... moudre sa farine soi-même... Vous avez déjà essayé de moudre votre propre farine ?
O'Neill : Non, pas récemment, j'essaie d'arrêter...


Carter : Vous sous-entendez que Ra n'était pas le dernier survivant de sa race ?
Kawalski : Il avait peut-être un petit frère... Rê !

  • Rê et Ra sont deux appellations du même dieu.


Hammond : Major Kawalski, vous dirigerez SG-2.
Kawalski : C'est vrai ?!
Hammond : Le colonel O'Neill vous a personnellement recommandé pour le poste.
O'Neill : (sur un ton d'excuse) J'ai eu un moment de faiblesse...


O'Neill : Bon alors... Si on n'est pas revenus dans vingt-quatre heures... (S'apprête à dire quelque chose comme "Vous rentrez au SGC")
Kawalski : On revient vous chercher par la peau des fesses !


Jackson : Si vous tenez à ce qu'on ait une bonne réputation, il vaudrait mieux éviter de pointer vos armes à tout-va dès qu'on rencontre une personne(!).


Jackson : Chulak... Regardez ça, ça m'a l'air mignon comme tout !
O'Neill : Il paraît que c'est plus coquet au printemps...


Kawalski : Warren ! Debout, c'est l'heure ! Le soleil s'est... Les soleils se sont levés !


Warren : Quand devez-vous prendre la décision... je veux dire de repartir sur Terre sans eux ?
Kawalski : J'sais pas, quand il se mettra à geler en enfer !


O'Neill : Je pourrais sauver tous ces gens... Aidez moi ! ... aidez moi...
Teal'c : Bien d'autres ont dit cela... (Il tire sur un garde serpent et lance son arme à O'Neill) Mais vous êtes le premier que je crois !


Teal'c : Quiconque ne passe pas sa vie à servir les dieux est leur ennemi.


Hammond : Et lui, qu'est-ce qu'il fait ici ?
O'Neill : Général Hammond, voici Teal'c ! Il peut nous aider.
Hammond : Vous savez de qui il s'agit ?!
O'Neill : Oui, mon général, je sais... C'est l'homme qui nous a tous sauvé la vie !


L'ennemi intérieur [1.3]

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O'Neill : (comparaison à l'iris) Ils s'écraseront comme des moustiques sur un pare-brise.


O'Neill : L'iris va résister à leurs attaques ?
Carter : S'il ne résiste pas, le dispositif à sûreté intégré se déclenchera, la montagne explosera... On n'aura plus de souci à se faire.
O'Neill : Aah, génial. Je suis tout à fait rassuré.


O'Neill : (convoqué par Hammond) Il y a une mauvaise nouvelle, mon général ?
Hammond : Eh bien, vous n'aimez pas les préambules, colonel...
O'Neill : Le week-end s'est mal passé ? La pêche a été mauvaise ?...


Hammond : Il faut que vous gardiez à l'esprit qu'il [Teal'c] porte en lui sous forme larvaire un ennemi formidablement belliqueux et puissant.
O'Neill : Ces tests éventuels, en quoi consistent-ils, mon général ?
Hammond : Peut-être n'avez-vous pas remarqué, colonel, mais c'est le premier individu d'une espèce d'aliens que nous rencontrons. Reconnaissez que cela fait de notre ami un sujet d'expériences scientifiques intéressant.
O'Neill : Un sujet d'expériences ?!
Hammond : Eh ! Il est ce qu'il est, colonel.
O'Neill : Avec tout le respect que je vous doit mon général, je ne crois pas qu'il ait sauvé la vie des hommes de mon équipe, ou qu'il soit venu dans notre camp pour qu'on l'oblige à servir de cobaye pour les services secrets militaires !


Hammond : Il [Teal'c] a changé de camp une première fois. Êtes-vous sûr qu'il ne va pas retourner dans le camp adverse ?
O'Neill : Oui, certain !
Hammond : Eh bien vous êtes le seul à le penser, colonel.


O'Neill : Ça va ? Je ne vous dérange pas, j'espère ?
Teal'c : (pratiquant le kelno'reem) Si.


Teal'c : Est-ce que je suis prisonnier ?
O'Neill : (Regarde autour de lui) Euh... Oui.


Teal'c : Je suis un jaffa, j'ai combattu comme guerrier au service de votre ennemi. Je porte même votre ennemi à l'intérieur de mon corps.
O'Neill : Ouais... enfin c'est un des traits propres à l'être humain... nous avons tendance à avoir peur des choses qui nous sont inconnues.


Teal'c : Je vous offre ma connaissance sur les Goa'uld. Je vous offre mes compétences de guerrier pour les mener à la défaite. J'engage mon honneur et ma vie au service de ce monde.


Teal'c : Ils [Les Goa'uld] n'ont pas besoin de la paix. S'ils pouvaient vous tuer tous... ils le feraient.


Kennedy : Donc nous voilà amenés à mettre fin à une vie ["d'un parasite goa'uld"] dans l'espoir quasi-impossible d'en sauver une autre [le major Kawalski](!). Vous voyez le dilemme?!
O'Neill : (ferme, immédiatement) Non, pas du tout!


Jackson : Nous ne sommes rien à leurs [Goa'uld] yeux. Nous ne sommes moins que rien en fait.


Kawalski : Quoiqu'il arrive, je veux que vous sachiez une chose... ...Ça a été un honneur de servir à vos cotés... mon colonel.
O'Neill : ...Écoutez, um... J'ai quelque chose à vous demander, ce n'est pas facile pour moi...
Kawalski : On est ami, vous le savez bien...
O'Neill : ... Si vous y passez... j'peux avoir votre stéréo ?


Kawalski : Si ça ne marche pas... Je compte sur vous mon général... Je veux me réveiller en étant moi ou pas du tout.
Hammond : Je vous donne ma parole.


Kawalski : J'ai soif...
O'Neill : Tenez...
Kawalski : (Après avoir bu) *tousse*
O'Neill : Doucement major, maintenant vous ne buvez plus pour deux.


O'Neill : Sous prétexte qu'il [Teal'c] n'a pas eu la chance de naître sur notre planète, il n'a pas le moindre droit, c'est bien ça ?!


Émancipation [1.4]

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Abu : Vous n'êtes pas le peuple des rivières ?
O'Neill : Euh... N-Non euh...
Jackson : Nous sommes des voyageurs, notre pays est très loin d'ici.
Abu : Vers l'océan d'Ogada ?
O'Neill : Euh oui par là, ouais...


Abu : On dirait une femme(!) !
O'Neill : On dirait, ouais...
Carter : Qu'est-ce qu'il y a, je me suis mis de la boue sur le menton, ou quoi ?


Abu : Non ! Je ne dois pas vous regarder !
Carter : Je vais finir par me vexer...


Abu : Père! Ils vivent par-delà l'océan! Ils ne connaissent pas nos règles!
Moughal : La loi est universelle.


Moughal : Vos sarbacanes me paraissent bien lourdes...
Carter : En fait, ce sont des armes à feu, elles envoient des billes de plomb aussi vite que la lumière !
Moughal : Elle ose parler ? Qu'elle meure !! Tuez-la !


Jackson : Ce camp correspond tellement à l'image que nous avons de leur façon de vivre, que je m'attends presque à croiser Gengis Khan.


Moughal : Un jour, toutes nos coutumes et nos vieilles croyances tomberont en désuétude... Le commerce remplacera la guerre... L'avenir sera une ère d'échanges...


Carter : (Venant de se vêtir avec une robe locale) Daniel, trouvez-moi un seul anthropologue habillé de cette manière et je mange ce voile !


Abu : Quelle pureté... Je n'ai jamais rencontré de femme aussi belle. Vous êtes parfaite !
Carter : ... C'est vrai qu'ici ils n'ont pas de top-modèles.


Carter : Cette robe, ou je ne sais pas comment ils appellent ça ici... c'est très lourd, et je n'peux rien faire !
O'Neill : Pourtant plus je vous regarde, e-et... je sais pas... (il enlève sa casquette) J'ai l'impression de vous redécouvrir...!
Jackson : Oui, c-c'est étonnant, on dirait qu'elle a été faite sur mesure... c-c'est ravissant...!
O'Neill et Jakson : Vous êtes superbe !...
Jackson : Absolument superbe !...
Carter : ...(!)
(...)
O'Neill : Et tout bien considéré... ... Samantha (!)... Si on doit revenir ici, il vaudrait peut-être mieux prendre une équipe uniquement composée d'hommes... sans vous offenser(!).
Carter : Étant donné le fait que vous allez faire la fête la moitié de la nuit pendant que je serai coincée sous cette tente qui pue le beurre de yak je ne m'estime pas vexée(!) ! J'en profiterais pour dormir en espérant tomber sur une tribu d'amazones, la prochaine fois...!
(...)
O'Neill : Vous vous débrouillerez ?
Carter : Vous doutez encore de moi ? Depuis l'âge de deux ans je n'ai plus peur du noir, mon colonel.
O'Neill : (en partant) Vous êtes superbe, hein(!)!...


Abu : Je vais vous vendre.
Carter : Ah ! Vous n'avez pas le droit !
Abu : Si, je l'ai.
Carter : Je suis un être humain ! Pas une marchandise !


Jackson : Comment ça se fait que chaque fois vous imaginiez la pire des situations ?
O'Neill : ... L'expérience(!).


Turghan : (À Carter) Silence ! ... Ou je te jette en pâture à mes chiens.


Moughal : Parmi les Shavadaïs, même le plus pauvre est un prince... au milieu de ses femmes.


Carter : (À Turghan) Je suis mauvaise cuisinière, et je serais incapable de coudre même si ma vie en dépendait. Vous n'avez pas fait une bonne affaire...


Turghan : Je pille et je brûle le village de mes ennemis. J'égorge les hommes et je vend les femmes et les enfants. On me craint... et on m'admire.


Turghan : (À Carter) Qu'est-ce que tu dirais d'être pendue par les pieds à un mât, le visage enfouit dans la terre, avec du sable dans la bouche et les narines ? ... Une lente agonie...


Nya : Mon père est un homme juste! Il ne frappe jamais une femme à moins qu'elle n'ait commis une faute grave.
Carter : (estomaquée) Incroyable! Rien ne justifie le fait qu'on batte une femme! Jamais!


Thurgan : Elle [Carter] m'a coûté un sac de trois cents pépites d'or.
Jackson : Ça fait beaucoup ?
Moughal : Assez pour acheter plus de vingt femmes.


Carter : J'vous avoue que je suis soulagée ! Je n'ai jamais été aussi heureuse de vous voir !
O'Neill : Mais si, rappelez-vous ! ... Vous vous souvenez pas ? ... La dernière fois c'était après la mission sur P3X-992... Vous aviez bu cet alcool et après vous aviez enlevé votre...
Carter : (Le coupant) Euh... on peut discuter d'un autre sujet ?


O'Neill : Mais récupérer cette pauvre fille de force pourrait déclencher une véritable boucherie.
Carter : Depuis quand vous fermez les yeux quand ça vous arrange ?!
O'Neill : Attention, capitaine...
Carter : De oppresso liber : libérer de l'oppression, le mot d'ordre de vos troupes !
O'Neill : Je sais ce que ça veut dire. C'est dans notre monde. Ici c'est le leur.


Nya : (Alors qu'elle va se faire lapider) Père ! Pardonne moi.
Turghan : (À son oreille) Nya, je te pardonne. (Il se relève. À ses hommes) Tuez-là !


Jackson : Nous vous souhaitons un beau mariage, et une vie de bonheur, et beaucoup de beaux garçons... (Carter lui donne un coup de coude) ... E-Et de filles.


La Théorie de Broca [1.5]

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Hammond : L'ordinateur du capitaine Carter n'a pour le moment réussi à calculer qu'une possibilité, compte tenu des symbôles se trouvant sur la porte d'Abydos, et qu'on retrouve sur le cartouche de Chulak. [Dans la V.O., il s'agit plus logiquement du cartouche d'Abydos]
O'Neill : Laissez moi devinez... c'est là que nous devons aller ?
Hammond : Excellent, colonel !
O'Neill : Merci mon général, je dois dire que je suis assez fier de mes capacités de déduction.


Hammond : Nous l'avons désigné sous le nom de P3X-797
Jackson : Est-ce qu'on ne pourrait pas appeler cette planète d'un nom plus facile à retenir ?
Carter : Nous la nommons ainsi d'après le code binaire affecté par l'ordinateur à l'extrapolation...
O'Neill : Ce qui est plus facile pour retenir un nom, évidemment...(!)


Makepeace : Mes gars et moi on sera là pour couvrir vos arrières.
Jackson : À vrai dire c'est ce qu'il y aura devant nous qui m'inquiète... [La Porte des étoiles franchie, le danger ne peut venir que de devant, l'arrière étant le SGC]


(SG-1 débarque dans une pièce décorée de deux immenses têtes de taureaux)
O'Neill : J'adore la simplicité du décors...
Carter : C'est comme ça que je voulais refaire mon salon, mais ça n'allait pas trop avec mes meubles...


Hammond : Vous avez trouvé quelque chose ?
O'Neill : Non, mon général.
Jackson : Ah mais si ! Si, nous avons découvert plein de choses, mon général.
O'Neill : Oui de splendides décorations intérieures...
(...)
Hammond : Laissez-moi deviner, vous nous ressortez encore la vieille querelle militaire/scientifique ?
Jackson : Eh bien, euh... Oui !


(Carter sous l'emprise du virus a tenté brutalement d'embrasser O'Neill)
(...)
Fraiser : (À O'Neill) La plupart des femelles dans les populations primitives choisissent leur partenaire sexuel en fonction de sa robustesse et de ses capacités de reproduction. En général, leur choix se fixe sur le chef de la meute ou la tribu où elles vivent. Vous devriez être flatté...
(...)
Jackson : Qu'est-ce qui vous est-arrivé ?
O'Neill : J'ai fait un petit combat de catch avec Carter.


Jackson : Je suis peut-être naturellement immunisé ?
Teal'c : Vous développerez peut-être la maladie plus tard...
Jackson : Merci de me remonter le moral...


Teal'c : On dirait qu'elle est atteinte...
Jackson : Ce n'est pas une raison pour l'abandonner ici !
Teal'c : Nous mettons bien les notre en prison...
Jackson : Pour les protéger...
Teal'c : Pour nous protéger, nuance...
Jackson : ... Vous avez raison... on les traite comme des lépreux... Et la terre des ténèbres est un peu une colonie de lépreux...
Teal'c : C'est quoi, "lépreux" ?
Jackson : Euh... Laissez tomber.


Teal'c : Colonel O'Neill ?
O'Neill : Lucy, c'est moi !...
Teal'c : ... Je ne m'appelle pas Lucy.
O'Neill : Oui, ça je l'sais... C'est une référence à une série télé... Laissez tomber et ouvrez cette porte.
Teal'c : ... Je vais faire appeler le docteur...
O'Neill : Noon, nooon, c'est bon, je vais bien... je suis redevenu moi-même. Ouvrez-moi cette porte.
Teal'c : Je ne peux pas être sûr que vous êtes bien vous-même... vous venez de m'appeler Lucy.


(Daniel, atteint par le virus, est trouvé dans la terre des ténèbres, avec Melosha)
O'Neill : Daniel... vous exagérez ! Vous aurez bientôt une femme différente sur chaque planète !


O'Neill : Et dites-moi, ça va votre blessure ?
Carter : Ma blessure ?
O'Neill : Vous avez bien reçu un coup de couteau dans l'estomac ?
Carter : Ah, o-oui mais... rien de grave... Je n'aurais peut-être même pas de cicatrice...
O'Neill : Ah, tant mieux... Ça m'inquiétait un peu...
Carter : Ah bon ?...
O'Neill : Bien sûr... S'il vous était resté une marque, vous n'auriez jamais pu remettre ce ravissant tee-shirt qui laisse apparaître votre nombril...


Le Premier Commandement [1.6]

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O'Neill : Je dois savoir ce qu'il s'est passé
Connor : Demande permission de parler librement d'un officier supérieur.
O'Neill : ... Oui, accordé.
Connor : ...Il est devenu dingue, fou et incontrôlable.
Carter : Le capitaine Hanson ?
Connor : C'est peut-être à cause du soleil, des rayons ultraviolets...
Jackson : Vous voulez dire que c'est le soleil qui a fait ça à Frakes ? [En désignant le tas de cendres qu'il reste de Frakes]


Connor : Le peuple de cette planète pense qu'il [Hanson] est leur dieu.
Teal'c : Parce qu'il est venu par la porte des étoiles...
Connor : Non, non, vous ne comprenez pas. Hanson s'est mis à le croire lui aussi !


O'Neill : Soit nous le ramenons sur Terre pour le [Hanson] juger, soit nous rentrons sans lui... Vous savez comme moi ce que "sans lui" implique(!) !
Carter : Je le connais, mon colonel...
O'Neill : Oui, c'est justement le problème, Carter.
Carter : Je me suis séparée de lui parce que je le connais trop bien, je sais parfaitement comment il fonctionne.
O'Neill : Ça lui arrive souvent de se prendre pour un dieu ?


Carter : Non, mon colonel.
O'Neill : Non, mon colonel ?
(...)
Connor : Non, mon colonel.
O'Neill : Non, mon colonel ? Vous avez tous oublié ce que c'est qu'un grade dans l'armée à ce que je vois !


Carter : Même de gros nuages ne suffiraient pas à nous protéger. Il peut pleuvoir, nous serons toujours brûlés.
(...)
O'Neill : Bon bain de soleil...!


Jackson : Ça a le goût de poulet...!
Carter : Et vous n'aimez pas ça ?
Jackson : C'est des macaronis au fromage(!)...


O'Neill : Debout, on a de la compagnie !
Jackson : Vous êtes sûr ?
O'Neill : (Une flèche passe à deux doigts de Jackson) ... Plutôt, oui.


Carter : Il faut croire que j'ai un goût prononcé pour les cinglés pathologiques...
  • on se rappellera que dans l'épisode précédent, Carter, sous l'emprise d'un virus, s'est jetée sur O'Neill...


Jackson : C'est typique du fonctionnement de l'armée... Plus un soldat est mentalement dérangé, plus on le met sur des missions extrêmement délicates...! (regard appuyé vers O'Neill, suicidaire lors de la première mission vers Abydos (film))


Carter : Je ne resterais pas là à rien faire pendant qu'il le bat à mort.
Teal'c : Vous allez être capturée...
Carter : Hin-hin. [acquiesce]
Jackson : Vous trouvez que c'est un bon plan (!) ?


Hanson : C'est comme un pays du Tiers-Monde qui serait contenu à l'intérieur d'une bouteille !


Hanson : Je ne me prend pas, pour Dieu !! ... C'est une question de définition... Mon peuple, a besoin de moi... Ils croient tous en moi... Et parce qu'ils croient en moi, ils travaillent...
Carter : Jusqu'à en crever !


Hanson : Tu voles toujours au secours des accidentés de la vie... J'ai été ton seul échec. ...L'oiseau aux ailes brisées qui refusait de se faire soigner...
Carter : L'oiseau a fini par prendre son envol, on dirait...


Hanson : C'est quoi, quelques cadavres, comparés à la survie future de mon peuple ?!


Hanson : (À Carter, qui n'a pas su appuyer sur la détente) C'est toi qui tenais l'arme... Tu avais apparemment, tous les pouvoirs ! ... Et pourtant c'est moi qui contrôlait tout... Tu vois, c'est ça, la force d'un dieu !


Jackson : (A Teal'c) Souriez, ayez l'air gentil.
(Teal'c montre ses dents)
O'Neill : Il vous a dit de sourire, pas de mordre.


Hanson : Je ne me sépare plus de cette bible depuis des années... Durant tout ce temps, je n'ai pas cessé de chercher Dieu... ... Et me voici !


Teal'c : Le pouvoir à lui seul ne fait pas un dieu...


(échange sincère)
Jamala : Vous dessinez bien!
Teal'c : Je vous remercie!

  • Le dessin de Teal'c est un grossier schéma digne d'un élève de CP.


O'Neill : (À Baker, qui l'a surpris délivrant Connor) Tiens, comment ça va ? On serait bien restés mais, il y a une espèce d'imbécile qui s'est amusé à laisser mon copain en plein soleil... On préfère s'en aller !


O'Neill : (À Carter qui est en train d'étudier un appareil goa'uld pour Hanson. Tous les deux prisonniers) Capitaine, je vois que tout se passe exactement comme nous l'avions prévu...!


Hanson : Je suis votre seigneur. Il n'y a rien que je ne puisse faire ! Personne, n'est plus grand que moi ! Personne, n'a plus de pouvoir que moi !


Hanson : Faites ce que je dis, ou vous mourrez tous !
O'Neill : Faites ce qu'il dit, et vous mourrez tous !


Carter : J'ai eu l'occasion de le tuer, mon colonel. Il m'a littéralement demandé de le faire.
O'Neill : Il n'est jamais facile d'abattre quelqu'un de sang froid.
Carter : Je sais...
O'Neill : Écoutez, je ne suis pas un expert en la matière [tenant la bible de Hanson]... Mais je me souviens quand même assez bien d'un commandement. Je crois que c'est le premier.
Carter : Oui, je le connais : c'est celui qui dit "aucun autre dieu tu ne chériras", c'est ça ?
O'Neill : Bon ben c'est pas le premier alors...


Double [1.7]

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Sara : Il est temps d'affronter la vérité, papa. Ce tas de ferraille est mûr pour la casse.
Père de Sara : Tu sembles bien pressée de te débarrasser des vieilles choses... Je commence à m'inquiéter...! [Il habite chez sa fille]


Teal'c : (Après avoir regardé la télévision) Votre monde est un endroit bizzare...
Jackson : ... Le votre aussi.


Père de Sara : (Au double de O'Neill) Tu sais, pour un irlandais de pure souche, tu n'as jamais été très causant, mais... ça ne me gênait pas... D'ailleurs je n'avais pas le choix, tu as épousé ma fille...


(Teal'c tire à la demande de Carter et Jackson sur un cristal avec sa lance, l'alarme se déclenche)
Hauts-Parleurs : ...Qu'est-ce qu'il se passe en bas ?!
Teal'c : Vous aviez bien demandé la permission pour que j'utilise mon arme ici ?...
Carter : Ahh... oui...
Jackson : (Légèrement, en s'en allant) Absolument...


Sara : Jack ?...
Double de O'Neill : ... Je dois retourner à la porte des étoiles, Sara...
Sara : La porte des quoi ?
Double de O'Neill : Des étoiles... ... C'est un... objet... rond... en métal,... un anneau... d'énergie.
Sara : Tu as toujours su débiter ton charabia pour éviter qu'on se parle...


Hammond : Mais qui êtes-vous?!?
O'Neill : Vous plaisantez ou quoi?! C'est moi.


O'Neill : (Sur la caméra de surveillance) Ha, c'est bon, sortez moi de là ! ... Vous êtes sourds ?! Alors lisez bien sur mes lèvres... [Il se rapproche de la caméra] Sortez moi de ce trou à rat tout d'suite !!!
Hammond : Si ce n'est pas O'Neill...


Cristal : L'un d'entre eux [Goa'uld] nous a touché, comme vous l'avez fait, et il fut détruit par notre énergie...
O'Neill : Il faut dire que vous n'y allez pas de main morte, quand même !


(SG-1 se rend à la surface pour chercher le double de O'Neill)
Hammond : Teal'c, il va falloir laisser ça [lance jaffa] ici...!
Teal'c : J'ai vu votre monde, j'en aurais besoin. [À la télévision, Teal'c a vu des images de guerres civiles et de hard-rock]


Double de O'Neill : (À O'Neill) Votre douleur la plus profonde n'était pas la blessure physique, celle que je vous avais causé... Votre blessure la plus profonde, était le vide laissé dans votre cœur par la disparition de Charlie...


O'Neill : Charlie est mort...
Double de O'Neill : Non... Il est là... [il pause sa main sur le cœur de O'Neill]


O'Neill : (Partant ramener le cristal sur la planète) N'éteignez pas la lumière... Je vais revenir...


Les Nox [1.8]

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O'Neill : Monsieur le ministre, j'ai eu souvent l'occasion d'observer, que ce soit sur Terre ou que ce soit... ailleurs, que les civilisations possédant une technologie avancée se garde bien de les partager.
Swift : Donc nous perdons notre temps!
O'Neill : (à Carter) Vous voulez bien lui expliquer ce que je viens de dire?


Carter : (Le ministre Swift s'interroge sur l'efficacité du projet) Monsieur, avec tout le respect que je vous dois, ce programme [porte des étoiles] est probablement le plus bel accomplissement de l'humanité.
Swift : C'est ce qu'on a dit pour le programme Apollo... Ils n'ont rapporté que des cailloux...


O'Neill : J'espère en tout cas que ces bestioles sont aussi grosses que vous le dites... Il y a assez de tranquilisant des ces fléchettes pour assommer un rhinocéros.
Teal'c : Elles sont très grandes mais extrêmement rapides dans les airs. Elles sont vulnérables quand elles font du surplace...
Jackson : Du surplace...? Comme les oiseaux-mouches ?
Teal'c : ... Avec des dents.


Teal'c : (À Apophis) Tal shaka mel... Je meurs libre. (Teal'c disparaît juste avant qu'Apophis ne tire)


Jackson : Je croyais que... On était mort, on n'est pas mort ?
Carter : Si...!
Jackson : D'accord... Eh bien je pensais que le paradis serait plus accueillant...


O'Neill : Je viens pas d'être...
Carter : Tué.
O'Neill : Mais "tué" ça veut dire...
Carter : Mort.
O'Neill : (comme si il cherchait vraiment la confirmation) Oui c'est ça hein!?


O'Neill : (Aux Nox) Désolé de débarquer à l'improviste chez vous, mais, nous étions... mort.


O'Neill : Rien de tel qu'un petit voyage chez les morts pour vous ouvrir l'appétit...


O'Neill : Noon...(!) ! Vous ne pouvez pas l'emmener... [voyant Carter attendrie devant Nafrayu]


O'Neill : Nous ne sommes pas des tueurs... C'est quelqu'un [Apophis] de... de méchant... de très, euh...
O'Neill et Jackson : (presque en même temps) ...méchant...!
O'Neill : Nous voulions seulement le ramener dans notre monde, et le faire parler de toutes les... vilaines...
O'Neill et Jackson : méchantes
O'Neill : choses qu'il a faites déjà...


Carter : On ne peut tout de même pas partir comme ça... Si on n'avait pas attaqué Apophis, il [Shak'l] ne serait pas ici [Chez les Nox].
Jackson : Et on ne peut pas le tuer non plus...
O'Neill, Teal'c et Carter : ... (!) ...
Jackson : Euh... Je n'y pensait pas, c'était juste un constat...!


Shak'l : Je vais me reposer, réconforté par l'idée de la récompense que je toucherai quand je présenterai ta tête... à Apophis.
Teal'c : Le règne d'Apophis touchera bientôt à sa fin, et ce jour là je retournerai dans notre monde et rendrai la liberté à tous nos frères. ...Dommage, tu ne seras pas là pour le voir.


Jackson : (SG-1 est en train de fabriquer des armes) Je pense que nous ne ferions pas de très bons Nox...


Nafrayu : Pourquoi est-ce que tu veux les combattre ?
O'Neill : Oh, je n'en ai pas envie...
Nafrayu : Alors le fait pas...
O'Neill : Ce n'est pas si simple...
Nafrayu : ...
O'Neill : Hmpf... Je crois moi aussi à la paix, tu sais... Tout autant que toi !
Nafrayu : Alors pourquoi tu te bats...?
O'Neill : Parce que nos ennemis ne nous laissent pas le choix, et parfois tendre l'autre joue, ça ne marche pas...


O'Neill : Je voulais seulement protéger cet enfant...
Anteaus : Vous protégez son corps après avoir empoisonné son esprit ?


Teal'c : Ce qu'il [Apophis] ne peut pas posséder, il le détruit.


O'Neill : (Nafrayu est introuvable) Je lui ai dit de rentrer à la maison...!
Anteaus : Et je vous ai dit la même chose... Les très jeunes n'écoutent pas toujours ce qu'on leur dit...


O'Neill : Vous avez vu ce qui s'est passé quand un de ses gardes lui a envoyé son arme ?
Carter : Ça l'a traversé...! Donc vous croyez que la force de déflexion de son bouclier est directement proportionnelle à la puissance de l'énergie cinétique qu'il reçoit...?
O'Neill : (Comme s'il avait tout compris) ...Moui...!


Anteaus : Vous apprendrez peut-être un jour, que votre façon, n'est pas la seule façon...


O'Neill : Les très jeunes ne font pas touours ce qu'on leur dit.
Carter et Jackson : ... (!)
O'Neill : C'est un truc qu'un Nox m'a dit un jour.


Les Désignés [1.9]

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Alekos : (Thetys va accoucher) Je ne connais pas les mystères de la naissance... E-Et le village est trop loin pour qu'on y aille... il faut nous aider.
(O'Neill, Jackson et Teal'c regardent Carter)
Carter : Quoi ?! Ne me regardez pas comme ça, je n'y connais rien du tout moi...


Carter : (Jackson est en train de mettre au monde le bébé de Thetys) Combien de bébés avez vous mis au monde ?
Jackson : Deux... ... En comptant celui-là.


Jackson : Cet endroit est incroyable... C'est comme si... on entrait dans la citadelle de Mycène...
O'Neill : Ben...! Vous aviez dit que c'était grec !
Jackson : Ah, euh... Mycène est une cité antique située dans le sud du Péloponnèse...
O'Neill : Mais c'est où ça ?
Jackson : ... En Grèce...
O'Neill : Ah, ouais, évidemment... Où avais-je la tête ?


Jackson : Regardez ce peuple... C'est à croire que le mot "laideur", n'a jamais existé chez eux...


Kynthia : Est-ce que ça [gâteau] vous plaît ?
O'Neill : Mmh... C'est délicieux ! ...(Au reste de SG-1) Vous devriez en prendre !
Kynthia : Non... C'est seulement pour vous.
O'Neill : ... Seulement pour moi(!) ? ...Merci... (Kynthia s'en va)
Jackson : Un conseil, finissez le(!)...
Carter : Vous avez une admiratrice, mon colonel(!)...
Teal'c : À mon avis, cette femme voudrait passer un peu de temps avec O'Neill...
O'Neill : Merci, Teal'c. (!)


Alekos : À chaque être humain, le Créateur offre de vivre une centaine de journées... Ce serait un pêché de ne pas célébrer chacune d'entre elles...
Jackson : Une célébration tous les jours pendant cent jours ?... Il va falloir prendre le rythme rapidement...


O'Neill : (Teal'c, Jackson et Carter débarquent dans une pièce dans laquelle O'Neill est à moitié nu, et tous les indigènes viennent de s'endormir) Euh... ...Qu'est-ce qu'il s'est passé ?...
Carter : De qui vous parlez...? De vous... ou d'eux ?...
O'Neill : ... On verra tout ça plus tard...
Carter : J'ai déjà vu beaucoup de fêtes se terminer brutalement, mais comme ça, jamais...!


Jackson : Si les enfants atteignent l'âge de cinq ans en cinq jours, qu'est-ce qu'il leur arrive au bout de cent jours ?...


Carter : Au rythme où vont les choses... peut-être que dans deux semaines, vous aurez l'apparence de quelqu'un qui a cent ans...
O'Neill : ... Donc dans deux semaines, je serais mort.


O'Neill : Et ne me dites surtout pas, "Adieu"... Parce que vous avez intérêt à revenir bientôt.


O'Neill : (À la statue de Pélops) Qu'est-ce que tu regardes, toi ? ... Ce n'est pas parce que tu as parcouru six milliards d'années-lumière que tu m'impressionnes...
Kynthia : Est-ce qu'on peut vraiment parler au grand Pélops ?
O'Neill : Bien sûr... C'est juste un bloc de pierre... Et il est pas si grand qu'ça...


O'Neill : (À Kynthia) Ce que tu as éprouvé n'était pas vraiment de l'amour... Il faut du temps pour ça... Ce n'est pas en une journée que tu peux apprendre à connaître quelqu'un...


O'Neill : (À Kynthia) Ton "Créateur" n'était pas un dieu ! Et il ne vous a sûrement pas offert la vie, il vous la prise...!


O'Neill : (Alors qu'Alekos parle à la statue) Ne vous fatiguez pas, il est sourd...


Alekos : Pélops nous a toujours interdit de partir...
O'Neill : Et comment a-t-il fait ça...? C'est rien qu'un tas de pierre...


Kynthia : Reviens dans notre village. Il n'est pas bon d'être toujours tout seul...
O'Neill : Quel que soit le temps qu'il me reste à vivre, j'ai bien l'intention de le passer comme je l'entends...
Kynthia : ... Mais tu risques de perdre ton temps... sans avoir vécu.
O'Neill : ... Je ne pense pas que le fait de réfléchir sur ma vie... ou d'essayer de trouver le moyen radical de ne pas la perdre soit une perte de temps...


Kynthia : Nous n'avons pas des milliers de jours de vie, nous savourons l'instant présent.


Kynthia : (À O'Neill) Laisse-moi te redonner ce que je t'ai pris... Le temps d'un simple battement de cœur, qui te paraîtra une éternité...


O'Neill : (Il fait une erreur évidente au Tic-Tac-Toe et Kynthia gagne la partie) Oh, c'est pas vrai... Il faudrait que je t'apprenne un jeu où je puisse gagner...


Kynthia : Est-ce que tu vas rester jusqu'à la fin de ta vie sans faire l'amour ?
O'Neill : (Il a l'apparence de quelqu'un de 80 ans) Oh seigneur, j'espère bien que non...!


O'Neill : (Carter, Jackson et Teal'c viennent de rejoindre O'Neill après une longue absence) Content de vous voir, les enfants ! ...Je commençais à me sentir un peu seul... Mais je ne vous en faites pas... Mis à part un petit problème à la prostate, que je n'évoquerai pas, je ne vais pas si mal que ça...


Carter : Vous retrouverez votre état normal dans une semaine ou deux...
Kynthia : C'est une excellente nouvelle...!
O'Neill : ...Je ne sais pas... Je me voyais bien rester là écouler des jours heureux dans ce petit village...


O'Neill : (À Kynthia) Grâce à toi, je vais savourer chaque jour qu'il me reste...


Le Marteau de Thor [1.10]

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Teal'c : Des bruits circulaient sur Cimméria... Aucun goa'uld n'est jamais revenu de là-bas.
O'Neill : Voilà un endroit qui devrait me plaire...


Gairwyn : (À Carter et Jackson) Vous n'êtes pas très grands pour des dieux...


O'Neill : (À Teal'c, qui vérifie l'état de son symbiote) Est-ce que le petit va bien ?


O'Neill : (Ayant comprit qu'il parlait à un hologramme) Je crois qu'on est tombé sur le répondeur...


Jackson : C'est [le retrait du goa'uld] douloureux ?
Kendra : Ce n'était rien comparé à la souffrance que je me suis vue infliger à tant de personnes...


Kendra : Sur Jebanna, la beauté est une malédiction... [les goa'uld veulent des hôtes parfaits]


O'Neill : (De l'eau ruisselle le long d'un mur) De l'eau... Avec un peu de temps, elle peut creuser ces parois... Il suffit simplement d'être patient... À mon avis dans un siècle ou deux, on sera libre...


Unas : (À Teal'c) Tue cet humain !
O'Neill : ...Je vous demande pardon(!) ?


Teal'c : Il [Unas] est devenu un mythe... Un peu comme votre vampire...
(...)
O'Neill : Je me demande depuis combien de temps il était coincé ici...
Teal'c : Peut-être un millier d'années... Unas peut dormir de longues périodes, ce qui lui permet de survivre...
O'Neill : Mais il est mort, n'est-ce pas...? On n'va pas repartir là-bas pour lui planter un pieu dans le cœur ou...?


Teal'c : La légende raconte que Unas possède de grands pouvoirs de régénération... Mais ce ne sont que des histoires qu'on raconte pour effrayer les enfants... Ce n'est qu'un mythe...
O'Neill : Ah !...
Teal'c : Cette chose est morte !...
O'Neill : Ben c'est ce que je disais... [se remet en route]
Teal'c : (Toujours arrêté) Je l'espère du moins... [se remet en route]
O'Neill : (S'arrête, se retourne vers Teal'c) Vous l'espérez...?!
Teal'c : ... (Légèrement) J'en suis absolument sûr...


Kendra : C'était [le retrait du goa'uld] extrêmement douloureux. Comme... des aiguilles, qu'on avait planté dans ma tête... La bête faisait tout pour conserver le contrôle... C'était une bataille de volontés...


Jackson : Ça ne vous est jamais arrivé de ressentir quelque chose de totalement contraire à la logique, et qui s'avère pourtant exact ?


Unas : Vos armes ne peuvent pas me tuer! Je connais tous les secrets de ce labyrinthe! Je peux vous aider à vous échapper!
O'Neill : On aimerait mieux avoir une carte! (Il se met à lui tirer dessus)


Teal'c : Si je dois mourir ici, ce ne sera pas sans combattre...


Kendra : (Devant le labyrinthe) Au temple, on nous a appris que le la peur était le plus grand ennemi... Je dois vaincre ma peur !


Teal'c : Vous envisagez la même tactique que moi ?
O'Neill : Teal'c... La phrase c'est "vous pensez la même chose que moi ?", et la réponse est oui.


Le Supplice de Tantale [1.11]

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Jackson : C'est le seul témoignage qu'on ait des recherches effectuées en 45 [sur la porte des étoiles], vous ne trouvez pas cela totalement fascinant ?
O'Neill : Oh si ! Quoi de plus émouvant... qu'une vingtaine d'échecs à répétition ?


O'Neill : Il y a sûrement d'autres documents qui dorment quelque part...
Jackson : Non, le Pentagone a dit que tout était là-dedans...
O'Neill : Boh je vous en prie...! Le Pentagone a déjà perdu des pays entiers...!


O'Neill : (À Catherine, alors que Hammond réprimandait énergiquement Jackson pour avoir révélé des informations à cette dernière) Je suppose que le général Hammond vous a réservé un accueil chaleureux...?
Catherine : Pour l'instant, il est pire que le général West (!) !
O'Neill : Non... Dans le fond, c'est un ours en peluche.


Hammond : Colonel, est-ce que vous-êtes au courant de la promesse totalement ridicule qu'il [Jackson] a eu l'inconscience de faire à madame Langford ?
O'Neill : ... ...Oh, mais le connaissant, je suis certain qu'il est allé un peu trop loin... (!)


(Teal'c vient d'apporter une précision après un long moment de mutisme)
Catherine : ...Et vous parlez ?...
Teal'c : Si c'est indispensable...


Ernest : C'est toi... Catherine ?... (elle acquiesce)... Hmff... [il s'en va]
Catherine : ...Plus de cinquante ans... et c'est tout ce qu'il trouve à me dire...


Catherine : Ah, on se croît vieux et raisonnable... (!)
Carter : Non, moi je crois que le cœur ne vieillit jamais...


Catherine : (À Ernest) Je te croyais mort, mais la vérité est encore pire...!


Jackson : L'élément de base est le fondement de l'univers, c'est la composante moléculaire la plus... ... Bien sûr ! (avec grand enthousiasme) ...Comment communiquer avec tout l'univers ?! En réduisant la méthode de communication au plus petit dénominateur commun à toute vie et à toute matière qui existe dans l'univers ! Jack, ils ont trouvé le seul langage commun à toute la galaxie !


Jackson : Il y en a pour une vie entière à les décrypter...
Ernest : Plus...!
Jackson : Oh... désolé... [Ernest a passé cinquante ans ici]


O'Neill : Daniel... avant que votre cerveau n'explose, je vous rappelle qu'on a d'autres problèmes plus importants à régler en ce moment...!
Jackson : Enfin, est-ce que vous vous rendez compte de ce ça représente ?
O'Neill : Ben à vrai dire... Non...
Jackson : Nous tenons peut-être la clé du mystère de notre existence. Chaque chose, chaque être vivant... l'Existence !...
Ernest : La collaboration du savoir individuel de ces quatre peuples réunis...
O'Neill : Et qu'on ne pourra, jamais(!) transmettre... si on n'arrive pas à rentrer...!


Carter : Où est Daniel ?
O'Neill : Ernest est en train de lui montrer un nouveau jouet...
Carter : Ah oui, quoi ?
O'Neill : Oh, un laser-show ultra sophistiqué qui serait paraît-il la solution à nos questions métaphysiques...


O'Neill : (SG-1 cherche a réparer la porte qui ne peut plus utiliser l'énergie du DHD) Règle numéro un de la survie : inventaire de ce qui est utilisable... Qu'est-ce qu'on a, qu'est-ce qui nous manque ?
Teal'c : ... On a la porte des étoiles, il nous manque l'énergie pour qu'elle fonctionne...
O'Neill : ...Merci, Teal'c. (!)


O'Neill : Donc, nous avons besoin d'électricité...
Carter : (acquiesce) L'ennui, c'est que je ne vois pas de prise de courant...


Catherine : Daniel refuse de remonter... Il est obsédé par ce livre... comme toi tu pouvais l'être avec la porte...
Ernest : Le supplice de Tantale...
Catherine : Quoi ?
Ernest : Je crois que Tantale était un roi de la mythologie grecque... Plongé en enfer, il fut condamné à rester dans de l'eau qui se retirait chaque fois qu'il essayait de boire...
Catherine : La frustration dévorante qui ne s'apaise jamais...
Ernest : Il avait fait l'erreur d'espérer quelque chose... hors de sa portée...
Catherine : Ça ne te rappelle rien...? Certains pensent que c'est ce qui a fait progresser l'humanité. Si l'homme n'avait pas eu ce besoin de posséder ce qu'il n'a pas...
Ernest : Oui, mais c'est parfois ce qu'on a qui a le plus de valeur... Et il faut beaucoup de force pour le reconnaître...


Ernest : Vous êtes en train de jouer votre vie !
Jackson : Oui, je sais !
Ernest : Rien ne vaut un tel risque !
Jackson : Une chance que tout le monde ne pense pas comme vous, sinon on en serait encore au temps des cavernes !
Ernest : Aucun trésor ne vaut qu'on s'y attarde si on ne peut pas le partager, s'il ne sert à personne d'autre !... Vous pouvez me croire... je l'ai vécu !


Retour sur Chulak [1.12]

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O'Neill : Vous aviez dit, non, vous avez juré au général que vous n'avez aucune attache là-bas [Chulak]...! Pourquoi nous avoir caché la vérité ?
Teal'c : Un guerrier devient vulnérable lorsque sa famille est gardée en otage par l'ennemi...


Teal'c : Avec ou sans votre aide, O'Neill... il faut que je retourne sur Chulak.
O'Neill : Avec ou sans mon aide, c'est une entreprise suicidaire...!


Teal'c : Je ne veux pas... Je ne peux pas permettre que mon fils devienne un esclave...


Hammond : Sur combien d'autres jaffas pouvez-vous compter ?
O'Neill : Nous pouvons être sûrs d'au moins... ...Un, un seul... [légèrement]
Hammond : Un ?...
Jackson : Oui, mais quand il y en a un, ça veut dire qu'il y en a peut-être... d'autres... [comme essayant de se convaincre lui-même]


Bra'tac : (À Carter) Vous faisiez partie des gens qui ont défait les gardes du palais de Chulak ? Vous n'êtes qu'une femme...! (Il se tourne ensuite vers Jackson) Et vous... (reprenant les paroles de Teal'c) vous êtes un guerrier aussi habile que rusé ? (Il attrape et sert le poignet de Jackson) Je vous casserais comme un fétu de paille ! (Maintenant, à Teal'c) Comment as-tu pu venir accompagné de ces ha'shacks ?...
O'Neill : ... Hey... Hey, Hey !! C'est moi que vous traitez de "ha'shack"?... (à Jackson) ...C'est quoi un "ha'shack"?


Bra'tac : (O'Neill est parvenu à le mettre à terre) Si j'avais une centaine d'années de moins, ça ne vous aurait pas été aussi facile...!


Bra'tac : J'ai 133 ans.
O'Neill : Vous faites beaucoup plus jeune...


Bra'tac : Personne n'a jamais [sous-entendu, avant SG-1] défié le Goa'uld et vécu assez longtemps pour le raconter.


O'Neill : Capitaine, j'aimerais que Daniel et vous retourniez à la porte des étoiles et prenez position dans un endroit d'où vous pourrez nous couvrir, ça sera peut-être nécessaire...
Jackson : Euh... il n'y a pas une minute on était des guerriers aussi habiles que rusés !?


O'Neill : Eh bien, il suffit de "passer le pont" [Expression 'To cross the bridge' difficilement traduite de l'anglais], et une fois là-bas...
Bra'tac : Non ! Ce pont est trop bien gardé.


O'Neill : Ah non, ce [la Terre] n'est pas un monde sans dieux... Pour beaucoup de gens, il existe un dieu. Tous ne croient pas au même dieu, ni de la même façon, mais... ...Bon enfin, pour résumer, disons que personne ne croît en quelqu'un aux yeux rougeoyant avec un serpent sur la tête...


O'Neill : Ben, c'est [Hammond] un homme... un homme très bon... très chauve... texan...


Jackson : Des larves de goa'uld...
Carter : À l'air libre, comme ça, sans surveillance ?
Jackson : Personne sur Chulak n'a besoin d'en voler...
Carter : Nous, si.
Jackson : ... (légèrement) C'est vrai.


Carter : (S'apprête à attraper une larve de goa'uld) À trois. Un, deux... trois. [hésite, ne fais finalement rien]
Jackson : Bon... alors à quatre.


Jackson : Chacune de ces larves de goa'uld va s'emparer un jour d'une vie humaine... Et qu'il me suffirait de...
Carter : Si nous les tuons alors qu'il sont aussi vulnérables qu'en ce moment, nous ne valons pas plus que les goa'ulds... Allons nous en!.. (Ils s'en vont... Mais finalement Jackson se retourne et mitraille les larves)


Jackson : (Parlant de la larve de goa'uld qu'il transporte, à Carter) Vous croyez qu'il faut les nourrir ?


Carter : Qu'allez-vous faire? Quand les prêtres reviendront à eux ils diront à Apophis que vous avez trahi (!).
Bra'tac : (légèrement) Eh bien! Je pense que je "passerai le pont" lorsque le moment sera venu.


Le Feu et L'Eau [1.13]

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O'Neill : (Éloge funèbre) Daniel Jackson a permis la création de ce lieu. En tant que membre de SG-1, il était notre voix... et notre conscience... C'était un homme courageux... et c'était un homme bien. ...Pour ceux qui ont eu la chance de le connaître comme moi, il était devenu un ami.
(...)
Hammond : Nous recommandons l'âme de Daniel Jackson, à l'univers qui s'ouvre devant lui... et nous continuerons la tâche entreprise ici, en mémoire de lui... Qu'il repose en paix.


O'Neill : (En brisant la vitre de la voiture) Qu'est-ce qu'elle fait là cette voiture ?!! [O'Neill tirait dans des balles vers une petite cage près de la voiture]
(Un peu plus tard)
Hammond : Je vous signale que c'était ma voiture... (!)
O'Neill : (Légèrement) Eh ben vous avez une vitre à remplacer...


Jackson : Je ne peux pas vous dire une chose que j'ignore...
Nem : Faites le... ou alors, vous mourrez !


O'Neill : Je sais qu'il [Jackson] n'est plus là... Mais je sais aussi qu'il est vivant.


O'Neill : (Le Dr. McKenzie fait écouter à O'Neill, Carter et Teal'c des sons pour stimuler leur concentration) C'est jolie comme air... Vous pourriez m'expliquer pour quelle raison, vous nous faites écouter cette cacophonie...?!


Jackson : Je préfère mourir plutôt que de rester ici sachant que je risque de ne jamais revoir ma femme, et mes amis.


O'Neill : L'hypnose... Je ne suis pas très partisan de ce petit jeu du style "aboyer comme un poulet", "caqueter comme un chien"...


Jackson : C'est une longue, très longue histoire...
Carter : Oui, j'men doute...
O'Neill : Autant vous raconter ça devant un plateau de fruit de mer...
Jackson : ...Très amusant ! [Nem ressemble à un crustacé géant] ... Volontier, mais lorsque j'aurais dormi un peu...
O'Neill : Aah... Justement... En ce qui concerne votre appartement...
Jackson : Ah non, vous n'avez pas...
Carter : Si... le lendemain de la messe du souvenir...
Jackson : La messe du souvenir ?!
Carter : Le colonel a dit de très belles choses...
Jackson : De très belles choses (!)...? ... (plus sérieusement) Vraiment ?


Hathor [1.14]

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Jackson : Hathor est la déesse égyptienne de la fertilité, de l'ébriété et de la musique...
O'Neill : Sexe, drogue et rock'n'roll ?
Jackson : C'est bien résumé, oui.


Hathor : Nous sommes la mère de tous les pharaons.
O'Neill : Mais évidemment que nous le sommes (!) ! Mon général... pourquoi est-ce que, nous(!), n'appellierons pas les services psychiatriques, qui trouveront sûrement une chambre pour cette déesse...


Hathor : Vous ! Avec le crâne de marbre.
O'Neill : Je... crois qu'elle parle de vous mon général.
Hathor : Vous êtes le maître des lieux ?
Hammond : Oui, madame.
Hathor : Pouvons nous prendre votre main ?
Hammond : Pourquoi ?
Hathor : Nous souhaitons la baiser pour vous apporter plus de fertilité et de bonheur...
O'Neill : Mon général, vous ne pouvez pas refuser cette proposition (!).
Hammond : Vous voulez parier ?


O'Neill : Est-ce qu'on peut sincèrement croire à ce que raconte cette folle uniquement parce que dans son délire, elle parle d'une "porte des étoiles" ?... C'est du calibre d'une de mes voisines quand j'étais petit, elle racontait partout qu'elle hébergeait des gens de taille microscopique dans sa chevelure... et qu'elle se lavait plus les cheveux à cause de ça...!


Jackson : Elle était enfermée sur Terre depuis pratiquement deux milliers d'années...
O'Neill : Sa... Sa maladie mentale est-elle contagieuse... hum ?


Teal'c : J'ai longtemps servi les goa'uld... et je n'en ai jamais vu un de bon.
Hammond : (Sous l'emprise de Hathor) C'est peut-être parce que vous ne serviez que les mauvais...


Hathor : Pourrions nous avoir un petit rafraîchissement ?
Hammond : (Sous l'emprise de Hathor) Colonel.
O'Neill : ... Mon général ? (!)
Hammond : (Sous l'emprise de Hathor) Veuillez lui apporter un verre d'eau.
O'Neill : ... Ah(!) !


Carter : Ma mère m'avait bien dit de ne pas travailler avec des gars.
Fraiser : C'est vrai ? Mon ancien mari disait ça aussi : "Non mais t'es malade, ma pauvre ?! L'armée c'est vraiment un univers et un métier de mec !"
(...)
Carter : Il m'est impossible de me sentir comme eux quand je suis avec ces gars. Ils font tout pour me faire comprendre que je suis "la fille"...!
Fraiser : Mais c'est ça !...
Carter : Quoi ?
Fraiser : Vous venez de me donner l'idée qui nous sortira d'ici [cellule] !... Si comme je le pense, Hathor les affole en augmentant leur niveau d'hormones, ça veut dire qu'elle les rend plus... libidineux.
Carter : ...Oh, je vois... C'est curieux, mais je sens que je ne vais pas aimer la suite...


Carter : L'utilisation de la séduction n'a jamais fait l'objet d'un chapitre dans notre manuel...
Fraiser : Parce que vous croyez que le Pentagone avait envisagé l'attaque d'une base militaire par un alien s'amusant à rendre chacun des mâles fortement...
Carter : Libidineux...?
Fraiser : Moui...
Carter : Je suppose que c'est ce qu'on appelle "s'attaquer aux faiblesses de l'ennemi"...


Fraiser : (Aux gardes) Messieurs, nous sommes cinq femmes dans cette cellule, et on se sent... très seules...
Carter : J'ai l'impression de jouer un mauvais film sur les femmes en prison...


Carter : (Après avoir assommé Hammond, qui était sous l'emprise de Hathor) Je sais... ma carrière est fichue !


Carter : (L'ouverture ventrale de O'Neill a disparu après son passage dans le sarcophage) Waah... C'est un miracle...!
O'Neill : ...J'ai grossi ?


Cassandra [1.15]

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Jackson : Qu'est-ce qu'on pourra observer exactement une fois que l'éclipse aura commencée? Il va faire tout noir et il y aura un grand trou?
O'Neill : C'est pour ça que ça s'appelle... un trou noir.


Carter : Mais pendant la période où l'éclipse est totale, on peut observer de la matière former une couronne autour du trou...
O'Neill : C'est ce que les scientifiques appellent le "disque d'accrétion".
Jackson : Je comprends pourquoi les gens de cette planète ont peur d'un tel phénomène... (se tournant soudain vers O'Neill) Qu'est-ce que vous venez de dire, là?!?
O'Neill : Rien de sorcier. Juste un terme astronomique.
Carter : (ironique à Jackson) Vous croyez que le colonel a un télescope sur son toît pour regarder ce qui se passe chez le voisin?
O'Neill : (à Jackson) Hm? ... (sous le regard inquisiteur de Teal'c) Oh je ne m'en sert pas pour ça!


O'Neill : Qu'est-ce qu'on se marre... encore huit heures à attendre... génial.
Teal'c : Je ne comprend toujours pas ce concept de trou noir.
O'Neill : Et bien un trou noir c'est... c'est quelque chose d'immense... dans l'espace. Enfin pour résumer c'est... un énorme... trou... dans le ciel.
Teal'c : Je vois
O'Neill : Euh... Ce qui se passe c'est que ça aspire tout ce qui traîne tout autour... même la lumière... C'est pour ça qu'on peut pas le voir... la lumière... est aspirée.
Teal'c : Merci!


(O'Neill porte un chien dans ses bras)
Cassandra : Qu'est-ce que c'est?
O'Neill : Il existe une loi sur terre: chaque enfant est obligé d'avoir un chien. Ceci est un chien et il est à toi.


Le Procès [1.16]

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[Teal'c est déjà venu sur le monde qu'il visitent]
Teal'c : Les Goa'uld viennent régulièrement leur rendre visite, c'est l'un des endroits qu'ils préfèrent quand ils font leur récolte pour trouver des porteurs sains
Jackson : Vous ne devriez pas dire "récolte", ce sont des êtres humains pas des choux de Bruxelles


Jackson : C'est intéressant, ils ont l'air de revenir d'une cérémonie religieuse.
O'Neill : Pourquoi faut-il que vous mettiez des trucs religieux partout? Peut-être qu'ils reviennent d'une surprise-partie.


[Teal'c vient d'être mis en prison]
O'Neill : Je suppose qu'on ne peux pas payer de caution pour le libérer?


O'Neill : (à une autochtone) On est innocent, jusqu'à ce qu'on prouve le contraire... Ça vous dit quelque chose?
Jackson : En fait si on parcourt l'Histoire, c'est plutôt rare. Dans la plupart des cultures ce concept est inversé. (avec une grimace, O'Neill lui fait signe de se taire) Enfin... ce que j'en dit...


Hanno : C'est moi qui dirige le Cor-Ai!
O'Neill : Objection! ... Ça c'est une chose qu'on dit d'habitude sur Terre pour... Bon laissez tomber.... Vous ne pouvez pas être juge. Ça n'est pas juste.
(...)
Hanno : Pourquoi ce n'est pas juste?
O'Neill : Parce que vous êtes le fils de la victime!
Hanno : Oui!
O'Neill : Mais le juge doit rester impartial!
Hanno : Qu'est-ce que ça veut dire?
Jackson : Impartialité veut dire qu'une personne ne doit pas avoir une opinion déjà toute faite concernant les faits reprochés à l'accusé.
Hanno : Mais où trouver une telle personne? Quelqu'un qui a une pensée a une opinion!
(...)
Ancien du village : Il n'y a que la personne qui a souffert qui puisse évaluer la douleur qui lui a été infligée. Qui d'autre peut vraiment dire quelle est la punition qu'il faut appliquer?
O'Neill : Mais vous vous pourriez le faire!
Présidente : Hanno va continuer.
O'Neill : (à part) Roh c'est pas croyable ça!
Jackson : C'est comme ça dans le Talmud. Il n'y a que l'offensé qui puisse pardonner.
O'Neill : (avec véhémence) Vous allez vous taire!


O'Neill : Teal'c. Il y a beaucoup de choses... qu'on est amené à faire... et qu'on aimerait pouvoir changer... qu'on ne peut jamais oublier. Mais le concept même du commandement élimine toute notion de libre arbitre. Ainsi en tant que soldat, on est amené à faire des choses horribles, en obéissant aux ordres comme on nous l'a appris. Ca ne rend pas les choses faciles et ça les justifie encore moins... mais ça donne une part de responsabilité à celui qui a donné les ordres!
Teal'c : Alors vous voulez dire qu'Apophis est responsable de la mort du père de ce garçon?
O'Neill : Oui!
Teal'c : Vous avez tort O'Neill!


Teal'c : Quand j'ai regardé Hanno dans les yeux, j'ai reconnu l'horreur qu'éprouvaient beaucoup d'autres gens quand l'un des leurs se préparait à jouer le rôle d'un porteur sain. Pire encore était le visage des victimes que je venait de sélectionner quand elles réalisaient que pour elles la vie était bien finie. Le père d'Hanno était ni le premier ni le dernier de ceux à qui j'ai pris l'existence et j'ai encore fait bien pire O'Neill! Je ne peux pas réparer le mal que j'ai fait à tout ceux qui ont souffert mais je peux au moins le faire pour ce garçon... Je suis désolé O'Neill... Je ne vais pas fuir.
O'Neill : ... Je le suis moi aussi. Mais c'est inacceptable!


Hanno : Vous venez de démontrer parfaitement que chez ce Jaffa cette mue récente qui le conduit à faire le bien devrait quelque part éffacer son passé criminel. J'aimerait poser une dernière question... Est-ce que ses récentes actions ou toutes ses futures actions vont faire que mon père retrouve la vie?
Jackson : Non... Non. Bien sûr que non.
Hanno : Ce qui veut dire que le bien qu'il fait dans le présent ne peut effacer le mal qu'il a fait dans le passé...


Hammond : Ces gens agissent à son égard comme nous le faisons dans notre monde. Nous continuons de poursuivre tous les crimes de guerre même si les gens changent d'attitude.
O'Neill : Des crimes de guerre(!)?!
Hammond : Oui colonel! C'est ainsi! Que ça vous plaise ou non, ce que ce Jaffa a fait à ces personnes et à des milliers d'autres personnes est un crime(!). Pendant des années, Teal'c a été au service des goa'ulds, et a commis des actes pas très nets. Je suis même sûr que vous deviez vous douter que ce genre de choses lui pendaient au nez.
O'Neill : Mon général! J'ai déjà passé pas mal d'années au service de mon pays. Et on m'a parfois ordonné de faire un certain nombre d'actions pas très nettes!


Les Réfugiés [1.17]

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O'Neill : (Paysage apocalyptique) Combien de temps il nous reste avant d'être grillés ?


Omoc : Je trouve invraisemblable qu'un peuple aussi primitif ait réussi à décoder le système de la porte des étoiles...
O'Neill : Vous avez dit "primitifs" (!) ?


Carter : (Lit les retours de données de la planète Tollan) La température de l'air oscille entre 200 et 1500 degrés Fahrenheit. [50 à 800°C]
O'Neill : Comme à Los Angeles (!) ...!


Teal'c : Où comptez-vous les [Tollans] emmener ?
Maybourne : Dans une communauté scientifique dans Les Rocheuses...
O'Neill : Moui, je vois le tableau d'ici : des hauts murs, un garde pour chacun d'eux, et des barbelés tout autour...?
Maybourne : Ils représentent un bien inestimable... Il faut bien les protéger...
Jackson : Je vois, oui... les travaux forcés intellectuels...
Carter : Et une peine à perpétuité...
Maybourne : Ces extra-terrestres vivront mieux que la plupart des américains...


Jackson : Bon le Pentagone, l'Intelligence Service je peux comprendre, mais le Président!.. Quand je pense que j'ai voté pour lui(!)!


Hammond : Très bien colonel. Puis-je savoir pourquoi je suis là [à la surface]?
O'Neill : Parce que Maybourne n'y est pas Monsieur.


Maybourne : (à Jackson) Docteur Jackson! Ici le colonel Maybourne! Ce que vous faîtes est passible de la cour martiale!
O'Neill : Ce n'est pas un militaire colonel... et il vous sera difficile de trouver dans le code civil une loi qui le punisse pour ça (aider des réfugiés).


Portés disparus [1.18]

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O'Neill : (Il pensait revenir au SGC) Je peux savoir où on est? Parce que sauf si ils ont refait la déco pendant notre absence j'ai l'impression qu'on est pas à la maison.


Carter : Je crois qu'on a un gros problème.
O'Neill : Ah oui vous croyez? On a juste à reprendre la porte et on sera tiré d'affaire. Où est le tableau de commande?
Carter : J'ai pas réussi à le trouver.
O'Neill : Ah bon... Ben là on a un problème.


O'Neill : (Carter lui fait une attèle à la jambe)Allez-y doucement docteur!
Carter : Hélas mais pas docteur en médecine!
O'Neill : Au cas où vous ne le sauriez pas, sachez se faire manipuler une jambe cassée ça fait mal.
Carter : Je suis désolée mais c'est la première fois que je fais ça mon colonel. Et vous, c'est votre première fracture?
O'Neill : Euh... Ah non. Non. Non ça doit faire euh... sept ou huit si vous comptez les fractures du crâne.
(suit le récit de la fracture du crâne)
Carter : Je suis désolée, j'essaie de faire du mieux que je peux.
O'Neill : Je le sais très bien capitaine mais faites-le plus vite, c'est tout!
Carter : Vous avez violemment touché le sol et...
O'Neill : (L'interrompant) ...et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.
Carter : Ca y est, j'ai presque fini mon colonel!
O'Neill : (alors que Carter serre les bandages) Non, non. Ca y est c'est terminé. Bravo. C'est une très jolie attè-èle. (!) Très belle! Arrêtez!


O'Neill : (Il sont dans une caverne de glace) Hé, un p'tit coup de peinture, un p'tit peu de ménage, une petite cheminée dans le coin et ça nous ferait une belle maison.


Carter : Vous avez mal à la poitrine?
O'Neill : Je crois que j'ai aussi une côte cassée.
Carter : Pourquoi vous ne m'en avez pas parlé?
O'Neill : J'ai eu peur que vous essayiez d'y mettre une attèle.


Carter : J'ai réussi à envisager trois explications possibles. Un : Daniel s'est trompé de combinaison et ils se trouvent tous les deux ici, quelque part, sur cette planète.
O'Neill : Je ne les vois nulle part.
Carter : Deux : Daniel ne s'est pas trompé mais à un moment donné, la Porte s'est mise à dérailler pendant le voyage. Ne me demandez pas pourquoi je n'en sait rien du tout! Quoi qu'il en soit, eux sont repartis sur Terre mais pour une raison inconnue, nous on s'est retrouvé ici.
O'Neill : Et en trois?
Carter : Trois : La Porte a mal fonctionné. On a été envoyé sur cette planète. Daniel et Teal'c ont été envoyés sur une autre.
O'Neill : Oui et quatre?
Carter : Il n'y a pas de quatre.
O'Neill : Si, cherchez bien!
Carter : J'ai cherché mon colonel
O'Neill : (déçu) Ha... D'accord... Bah on dira qu'ils sont retournés sur Terre... Et qu'ils ont commencé à nous chercher.
Carter : Oui mais où? (sous-entendu : on ne sait même pas nous-même où nous sommes)
O'Neill : (agacé du pessimisme-réalisme de Carter) Ici(!), faut espérer.


Carter : Je ne savais pas que vous cuisiniez.
O'Neill : Je cuisine pas, mais ma tambouille à l'eau dégelée est une pure merveille.


Carter : Oh non! Les piles faiblissent. C'est maintenant ou jamais.
O'Neill : Bah moi je préfère maintenant. Pas vous?


O'Neill : (faible) Capitaine... Capitaine... Loin de moi l'idée de me plaindre. J'adore qu'une femme se colle à moi comme ça... (...) C'est juste que c'est très difficile de dormir avec une côte cassée et quelqu'un alongé sur le torse...


Jackson et Teal'c en même temps :(Ils viennent de trouver les coordonnées de l'endroit où se trouve O'Neill et Carter) Général, permission de...
Hammond : Accordé!


Les Doubles robotiques [1.19]

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O'Neill : Mesdames et Messieurs c'est votre colonel qui vous parle, bienvenue sur P3X-989 où règne ce qu'il convient d'appeler une douce température, (Plus sérieusement) déployez-vous !


Harlan : Contraya ! Contraya !
O'Neill : Daniel ?
Jackson : Je pense que c'est amical.


Harlan : Ubald, lui c'était le créateur de toutes ces choses mais il est mort vraiment très tôt, il à emmené beaucoup de secrets avec lui il y a très longtemps.
O'Neill : Il y a combien de temps exactement ?
Harlan : Exactement ? Quatre-vingts neuf millions deux cent soixante-dix-sept mille de vos heures à vous.
O'Neill : (Immédiatement) Ce qui fait onze mille ans.
Carter : Comment savez-vous ça ? (O'Neill est loin d'être bon en mathématiques)


Jackson : (Harlan les a transformé en robot sans leur dire) Mais pourquoi Harlan ne nous a-t-il pas tout dit ?
Carter : Pour moi il a eu peur qu'on le prenne trop mal.
O'Neill : Perspicace ce cher monsieur


Jackson : Mais où allez-vous ?
O'Neill : A la recherche d'Harlan.
Jackson : Jack ?
O'Neill : N'ayez crainte, c'est juste histoire de parler, de robot à robot.


Carter : Quoi ?
Jackson : Oh rien du tout, cette notion de pouvoir vivre 11 000 ans a traversé mon esprit pendant un moment. C'était trop, je n'ai pas pu l'intégrer.
Carter : Apparemment nous aurons le temps de nous adapter. Oui on a vraiment gardé les mêmes sensations et les mêmes perceptions que lorsqu'on était des humains.
Jackson : Si c'est ce que vous pensez c'est que le corps humain n'est qu'une machine, ce n'est que l'habitacle de notre conscience, qu'une mécanique organique qui fait son travail et qui à besoin de carburant.


Teal'c : (Harlan à fait une copie de SG-1) Vous aviez une copie de moi ?
Harlan : Oui oui, mais j'ai dû la désintégrer.
Teal'c : Je vois...


O'Neill : Bon alors, qu'est-ce qui s'est passé ici ?
Double de O'Neill : Quelqu'un a volé ma vie. Voilà ce qui s'est passé.
O'Neill : Oh tu es en train de parler de ma vie.
Double de O'Neill : Hé ! Je crois que j'y ai droit autant que toi non ? Je croyais que je pourrais trouver un moyen de me défaire de tout ça que je pourrais me remettre dans mon corps, là où je doit être.
O'Neill : Ha ben là c'est... là c'est occupé.
Double de O'Neill : Ouais je sais, je l'ai remarqué. Qu'est-ce que je deviens moi ?


O'Neill : Mais il y a la question de la sécurité. Ben oui, par rapport à tout ce que je sais sur la terre, les codes, les défenses...
Double de O'Neill : On va boucher la porte. Et tu n'aura même pas besoin d'envoyer une bombe par sécurité.
O'Neill : J'y songeais pas !
Double de O'Neill : Ouais tu parles ! J'te connais !
O'Neill : C'est bon, ca va, tu as ma parole colonel.


O'Neill : Harlan, personne n'a été programmé pour vivre éternellement
Harlan : Ha peut-être pas mais si vous essayez pendant quelques centaines d'années peut-être que vous pourriez changer d'avis et y prendre goût.


Une dimension trop réelle [1.20]

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(Ils arrivent dans une grande pièce sombre et encombrée)
O'Neill : J'adore l'ambiance qui se dégage de cet endroit


Jackson : J'étais volontaire dans la première mission qui a traversé la Porte des étoiles vers Abydos. Et à moins que je ne délire et que je ne sois complètement dingue et bon à enfermer, je fais maintenant partie de SG-1.
Catherine Langford : Alors faîtes-vous examiner!


(Les Goa'uld envahissent la terre)
Jackson : Vous envoyez une arme nucléaire sur Chulak?
O'Neill : Ça vous pose un problème?
Jackson : Les Jaffas ne font qu'obéir, ce sont des esclaves.
O'Neill : Je vais résumer la situation dans laquelle nous sommes: Nous estimons les chances de survie de la terre de 1,5 sur 1 milliard. Vos petit copains jaffas ont déjà éliminé la moitié du monde. Donnez-moi une seule bonne raison de ne pas riposter là où je peux.
Jackson : Ils n'ont pas le choix.
O'Neill : Envoyez la bombe.


(Jackson vient de regarder où se trouve son double dans cette réalité)
Jackson : Ho ho!
Carter : Quoi?
Jackson : Je crois que je suis mort.
Carter : Pardon?
Jackson : Mon double dans cette réalité


O'Neill : Écoutez-moi, bon je sais qu'à première vue ça a l'air insensé, mais vous aussi vous avez le pouvoir de changer votre condition et nous sommes prêts à vous y aider.
Teal'c : ...
O'Neill : Ce Daniel qui vous connais dis que le Teal'c de son monde est un homme bien et qu'il a pris les armes contre ses chefs pour libérer son peuple, pour libérer sa famille, votre femme, votre fils Ryac!
Teal'c : Je viens de recevoir un communiqué de ma planète, vous avez envoyé une bombe sur Chulak a travers la porte des étoiles. Ils sont tous morts, mon peuple, ma femme et mon fils


Décision politique [1.21]

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Jackson : Alors vous me croyez?
O'Neill : Oui enfin, disons qu'on a quand même quelques doutes...
Jackson : Il faut me croire!
Carter : Attendez Daniel quand vous étiez dans cette réalité alternative, est-ce que tout était différent?
Jackson : Oui, Euh... Teal'c se préparait à attaquer la terre, je ne faisait pas partie de ce programme, vous étiez fiancé et vous alliez vous marier avec Jack.
O'Neill : Excusez-moi!
Carter : Quoi?
(Plus loin dans la conversation alors qu'ils parlent de la survie de la Terre)
O'Neill : Attendez, je suis pas très sûr d'avoir tout saisi... On était fiancés?


Samuels : Non, je suis le lieutenant-colonel Samuels maintenant capitaine.
Carter : Oh je vous prie de m'excuser félicitation
Samuels : Merci
O'Neill : (narquois) Vous serez toujours Sparky pour moi.


Hammond : C'est un projet non officiel [le programme Porte des étoiles] qui coute le modique somme de sept milliard virgule quatre par an à l'état.
O'Neill : C'est tout?
(...)
Hammond : ...on en a pour un milliard de dollars rien que pour allumer les lumières ici.
O'Neill : Ben on a qu'à faire une vente de charité?
Hammond : ...
O'Neill : Ou alors une vente aux enchères?
Hammond : La situation est critique je ne plaisante pas Colonel.
O'Neill : Laver des voitures?


Kinsey : Le mot "menace", colonel O'Neill, a trop souvent à mon goût été galvaudé par les militaires de ce pays et a servi de justification pour des dépenses que nous ne pouvons plus assurer.

  • datée de 1998, cette remarque paraît étrange, voire hors de propos, si l'on pense aux guerres américaines de l'après-11 septembre 2001... mais pas moins vraie.


Kinsey : Il (le programme) nous coute sept milliard quatre-cent sept millions de dollars en tout...
O'Neill : Ah j'étais pas loin!
Kinsey : ...par an bien sûr
O'Neill : Sauf votre respect monsieur le sénateur, rien que le fonctionnement du service comptable représente trois fois ce chiffre...


Jackson : Mais nous avons toutes les raisons de croire que les goa'ulds sont sur le point d'attaquer en force avec leurs vaisseaux
Kinsey : Et bien je crois qu'ils regretteront de s'attaquer à la défense des États-Unis.
O'Neill : Oh mais c'est pas vrai!
Jackson : Bien sûr il nous suffira simplement d'infiltrer un virus dans leur vaisseau spatial.


O'Neill : Monsieur Kinsey, il me semble que vous ne considérez pas les goa'ulds comme une menace.
Kinsey : Vous les avez toujours vaincus facilement jusqu'à maintenant.
O'Neill : Vous avez lu tout les rapports? Une fois ils nous ont tué.


Kinsey : Et bien si ils [les goa'ulds] sont si fort que vous le prétendez, pourquoi avez-vous changé de camp soudainement?
Teal'c : Parce que ce qui est juste ne peut pas se mesurer par la force. C'est la liberté qui gouverne votre monde, je souhaite la même liberté pour mon peuple.
Kinsey : Au risque de paraître insensible, je tiens à vous dire que c'est votre problème.


Dans le nid du serpent [1.22]

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Teal'c : Si les coordonées sont celles d'un site goa'uld sans être inscrites sur le cartouche d'Abydos, les goa'ulds seront peut-etre surpris par notre venue. Je suis partisan d'une frappe d'ordre médicinale.
O'Neill : On dit : "une frappe chirurgicale"...


O'Neill : (Ils découvrent des armes qu'ils ne connaissaient pas) Comment ça s'appelle?
Teal'c : Zat'nik'tel
O'Neill : Ah oui... bon on dira des Zats.


O'Neill : (Ils viennent de voir passer un groupe de Jaffas) C'est un grand bonheur sans cesse renouvelé de revoir ces gars-là.


Jackson : Teal'c, qu'est-ce que c'est que ca?
Teal'c : C'est un appareil de communication audiovisuel de portée universelle, un peu comme vos télévisions mais beaucoup plus sophistiqué.
O'Neill : C'est à quelle heure le journal télévisé?


O'Neill : (Un Jaffa le surprend) Eh! Comment ça va? ... Erm... Vous pourriez me dire où se trouvent les toilettes?


O'Neill : Je suggère que vous deux [Carter et Jackson] vous réfléchissiez à un moyen de nous ramener à la maison.
Carter : Le seul moyen, serait de faire demi-tour et de retrouver le point de départ.
Jackson : Très bien! Je vais aller dire ça au pilote!


Skaara : Père! Permet-moi de t'offrir ce superbe présent : ... le traître Teal'c... et l'humain qui l'a recruté.
O'Neill : (avec un signe de la main à Apophis) Salut p'tit gars!


Hammond : Le docteur Jackson à de la chance
Davis : Comment cela?
Hammond : Il ne sera pas là pour voir son cauchemar devenir réalité une deuxième fois.

Saison 2

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Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :

La Morsure du serpent [2.1]

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O'Neill : Je suppose que c'est le moment ou jamais de prononcer des paroles inoubliables... ... Il n'y a rien qui me vienne à l'esprit. Allons-y.


O'Neill : (Des Jaffa essaient de forcer les portes de la salle de commande) Oui, oui, ça va, on arrive!


O'Neill : Écoutez. Détendez-vous Daniel! On a vécu des situations pires que celle-là!
Teal'c : Pas à ma connaissance.
O'Neill : (en coin) ...Merci Teal'c.


O'Neill : Carter... si jamais quelqu'un s'approche de vous, mordez-lui la main. [sous-entendu : comme vous venez de me faire]


Samuels : Alors là j'en doute [que SG-1 puisse être à bord du vaisseau goa'uld]. Parce qu'il est impossible d'atteindre un vaisseau par la porte... Pardonnez-moi, je sais que SG-1 est important pour vous c'est vrai mais, c'est tout à fait irréaliste.
Hammond : Ainsi que votre plan, colonel! Ça ne nous a pas empêché pourtant de le mettre en œuvre.


Bra'tac : Peut-être que quand vos vaisseaux de guerre attaqueront...
Carter : Oh oh, excusez-moi, vous venez bien de parler de nos vaisseaux ?
Bra'tac : Vous devez certainement en avoir...
Jackson : Enfin, nous avons un certain nombre de...
O'Neill et Jackson : ... de navettes...
Bra'tac : Et ces... "navettes"... sont sûrement redoutables...
O'Neill : Oh, oui, oui,... oui. (À Jackson) On est mal barrés...
Jackson : Oui, je crois...


Bra'tac : Une fois lancés, nous ferons le plus de dégats possibles.
O'Neill : Excusez-moi! Et combien est-ce que vous êtes?
Bra'tac : Trois... Avec lui [Teal'c] ça fait quatre.
O'Neill : Ah! Bon! Quatre (!)!


Bra'tac : Nous sommes prêts à sacrifier notre vie pour votre monde, humain (!). N'en demandez pas plus.
O'Neill : Non, je sais! Mais ce serait une meilleure idée si c'était les autres qui sacrifiaient leurs vies pour leur monde avant nous.

  • parodie du mot célèbre de Patton.


Samuels : Monsieur! On ferait sans doute mieux d'attendre le résultat de notre frappe avant de faire partir ces gens...
Hammond : (ferme) Je ne crois pas!
Samuels : Une évacuation n'est peut-être pas nécessaire...
Hammond : Vous pouvez arrêter de rêver tout haut colonel!


Samuels : Dans ce cas... puisque je ne suis plus, ni désiré, ni utile à quoi que ce soit ici, je vous demanderais respectueusement la permission de rejoindre l'une des équipes partant pour le site alpha au...
Hammond : (le coupe) Permission... refusée (!). L'idée c'est d'envoyer les meilleurs et les plus brillants colonel!


Teal'c : Ce vaisseau n'est plus protégé par des champs magnétiques... ...
Carter : Et, c'est tout?
Teal'c : Quoi donc?
O'Neill : Je crois que ce que le capitaine veut dire, c'est : "et maintenant?".
Bra'tac : On va mourir.
O'Neill : Ah ça c'est pas un bon plan!


Bra'tac : On va mourir heureux Teal'c.
Teal'c : Mieux que ça mon ami : on va mourir libres.


La Tête à l'envers [2.2]

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Teal'c : (Après avoir tiré sur Daniel avec un Zat'n'ktel ) Est-ce que vous souffrez ?
Jackson : Drôle de question... Et merci Teal'c... C'était gentil.
Teal'c : C'était normal.
Jackson : Surtout ne refaites jamais ça.


O'Neill : Vous avez gagné Sam, vous vivez.
Carter : Ce n'est pas moi.
O'Neill : Oh si c'est vous. Vous vous êtes accroché et vous l'avez battus.
Carter : Le goa'uld a donné sa vie pour moi, il m'a sauvé.


Perpétuité ou La tueuse de monde [2.3]

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O'Neill : Sauf si vous me dites que vous avez fait une découverte extraordinaire, je considère cette mission achevée.
Jackson : Mais on vient juste d'arriver! On ne sait pas ce que cette planète a à offrir(!).
O'Neill : (reste stoïque) Des arbres et de la mousse.


(Un homme fuyant et terrifié rencontre SG-1 dans une forêt et leur demande de l'aide)
O'Neill : (sceptique) E-Euh c'est ça... Euh nous sommes cernés par Taldor (!). Oui bon alors soyez tranquille nous sommes là...


Voix de Taldor : Vous êtes prisonniers!
O'Neill : Euh et vous? ... Vous êtes qui?


Linéa : Il y a deux manières et deux manières seulement de gouverner une société : par la peur, ou par l'espoir.


O'Neill : Je suppose que vous n'avez jamais été en prison, n'est-ce pas? Pour vous c'est bien la première fois?
Jackson : Vous, vous y êtes déjà allé, j'imagine?
O'Neill : ... Eh bah oui!


Hammond : Mais enfin! D'où est-ce que vous sortez?
O'Neill : (banal) De prison. Enfin à vrai dire, nous nous sommes évadés.


Le Maître du jeu [2.4]

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(SG-1 arrive dans un bel endroit fleuri)
Carter : C'est magnifique!
O'Neill : Ouais. Mais partout où il y a un jardin, il y a des serpents!
Jackson : (pour contrebalancer la remarque d'O'Neill) Il y a des fleurs aussi. * atcha * Je dirais même qu'il y a beaucoup trop de fleurs...


Carter : J'aime assez ce qu'ils ont fait de cet endroit. (ils sont dans une sorte de serre)
O'Neill : Mouais. Et moi je ne suis pas sûr d'aimer ce que cet endroit a fait d'eux... (des personnes sont ficelées dans des sortes de baquets)


Carter : Où sommes-nous?
Maître du jeu : Il me semble que vous le nommez le « musée archéologique de New York »(!).
Carter : Non, non! Où sommes nous en réalité?
Maître du jeu : La réalité se trouve dans les yeux de celui qui regarde, non?


Maître du jeu : Il ne saurait y avoir le moindre plaisir s'il n'y avait tout d'abord... un peu de douleur...


Carter : Mais comment! Comment ça [le monde virtuel] marche(!)?
O'Neill : Je me fiche de comment ça marche! Je veux juste m'en aller(!).


Jackson : Attendez une minute... Depuis combien de temps vos... « résidents » sont prisonniers de ce monde virtuel?
Maître du jeu : Hm environ un millier de vos années...
O'Neill : Je vous garantis qu'il est hors de question qu'on passe ici un millier d'années de qui que ce soit(!) !


Maître du jeu : (outré) Ils sont en train de tout dévaster, j'en ai même vu qui cueillaient des fleurs (!)!
O'Neill : (A Daniel) C'est la réalité ? Cette fois c'est pour de vrai ?
Maître du jeu : Oh, Oh ! Ne cueillez pas les fleurs ! Vous êtes en train de dévaster le jardin. (se tournant vers SG1) Je l'avais bien dit, ils vont tout dévaster! D'abord le jardin, ensuite, ce sera toute la planète(!)!
O'Neill et Jackson : C'est la réalité.


La princesse Shyla [2.5]

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Jaffa : Mettez-vous à genoux!
O'Neill : Vous savez je regrette mais, j-j'ai u-un léger problème d'arthrose au genou... (le Jaffa lui met un coup derrière les genoux pour l'y obliger) Ah! Oui... oui ça va mieux...


Carter : Vous savez, je crois que ça a un rapport avec ce goa'uld qui est entré en moi... Depuis j'ai des sensations bizarres quand je suis près de Teal'c...
O'Neill : Oui bah, nous aussi(!).


Jaffa : Si vous voulez manger vous avez intérêt à travailler!
O'Neill : Dites-donc... J'ai l'impression que.. que vous ne respectez pas le, le code du travail ici. Il va falloir que je parle à votre contremaitre(!).


Shyla : Je sais que vous avez dû voir plein de choses dans vos voyages mais... vous n'avez sûrement jamais rien vu d'aussi magnifique!... On appelle ça une forêt!
Jackson : Ah!.. Oui... Nous aussi.


Jackson : Je vais en parler [de la libération des autres membres de SG-1 qui travaillent dans une mine de naquadah] ce soir à Pyrus au dîner.
Carter : (avec envie) Vous allez dîner?
Jackson : (se rendant compte de sa gaffe) ... Oui... C'est un festin en mon honneur.
O'Neill : Un festin?! Vous allez festoyer ce soir?
(...)
O'Neill : (alors que Jackson part, amer) Et reprenez du dessert!


Jackson : Je me suis servi du sarcophage sans effet secondaire(!). E-Et regardez! Plus de lunettes!
Carter : C'est ce que j'appellerai un effet secondaire(!).


Jackson : Maintenant tout est devenu tellement clair(!). C'est vrai j'ai l'impression que je peux faire... tout ce que je veux(!).
O'Neill : Une chose! Vous n'avez qu'une seule chose à faire! [nous sortir d'ici]


O'Neill : Alors on a fait un très bon voyage. Carter a pu récupérer du naquadah. Teal'c s'est fait de nouveaux amis, comme toujours. Daniel s'est fiancé et... je vais prendre une douche.


L'Œil de pierre [2.6]

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Heru-ur : Prosterne-toi devant ton dieu!
Olaf : Seul Thor est mon dieu et je garderais la tête haute devant lui!


Gairwyn : La voilà.
Jackson : ... ...(pointant une stèle) C'est ça, la "grotte de l'œil de pierre"?
Gairwyn : Pourquoi? Vous espériez autre chose?
Jackson : Ben euh... oui!... Peut-être une grotte?!


Jackson : (au sujet d'une énigme donnée par Thor) Je pense que c'est une sorte de garde-fou pour être sûr que celui à qui il confiera ses pouvoirs sera suffisamment évolué pour les utiliser avec discernement. Comme s'il vérifiait d'abord que ses enfants sont assez responsables avant de les laisser jouer avec des armes. Ça aurait peut-être été plus prudent de faire la même chose sur Terre...


Un message dans une bouteille [2.7]

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Carter : C'est tout à fait incroyable. Si Daniel a vu juste, cet objet a été fabriqué à l'époque où l'homme de Néanderthal était l'espèce la plus évoluée sur Terre.
O'Neill : Oh(!). Ça ne nous rajeunit pas!


Hammond : Tout s'est bien passé colonel ?
O'Neill : Oh ! Un petit pas pour l'Homme, un grand bond pour l'humanité, la routine quoi !


Carter : Lieutenant je souhaite enregistrer ceci.
Simmons : (Depuis l'autre côté de la vitre d'observation) Tout de suite mon Capitaine.
Carter : Essayez de vous détendre Graham (cf:Simmons), la journée va être longue.
Jackson : (Plus bas à Carter) Je ne crois pas que ce soit à cause de l'objet, il est toujours très nerveux lorsqu'il se trouve près de vous... Mon Capitaine vous avez une touche.
Simmons : Hum, l'enregistrement est lancé.
(Surprise de Carter et Jackson)
Carter : Merci Lieutenant.
Jackson : Oups.


O'Neill : (jovial) Bonjour les amis! Bien dormi? Moi oui!
Jackson : Euh c'est déjà le matin? (il a passé toute la nuit à travailler avec Carter)
O'Neill : Ha! Bonne déduction!


Hammond : Le NID insiste pour le voir [l'objet].
Carter : Même en sachant ce que ça a fait au colonel?
Jackson : (désabusé) Surtout depuis qu'ils savent ce que ça a fait au colonel...


Hammond : Comment pouvons nous l'écouter ?
Carter : En le laissant croitre.
Hammond : Quoi ?!
Carter : Nous allons augmenter le niveau d'oxygène plus haut que la normale. Nous allons prendre une arme et le bombarder d'énergie. Nous allons le laisser devenir ce qu'il chercher à être.
Hammond : Nous ferons donc le contraire de tout ce que vous avez dit jusqu'à présent!?


Carter : On a vraiment cru que vous nous quittiez!
O'Neill : Je ne part jamais sans dire au revoir(!).


Conseil de famille [2.8]

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Bra'tac : Tealc. Depuis combien de temps ne subviens-tu plus à ses [Drey'auc] besoins?
Teal'c : Je ne peux pas répondre à cette question.
Bra'tac : Oh je sais... Elle non plus(!).


Teal'c : [Rya'c a subi un lavage de cerveau] Le corps de Rya'c est vivant mais son esprit est mort.


O'Neill : (au reste de SG-1) Hé ben... Vous pesez un million de sheshtas! C'est une sacré réussite!


Secrets [2.9]

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O'Neill : Vous savez... je suis capable de naviguer à travers une galaxie, mais je me perds à chaque fois que je viens à Washington.
Carter : Ne vous inquiétez pas. Je connais la ville comme ma poche.
O'Neill : Oh j'en suis navré pour vous(!).


Jacob Carter : Vers vos analyses de-e l'espace par radio..télémétrie ?
O'Neill : Que voulez-vous, c'est tellement fascinant(!).
Jacob Carter : Oh mais j'en suis certain, sinon on ne vous remettrait pas une médaille.
O'Neill : Je crois qu'on la mérite. Vous voudrez bien m'excuser j'espère. Nous ne sortons que très rarement de notre base. Je vais prendre un peu l'air, dehors. (Salut tour à tour pour s'excuser de son départ précipité) Général. Capitaine. Général. Garçon. (Tourne les talons et s'en va)


O'Neill : Très bien... Si vous tenez à écrire votre article, je veux être certain qu'il n'y ait aucun oubli... C'est O'Neill (!), avec deux L. Il y a un autre colonel O'Neil avec un seul L et il n'a aucun sens de l'humour.

  • Dans le film, le nom du colonel s'écrit avec un seul L. Il a été légèrement changé dans la série pour marquer le changement de comportement entre les deux figures.


Jacob Carter : Je voudrais te voir réaliser ton rêve avant de mourir.
Carter : Mais c'est mon rêve! Il me semble que ça ne regarde que moi(!)!
Jacob Carter : Les pères ont des rêves aussi...


Hammond : C'était (!) un accident.
O'Neill : ... ...A vos ordres.


Carter : Heureusement que vous vous êtes souvenus que les capacités réflectives de leurs boucliers sont proportionnels à la somme des énergies cinétiques dirigées contre eux.
O'Neill : C'est ça, oui.


Le Fléau [2.10]

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Carter : (à O'Neill qui vient de marcher dans une substance visqueuse, sur une planète fantôme) Je suis navrée de vous le dire mais, à priori les pigeons ont dû poser des problèmes...


O'Neill : Général Hammond, je demande la permission de mettre mon poing dans la figure de cet homme(!). [Maybourne]


Maybourne : (à O'Neill qui fait semblant de lui bloquer le passage) Frappez un officier et c'est tout de suite la cour martiale(!)!
O'Neill : ... (froidement) J'ai pas l'intention de vous frapper... J'vais vous descendre.


Chef de bande : (en parlant du tatouage de Teal'c) Eh géant le tatouage! Où t'as eu ça?
Teal'c : ... à Chulak.
Chef de bande : Chulak? C'est où ça? C'est la zone!?
Teal'c : ... Veuillez vous ôter de mon chemin.
Chef de bande : Wah l'autre eh! Ecoute eh, j'm'arracherait seulement quand tu m'auras dit comment ils font leurs tatouages à Chulak.
Teal'c : ... On grave la peau avec un couteau Orac. Et on verse un peu d'or fondu dans la blessure encore ouverte.
Chef de bande : (avec une grimace) Wao. Ca fait pas mal euh quand ils font ça?
Teal'c : (le prend sous le menton et le pose sur le côté) Horriblement petit.


Teal'c : Personne ne doit savoir que je suis là.
Ally : D'accord. T'es sûr? J'veux dire : t'as l'air pire que mon vieux quand il s'est fait tirer dessus... et il y est resté!


Ally : T'auras une dette envers moi... comme dans "le Parrain"... d'accord? ... Bon! J'reviens tout de suite.
Teal'c : Ne dis à personne où je suis.
Ally : T'angoisse pas!
Teal'c : Ce n'est pas ce que je ressens.
(...)
Ally : Tu sais, t'es cuit si tu restes là.
Teal'c : Ca doit faire très mal.


Maybourne : Bonjour jeune fille. Je suis le colonel Maybourne. Je travaille pour les États-Unis d'Amérique. Ton gouvernement. Les gentils.
Ally : (lève les yeux au ciel) Tu parles!


O'Neill : C'est domage qu'il ne suffise pas d'un bon électro-choc comme dans "Urgences" [pour ranimer le symbiote de Teal'c], quand ils ont quelqu'un qui... quoi?
(...)
O'Neill : (une fois que le symbiote va mieux, comme s'il avait compris les manœuvres de Frasier, Carter et Harlow) Bon! Vous voyez que j'ai fini par comprendre [comment soigner le symbiote].


Teal'c : O'Neill.
O'Neill : Oui, c'est moi.
Teal'c : Tuez moi.
O'Neill : Euh... Non.


Hammond : Maybourne vient de m'informer qu'il a donné l'ordre que le spécimen ainsi que toutes les recherches effectuées sur lui soient transférées en zone 51.
O'Neill : (regret sincère) J'aurais dû le descendre.

La Tok'ra (1/2) [2.11]

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Cordesh : Au moindre signe d'agressivité, nous ouvrirons le feu.
O'Neill : Vous ne serez pas seuls(!)...
Cordesh : *petit rire* Je pense que nous aurions l'avantage.
O'Neill : (regarde autour de lui) ... C'est pas faux ça...
(...)
O'Neill : Vous savez dans la plus part des galaxies c'est ce qu'on appelle une impasse. On va rester longtemps comme ça ?


O'Neill : A moins que vous ne soyez la Tok'ra.
Cordesh : Et si ce n'est pas le cas ?
O'Neill : Et bien, je crois qu'on ouvrira tous le feu. Y aura des morts, du sang, des blessés, ce sera l'horreur!


Hammond : Jacob. Il vaut mieux qu'elle [Sam] soit là.
Jacob Carter : Pourquoi?! Laisse-moi te dire une chose Georges. Ma petite fille a grandi en me voyant sans arrêt parti Dieu-sait-où combattre Dieu-sait-qui, et je suis toujours revenu en bonne santé. Tu voudrais qu'elle me voit en train de perdre ma guerre... contre un adversaire si petit que je ne le voit même pas?!

  • Jacob Carter a un cancer.


Martouf : Je vous assure monsieur, qu'elle sera en sécurité avec moi.
Carter : Mon colonel. Il faut que je le fasse [aller parler seule à seul avec Martouf]. S'il vous plaît.
O'Neill : ... ...(alors qu'ils sont prisonniers par le groupe de Martouf) D'accord fiston. Mais je veux que tu la ramène avant onze heures du soir, tu as compris?

La Tok'ra (2/2) [2.12]

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O'Neill : La bonne nouvelle, c'est que maintenant on est huit...
Jackson : C'est... c'est une bonne nouvelle?
O'Neill : Oui... On sera beaucoup plus forts.
Teal'c : Est-ce que c'est encore une de vos blagues O'Neill?


Hammond : Jacob connait beaucoup de choses sur la Terre et sur nos forces armées. Ce serait comme si on faisait cadeau de ces informations aux Goaul'd.
Carter : A la Tok'ra !


 
Samantha Carter : Je ne travaille pas dans les satellites, ce n'est qu'une couverture.
Jacob Carter : Non tu crois ? J'aurais jamais deviné.


Jacob Carter : Et maintenant ?
Selmak/Sarush : Embrassez-moi.
Jacob Carter : Vous plaisantez ?

  • ils sont tous les deux mourants et ne se connaissent que depuis 5 minutes


Selmak : (Se réveille après l'implantation alors que les jaffas attaquent la base Tok'ra) Martouf ? Est-ce qu'on ne devrait pas essayer de s'échapper ?

Les Esprits [2.13]

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Hammond : Capitaine Carter. Comme vous allez prendre le commandement de SG-1 sur cette mission, mes supérieurs m'ont donné ordre de vous rappeler de faire preuve de diplomatie.
Carter : Oui mon général!
O'Neill : Tout comme je l'aurais fait(!)...


Tonane : Je suis Tonane!
Carter : (très vite) Capitaine Samantha Carter SG-1.
Tonane : C'est long comme nom.


Carter : Tout ce que je vois moi là, c'est un loup Tonane(!). C'est un très bel animal d'ailleurs, mais... mais pas un esprit.
Tonane : Vous ne pouvez jamais voir le vent Sam, mais vous savez ce que c'est. Vous pouvez l'entendre. Vous pouvez le sentir. Vous pouvez voir ses effets sur tous ces arbres. C'est la même chose avec les esprits : vous voyez un loup, mais T'akaya est là.
(...) (le loup disparaît dans un bosquet et quelques instants plus tard, en ressort SG-11)
Tonane : Ça vous fait quoi de voir le vent Sam?


Tonan : Je suis persuadé que la notre [de méthode d'extraction du trinium] est meilleure.
O'Neill : (sceptique, ironique) Vous voulez parler de la méthode : ... vos esprits demandent à la montagne de laisser le minerai tomber dans la rivière?


O'Neill : Et si.. Et si quelqu'un au Pentagone ou dans notre superbe hiérarchie commençait à s'intéresser un peu aux droits des... Aborigènes et à toutes ces bavures de l'Histoire qui-qui ont toujours démoli le moral des troupes(!)?


O'Neill : Comment savoir si vous êtes vraiment Daniel?
Jackson : Parce que... euh...
O'Neill : ... Oui. Bon ça va.


La Clé de voûte [2.14]

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Hammond : (il a à l'oreille un téléphone rouge, signe qu'il appelle la Maison Blanche) Non! Je veux lui parler sur le champ(!). ... Dites-moi, vous avez vu la couleur de ce téléphone? ... Oui!... Je vais attendre.


Reynolds : Ici, c'est le labo de bio-recherche.
O'Neill : C'est ici que vous entreposez le petit homme vert?
Reynolds : Il n'y a aucune forme de vie extra-terrestre en zone 51.
O'Neill : (se tourne vers Teal'c, ironique) En excluant certaines personnes présentes bien entendu!


Maybourne : Teal'c... Ça fait plaisir de vous revoir...
Teal'c : (s'approche lentement de lui, s'arrête à un mètre) Dans ma civilisation, je me verrais accorder le droit de vous démembrer colonel.


O'Neill : Vous voilà désormais au chômage Maybourne?
Maybourne : Je vais vous surprendre... Il se passe souvent des choses bizarres en haut-lieu.
O'Neill : Oh oui, je suis au courant.
Maybourne : De nouvelles missions nous sont confiées. Tenez c'est comme cette Porte [des étoiles en train d'être fermée]... Certains objets sont déplacés, d'autres changent. Chaque jour est différent.


La Cinquième Race [2.15]

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Jackson : Qu'est-ce que vous voyez?
Teal'c : L'obscurité... pleine de lumières colorées(!).


Teal'c : Qu'est-ce que c'est que ces gants rembourrés O'Neill?
O'Neill : C'est pour éviter qu'on se fasse mal. ... Enfin, pour être honnête avec vous c'est pour éviter que vous me fassiez mal.
Teal'c : Si notre premier souci est d'éviter de nous faire mal, pourquoi se lancer dans une bagarre ?
O'Neill : Comment vous dire, c'est, c'est la boxe. C'est un sport(!). Allez ! Allez Teal'c il faut vous remuer un petit peu. C'est comme de la danse.
Teal'c : J'ai du mal à comprendre O'Neill. On doit se préparer à danser ou à combattre ?


O'Neill : (il regarde l'écran d'ordinateur de Jackson où se trouve un cercle de symboles extra-terrestres) No ani anquitas ic qua video
Jackson : Jack, êtes-vous en train de lire ça?
O'Neill : (sincère, enervé) Je ne sais pas! Dîtes-le moi!


Hammond : Est-ce que vous comprenez ce qu'ils [deux techniciens qui leur présente des «solutions»] disent?
Jackson : Je crois qu'ils en sont encore à zéro.
Scientifique : Hé bien en réalité on en est pas encore à zéro, monsieur. Disons qu'on n'en est pas encore très loin.
(plus tard, Jackson pose devant les techniciens de la base un appareil conçu par O'Neill)
Jackson : Tenez! Vous n'avez qu'à travailler là-dessus.
Scientifique : Qu'est-ce que c'est?
Jackson : Aucune idée. J'en suis un peu plus loin que le niveau zéro mais... Travaillez dessus!


O'Neill : Nous sommes une race vraiment curieuse de nature.


Une question de temps [2.16]

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Carter : Mon général! Grâce au pouvoir de la Porte des étoiles, nous assistons à un des évènements auxquels les lois de la physiques nous empêchent normalement d'assister... [la formation d'un trou noir]
O'Neill : Nous sommes en train de regarder des hommes agoniser au ralenti, capitaine!


Cromwell : (ton très militaire) Sergent! Depuis combien de temps avez-vous perdu le contact avec cette base?
Garde : (sur le même ton) Ca va faire quatre heure mon colonel! Et c'était plutôt bizarroïde avant ça!
Cromwell : (très sec) Ca ne fait pas partie de notre terminologie! Que veut dire exactement ce mot, sergent?!


Cromwell : Le Pentagone a cru à une attaque extra-terrestre.
O'Neill : (dubitatif) Et c'est vous qu'on envoie??
(…)
O'Neill : Capitaine Carter, colonel Cromwell... (ironique) Il est là pour nous sauver tous... mai-ais j'ai quelques doutes.


Carter : Mon colonel. Pour une mystérieuse raison la déformation de notre espace-temps semble être en avance sur le champ de gravité plutôt que d'en être la suite logique. C'est probablement une réaction directe causée par la Porte des étoiles mais... je n'en suis pas sûre.
Cromwell : (se tourne vers O'Neill qui hoche pensivement la tête en regardant le sol) Inutile de me faire croire que vous avez tout compris.


Cromwell : Le temps! Mais le temps, c'est du temps!


Hammond : Je vais ordonner l'évacuation totale et immédiate de la base dans quelques instants. Il me faut deux volontaires pour rester derrière afin de donner un peu d'avance à nos hommes.
O'Neill : Je suis volontaire.
Cromwell : Moi aussi.
O'Neill : (regarde autour de lui) Euh... Il n'y a personne d'autre?


Carter : Oh vous savez : le temps qui passe est une notion très subjective...


Carter : Autrement dit Teal'c, il ne savent pas du tout ce que ça signifie. Alors ils vont simplement tout faire péter(!).


Cromwell : Comme au bon vieux temps, hein Jack?
O'Neill : Oh oui! Des trous noirs, des vortex... Comme au bon vieux temps...


Transfert [2.17]

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O'Neill : (Après Carter et le général Hammond, c'est au tour d'O'Neill de poser une question à Jackson dont la conscience a été changée de corps afin d'essayer de déterminer si oui ou non il est bien Daniel Jackson) Moui, c'est un coup de chance(!). (il vient d'indiquer le numéro de la planète où a été trouvée Cassandra et l'endroit où a été trouvée la Porte des étoiles) Bon attendez! Si vous me décriviez... la robe que portait votre sœur la semaine dernière quand nous sommes sortis.
Jackson : Je n'ai pas de sœur, Jack. Et si j'en avais une, je ne vous laisserais pas sortir avec elle.


Ma'chello : En quoi est-ce que je suis bizarre?
Fred : Eh ben on ne peut pas s'adresser, à des gens qu'on connait pas, en pleine rue, avec des questions bizarres à leur demander, des trucs(!).
Ma'chello : (avise son gobelet dans lequel Fred, mendiant, met les pièces qu'il demande aux gens) C'est pourtant ce que vous faîtes!
Fred : (gêné) Ben... oui mais...
Ma'chello : Alors c'est que vous êtes bizarre vous aussi(!)?
Fred : On m'a dit pire que ça... C'est vrai. Ch'ui bizarre moi aussi.


(les consciences de Teal'c et du colonel O'Neill ont été échangée : Teal'c se trouve donc dans le corps du colonel O'Neill et inversement.)
Teal'c : Je suis vraiment... mal à mon aise.
O'Neill : Vous croyez que je me sens comment Teal'c? J'ai un serpent dans le ventre! Vous avez un corps normal, vous êtes à l'aise(!).
Teal'c : Il est normal pour vous, O'Neill. Avoir un symbiote en moi me paraît normal.
O'Neill : Oui enfin, peu importe. C'est... désagréable!


(les consciences de Teal'c et du colonel O'Neill ont été échangée : Teal'c se trouve donc dans le corps du colonel O'Neill et inversement.)
O'Neill : (se regardant dans une glace, par-dessus d'un lavabo. A Teal'c) Vous n'avez pas l'air très bien... Plutôt je n'ai pas l'air très bien...


Fred : Les meilleures choses ont une fin Ma'chello.
Ma'chello : Non, non mon ami! Seul ce qui est nuisible doit avoir une fin. Tout ce qui est bon, comme vous par exemple, a la possibilité d'être éternel.
(…)
Ma'chello : (alors qu'il se fait embarquer par la police) Vous aviez raison Fred... « Les meilleures choses ont une fin. »


(les consciences de Teal'c et du colonel O'Neill ont été échangée : Teal'c se trouve donc dans le corps du colonel O'Neill et inversement.)
O'Neill : (se réveille d'un état de Kelno'reem) Wao!... Bien... (il avise Teal'c se préparant à se couper les cheveux) Teal'c! (il s'approche) Mais qu'est-ce que vous faîtes?
Teal'c : Si je dois continuer à vivre dans ce corps, il faut que je me rase le crane...
O'Neill : (choqué) Vous dîtes ça pour plaisanter hein?
Teal'c : Non je ne plaisante pas. (il montre les ciseaux qu'il a à la main)
O'Neill : Teal'c, vous ne raserez pas mon crane(!).
Teal'c : Il s'agit en fait de mon crane, O'Neill.
O'Neill : Teal'c. Tout ça est provisoire.
Teal'c : Et... si ça ne l'est pas?
O'Neill : (inquiet) Laissez-leur une chance de retrouver Daniel, d'accord?.. Pour l'instant je vais voir le général Hammond. Promettez-moi de ne pas toucher, à ce crane, avant mon retour hein? Hein?!


(les consciences de Teal'c et du colonel O'Neill ont été échangée : Teal'c se trouve donc dans le corps du colonel O'Neill et inversement.)
Hammond : (à O'Neill) J'ai le regret de vous le dire : Vous n'êtes pas vraiment vous-même(!).


Masiello : De quelle façon doit-on courtiser une femme Fred?
Fred : En règle générale il faut du temps, de l'énergie et des cartes de crédit.


Carter : Daniel!.. Ne mourrez pas maintenant je vous en supplie! ...
Jackson : (il est dans le corps d'un vieil homme à l'article de la mort) Sam... C'est bon de savoir que vous ne m'aimez pas que pour mon physique.


La Colère des dieux [2.18]

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Apophis : Je veux vivre.
O'Neill : (ironique) Désolé. C'est une affaire entre vous et votre dieu... Oh mais j'y pense. C'est vous votre dieu.


Apophis : Vous sacrifieriez votre monde pour sauver une malheureuse vie humaine(!)?
O'Neill : Exactement... C'est pour ça qu'on nous appelle, « les gentils ».


O'Neill : Oui mais s'il [Sokar] a été à moitié anéanti, qu'est-ce qu'il en reste maintenant? (Teal'c ne comprend pas et s'apprête à répondre) Non, non. C'est de la rhétorique, Teal'c.


Martouf : Mais c'est votre ennemi!
Frasier : C'est d'abord mon patient(!).


Le Faux Pas [2.19]

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O'Neill : (après qu'un U.A.V. [unité autonome volante] ait traversé la Porte des étoiles) Ça, ça ne se démodera jamais! J'adore cet engin!


Jackson : désabusé) Déjà vu...
Teal'c : Qu'est-ce que vous voulez dire par là?
Jackson : Hé bien je veux dire que j'ai l'impression d'être déjà venu ici(!).
Teal'c : Tout à fait correct Daniel Jackson! C'était hier.


Jackson : J'ai eu l'impression que l'alien sur la vidéo était plutôt docile. Plus curieux que dangereux à mon avis.
O'Neill : Et moi je l'ai trouvé... plutôt chauve, blanc et tout nu.
Teal'c : Dans la mesure où cette planète est la leur, est-ce que ce n'est pas plutôt nous les aliens?
Jackson : En fait le terme « alien » s'applique à des êtres dont les caractéristiques diffèrent des notres par leur origine ou leur culture, et qui peuvent être très étranges par rapport à nos propres perspectives.
O'Neill : De toute façon quand on vient de Chulak, on est toujours(!) un alien!


Jackson : (un cercle de personnes étranges s'approche de SG-1 afin de pouvoir les toucher) Ne bougez pas. Continuez de sourire...
Teal'c : C'est pas vraiment mon truc, ça.
O'Neill : Et moi non plus.


O'Neill : Teal'c. Je sais que ça va être difficile pour vous... mais, ça vous ennuierait qu'on continue à avancer-er, sans parler pendant un moment?


Carter : Eh bien j'avais la sensation qu'il devait y avoir comme une relation symbiotique entre ces êtres et les organismes [que SG-1 avait tout d'abord pris pour des plantes]. Je suis sûre que eux l'ignorent.
Jackson : Et comment vous l'avez senti alors?
Carter : (hésite avant de répondre)
O'Neill : Capitaine?
Carter : (résignée) … Sur Terre je parle à mes plantes, moi.
O'Neill et Jackson : (!!!)


L'Ennemi invisible [2.20]

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O'Neill : Alors, comment je dois t'appeler?
Charlie : Je n'ai jamais eu de nom.
O'Neill : Comment ta maman t'appelle?
Charlie : Fils!
O'Neill : C'est pas vraiment un nom.
Charlie : Non. C'est plutôt une description.


O'Neill : Alors voilà la question : Comment doit-on agir contre une menace invisible?
Carter : Il nous faut un moyen pour la détecter.
O'Neill : (légèrement) Ça pourrait nous aider en effet.


Carter : Même si nous ne pouvons pas les voir, ces Ree'tous peuvent parfaitement nous voir!
Teal'c : D'un point de vue stratégique c'est un grand désavantage. Je sais pourquoi les Goa'ulds ont voulu les éliminer.
O'Neill : Ce sont les Goa'ulds, Teal'c! (détachant les mots) Ils font leur boulot(!)!


1969 [2.21]

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Thornbird : Je suis le major Robert Thornburn. Et, vous êtes?
O'Neill : (il subit un interrogatoire et essaye de déterminer jusqu'en quelle année ils ont remonté le temps) … Eurm. (il prend un ton un peu hautain, aristocratique) Le capitaine James T. Kirk, du vaisseau Enterprise.
(…)
O'Neill : Je vais être franc avec vous Bob : je ne m'appelle pas Kirk... Mais Skywalker, Luke Skywalker.


Thornbird : Quelles sont les armes dont vous vous êtes servis?
(…)
O'Neill : Oh oui!.. Mais c'est difficile à dire...
Thornbird : Selon vous ça pourrait être une sorte de secret d'État?
O'Neill : Non non je veux dire que c'est difficile à prononcer. [Il parle des Zat'n'ktel]


O'Neill : Bob(!)... Je peux vous appeler Bob?
Thornbird : Oui, mais sachez que ça ne vous apportera rien.
O'Neill : Sauf si ce rien est précisément ce que je cherche à obtenir.


O'Neill : On aura peu de temps pour..
Carter : (le coupe) ...nous enfuir et avec un peu de chance vivre le restant de nos jours sans affecter l'Histoire.
O'Neill : Sinon?
Carter : Oh je ne crois pas qu'il y ait de « sinon » pour le moment...
Jackson : Il n'y a pas de « sinon »?
O'Neill : Il y a un « sinon ».
Jackson : Il y a un « sinon »?
Carter : Vous ne pouvez pas espérer qu'il va se passer quelque chose simplement parce que vous l'avez décrété!
O'Neill : Capitaine. Si on le décrète, il y aura un « sinon »(!)... Compris?


Mike : (à Teal'c) Dis-moi, tu serais pas un déserteur? (regard direct de Teal'c) Non non, rassure-toi... Après le concert Jenny et moi on va tailler la route. On va aller au Canada.
Teal'c : Pour quelle raison?
Mike : Bah tu sais bien!.. La guerre.
Teal'c : La guerre contre le Canada.(?)

  • Ils sont en 1969, c'est-à-dire en pleine guerre du Vietnam


Après un long sommeil [2.22]

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(O'Neill vient d'être dé-cryogénisé et on lui a annoncé la date : 2077.)
O'Neill : Général... Qu'est-il arrivé à mon équipe?
Trofski : Ça s'est mal passé.
O'Neill : Oui, ça je sais... Ils n'ont jamais pu retrouver la Porte, ou ils n'ont pas survécu au processus de décongélation,...
Trofski : Leurs corps ont été renvoyés mais ils étaient déjà morts. … Je suis désolé colonel : c'était il y a très longtemps...
O'Neill : Pour vous peut-être...


O'Neill : (à Hator) Oh! Et moi qui espérait ne plus jamais te revoir...


O'Neill : Tu sais... Tu devrais vraiment faire quelque chose pour ton haleine...
Hator : (!)... Comment contacter les Asgards pour acquérir leurs connaissances?
O'Neill : Va voir du côté de Roswell... C'est un petit bled dans le Nouveau-Mexique.

  • dans l'épisode 14 de la saison 1, c'est grâce à une hormone expirée par la bouche que Hator s'empare du SG-C.


Attention : la clé de tri par défaut « SG-1/Saison 2 » écrase la précédente clé « SG-1/Saison 1 ».

Saison 3

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Dans l'Antre des Goa'ulds [3.1]

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Hator : Je vous le demande une fois encore : lequel d'entre vous, accueillera en son sein, notre nouvel ami [goa'uld]?
O'Neill : (à part pour Carter et Jackson mais suffisamment fort pour qu'Hator entende) Ils ont le même regard...


Hator : On dirait que notre ami a choisi [O'Neill]...
O'Neill : (au goa'uld) Ça ne te dérange pas mes cheveux gris?


Teal'c : Il y a un vieux dicton qui court chez les Jaffas : on ne construit plus les choses comme autrefois...


O'Neill : Bon très bien. Balancez le feu d'artifice dès que la cavalerie passera cette Porte.
Carter : Et si elle ne vient pas?
O'Neill : Et pourquoi ne viendrait-elle pas?
Carter : (très vite, regrettant ses paroles précédentes) C'est bon! Elle viendra...


O'Neill : Notre bien-aimée Hator... est morte.
Trofski : Hun! Ce que tu dis là est impossible : Hator est une reine. Plus que ça encore : c'est une déesse!
O'Neill : Moui enfin, « ex-déesse » serait plus juste...


O'Neill : (O'Neill se fait passer pour un Goa'Uld, il va à la rencontre du colonel Makepeace, fait prisonnier par l'ennemi alors qu'il tentait de sauver SG1) Jaffa Kri ! Makepeace ! Très beau boulot ! Très joli sauvetage !!


Seth [3.2]

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  • Jacob Carter vient de poser sur la table un objet qui s'est mis à émettre un hologramme

    Jackson : Prodigieux!..
    Carter : Oui c'est... (elle passe la main au travers de l'hologramme) C'est une projection d'hologramme sans cristaux d'argent, sans le moindre film photo-polymère ni le moindre...
    Jackson : (la coupe) Non capitaine. Je voulais parler de ce qui était projeté. C'est un... un vrai arbre généalogique de la mythologie(!).


O'Neill : Bon! Alors essayons de résumer la situation : vous voulez que nous vous aidions à retrouver cette vipère qui, en admettant qu'elle soit effectivement ici, se cacherait parmi-i six milliards de personnes sur Terre?
Jacob Carter : (sans se laisser démonter) Oui.
(…)
O'Neill : Ah! Ça donne un tout nouveau sens à l'aiguille dans la botte de foin...


O'Neill : (l'air de rien, très candide) Il y a des blagues Jaffas? (sceptique) Par exemple?
Teal'c : Je vais tenter de vous en traduire une... Un garde serpent, un garde cheval et un garde Setesh se retrouvent sur une planète neutre. La tension monte vite. Les yeux du garde serpent brillent... Le bec du garde cheval scintille... et le nez du garde Setesh dégouline... Ha! Hahahahaha! (son hilarité se calme lorsqu'il s'aperçoit que les autres n'ont même pas esqussé un sourire, et il reprend son air sérieux) (Jackson reprend alors son sujet comme si rien ne s'était passé, un peu gêné pour Teal'c tout de même)


Hamner : (A Jacob Carter, général avant de rejoindre la Tok'ra) Général. Vous pouvez me dire ce qui intéresse l'Air Force ici?
O'Neill : Cette information est confidentielle!
Hamner : Suivez-moi messieurs. … Vous faîtes partie des forces spéciales?
O'Neill : Ah ça aussi c'est confidentiel!
Hamner : C'est à votre commandant que je m'adressais, colonel.
Jacob Carter : C'est exact. C'est confidentiel.
Hamner : J'ai des autorisations du plus haut niveau.
O'Neill : (faussement désolé pour lui) Arh, c'est pas encore assez haut.
Hamner : … Vous avez un subordonné plutôt insubordonné, général.
Jacob Carter : Il ne l'est pas envers moi. Il l'est seulement envers les gens comme vous. Ce qui m'évite de l'être.


Jackson : Vous ne savez pas à qui vous avez à faire...
Hamner : Et je suppose que vous le savez?!
Jackson : Et bien je crois que...
Hamner : (le coupe) Parfait! Alors allez-y! Dîtes-moi tout!
O'Neill : Je crains que ce ne soit... également confidentiel.


Hamner : Qu'est-ce qui se passe là au juste?
O'Neill : Bah je croyais que vous en saviez plus.. que nous.
Hamner : Bah apparemment non. Je viens de discuter avec le Président.
O'Neill : Des États-Unis d'Amérique?!? …
Hamner : … (!)
O'Neill : (goguenard) C'est bien! Et comment il va?
Hamner : Il semble beaucoup vous apprécier...
O'Neill : (joue le faux modeste) Oui boof... (soudain très satisfait de lui-même) Mais il y a de quoi!
Hamner : … … Il m'a demandé de vous donner le titre d'agent spécial à titre exceptionnel. Il vous met à la tête de cette opération.
O'Neill : Excellent! Mon premier ordre officiel est : donnez-moi une de ces vestes très cool. Extra-large. Double extra-large si il y a.


Seth : (il vient de capturer Carter, O'Neill et Jackson) Bienvenue. Qui êtes-vous?
O'Neill : Bah moi c'est Athos, voilà Aramis [Carter] et lui là c'est, c'est Porthos [Jackson].


Jason Levinson : J'ai appris ça par hasard par un copain de fac parce que Tomy et moi on ne se parlait plus depuis six mois.
Teal'c : (plus à Jacob, qui a aussi un fils à qui il ne parle plus depuis de nombreuses années bien que Teal'c ne le sache pas, qu'à Jason Levinson) Mais je ne comprends pas : comment peut-on ne pas parler à son fils pendant si longtemps?
Jason Levinson : Oui. C'est ça le plus bizarre. Je ne sais même plus pourquoi! Ça devait pas être si important que ça en fin de compte... Je vous laisse tranquille. (il sort de la tente)
Teal'c : Les humains n'aiment pas leurs enfants sans conditions?
Jacob Carter : Arh. Parfois ça peut.. ça peut être assez compliqué.
Teal'c : Beaucoup de choses sont compliquées, général Carter. Dans la société Jaffa, aimer ses enfants n'en est pas une.
Jacob Carter : Sur cette planète ça peut l'être parfois.


Diplomatie [3.3]

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Thor : Nous avons eu vent de ce qui s'est passé entre votre peuple et une goa'uld du nom de Hator...
O'Neill : C'est elle qui a commencé!
Thor : ...ce qui a eu pour effet d'attirer l'attention des grands maîtres goa'ulds sur vous.
O'Neill : Quoi?! Pour avoir tué Hator!?.. Ils devraient nous dire merci!


Jackson : Ils [les Asgards] ont aidé Jack à se débarrasser des intrus qui parasitaient son cerveau...
O'Neill : Rien que pour ça on ne peut que les aimer(!).


Carter : Je voulais vous souhaiter bonne chance mon colonel.
O'Neill : Merci capitaine... Euh, Major!
Carter : Nerveux?
O'Neill : Erm je dirais pas « nerveux »... paniqué!


Carter : Ça ne me plaît pas trop de les [Goa'ulds] savoir ici...
O'Neill : Major... Ca ne me plaît pas de les savoir où que ce soit! (les Goa'ulds entrent dans la pièce, ayant manifestement entendu la remarque) …(!) Oh... Oups.


Jackson : Que s'est-il passé?
O'Neill : Oh bah c'est simple! On s'est installé, on s'est insulté... et suspension d'audience!


Carter : Nous ne pouvons rien prouver. Tout ce que nous pouvons dire, c'est que Nirrti a menti.
O'Neill : Mais Chronos ne le sait pas(!)... Et Nihirti ne sait pas que nous le savons.
Jackson : Oui en fait on ne sait rien quoi(!).
O'Neill : C'est exact... Mais elle ne sait pas que nous ne savons rien.


Héritage [3.4]

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O'Neill : Alors? Qu'est-ce qui s'est passé?
Jackson : Vous croyez aux fantômes?
O'Neill : Euh... non. (catégorique finalement) Non.


Jackson : Ils ne doivent pas être vraiment morts.
O'Neill : Qui? Ceux qui sont à la morgue?


Jackson : Ça a l'air dingue, hein?
O'Neill : Hm-moui. Reconnaissez qu'il y a quelques lacunes dans votre théorie...
Jackson : Mais ce n'est qu'une... théorie, pas une preuve.
O'Neill : Et pourquoi seriez vous le seul à les voir? Pourquoi est-ce qu'il n'y en a pas dans mon armoire? Mis à part le fait que la votre est mieux rangée(!).


O'Neill : Attendez une minute : Daniel est schizophrène et la Porte des étoiles en serait la cause?
Frasier : C'est la seule explication logique que nous ayons pour l'instant.
O'Neill : C'est beaucoup plus théorique que logique si vous voulez mon avis.


O'Neill : Bon très bien... Disons pour couper court à la conversation que c'est la Porte des étoiles. Une théorie à laquelle je ne souscris pas. Dans ce cas pourquoi ne pas mettre un petit écriteau au bas de la rampe, stipulant que franchir cette Porte peut nuire gravement à la santé? Je m'en contenterais.


(O'Neill vient de perdre aux échecs)
O'Neill : Si on faisait une partie de Jin?
Jackson : Je ne joue pas tellement bien au Jin...
O'Neill : Bon tant mieux. Prenez les cartes!


Jackson : Je reconnais qu'à votre place, j'aurais du mal à me croire.


Méthodes d'apprentissage [3.5]

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O'Neill : Le major Carter attend beaucoup de cet échange. … Teal'c aussi.
Teal'c : (banal, presque sévère) Je suis près à partager le savoir goa'uld sans restriction.
O'Neill : (ironique) Teal'c intériorise toujours ses émotions.


O'Neill : Alors Merrin, j'ai cru comprendre que tu es une experte es réacteurs?
Merrin : Oui!
O'Neill : Quel âge as-tu?
Merrin : J'ai onze ans. Et vous quel âge avez-vous?
O'Neill : (!)... Alors Merrin, j'ai cru comprendre que tu es une experte es réacteurs?


O'Neill : Comment se porte notre petite tête chercheuse scientifique?
(…)
Merrin : Je ne suis pas une tête chercheuse!
Carter : Le colonel veut dire que tu es une petite fille très intelligente.
Merrin : Vous estimez que mon intelligence est exceptionnelle?
O'Neill : Hm-non! Il y a pas mal de gens intelligents ici(!). Mais aucun n'est aussi jeune que toi! (regard en coin vers Carter)
Merrin : Vous voulez dire que vous n'avez pas toujours été aussi intelligents?!


Merrin : (observe O'Neill avec une grimace) Vous n'êtes pas un scientifique, vous!?
O'Neill : Ooh non!
Merrin : Alors vous n'êtes pas aussi intelligent que le major et le docteur?!
O'Neill : (!) Et bien tout dépend ce que tu entends par... (croise le regard amusé de Carter) … Non en effet! Je le suis pas autant! Mais pendant qu'elles étaient sur les bancs de l'école, moi je faisais plein d'autres choses!. Comme-euh... m'amuser par exemple!!
Merrin : … (?!?) …
O'Neill : Tu sais ce que ça signifie, « s'ammuser »?
Merrin : (hochement de tête négatif)
O'Neill : (!) Hm-d'accord! S'amuser, c'est.. C'est ce qu'on fait quand on veut se faire plaisir... Par exemple la musique, les jeux,... Oui tout ce qu'on peut faire quand on ne vous apprends pas à devenir une tête chercheuse scientifique(!).
Merrin : (ne voit apparemment pas le moindre intérêt aux activités d'O'Neill) Je suis restée pour enseigner au Major Carter à utiliser le réacteur.
Carter : (guillerette) Moi, je prends ça comme un jeu!
O'Neill : (!) Ah bah voyons!


Kanan : Vous vous proclamez les chantres du savoir ; et lorsque vous trouvez quelque chose qui vous déplaît, vous exigez que nous changions pour vous plaire !!


Mérine : Pourquoi vous avez refusé que je vous donne la solution?
Carter : ...(!) C'est plus amusant comme ça!
Mérine : A-mu-sant??
Carter : Oui! Je préfère trouver la solution toute seule, surtout lorsqu'elle m'échappe depuis un moment... C'est bien plus satisfaisant que si tu m'avais donné la réponse.
Mérine : Mais pas aussi efficace (!).


O'Neill : Peins la fleur en rouge...
Mérine : Mais les fleurs du Major sont violettes! Vous me demandez de peindre une fleur mais vous me donnez pas les moyens de le faire avec exactitude!


Hammond : Vous m'avez donné suffisamment de raisons pour vous traduire devant la cour martiale...
O'Neill : Mon général. Aujourd'hui pendant quelques heures j'ai appris à une fillette à se comporter comme une enfant. Si vous voulez me punir pour ça... faîtes-le.


De l'autre coté du miroir [3.6]

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(SG-1 visionne une vidéo d'un interrogatoire du Docteur Samantha Carter venant d'une réalité parallèle)
Carter : Oh mon Dieu! Ça c'est très bizarre!
O'Neill : Ah oui. J'aime pas la coiffure.


O'Neill : Très bien! Essayons de clarifier les choses. Cette Carter-là pourrait venir d'une autre réalité... une réalité alternée?
Jackson : Apparemment...
O'Neill : Est-ce que quelqu'un a une réflexion pertinente là-dessus?
Teal'c : Quelle est vraiment la réalité actuelle?
O'Neill : Merci Teal'c!


(SG-1 visionne une vidéo d'un interrogatoire du Docteur Samantha Carter venant d'une réalité parallèle. Elle vient d'expliquer ce qui découle de la théorie des quantas pour l'existence d'univers parallèles)
Carter : Elle a raison...
O'Neill : En fait vous êtes d'accord avec vous-même...


Docteur Carter : Ce doit être difficile d'expliquer pourquoi au milieu de tous les univers parallèles existant le votre soit le seul à ne pas avoir été envahi par les goa'ulds.
Major Carter : Euh ce sont probablement toutes les différences qui distinguent notre univers du votre et qui ont contribué à notre survie, comme la participation de Daniel au programme de la Porte des étoiles, le changement de camp de Teal'c, le fait que je rejoigne l'armée de l'Air,...
Docteur Carter : (estomaquée) Oh! Le fait que vous soyez dans l'armée pourrait faire une si grosse différence?!?
Major Carter : Non, je dis simplement que j'ai apporté une contribution...
Docteur Carter : C'est ça et moi je n'ai rien fait!!
O'Neill : Euh mesdemoiselles, les deux Sam(!), nous sommes dans cette réalité tous ensemble!


Docteur Carter : Je ne connais aucun d'entre vous...
O'Neill : Oui, c'est exact, vous ne connaissez aucun d'entre nous... Nous non plus on ne vous connaît pas. Si ça se trouve vous pouvez être sa jumelle maléfique... mais là on commence à entrer dans les clichés, et vous savez très bien ce que je pense de ces choses. Non enfin non c'est vous(!) [se tourne vers le major Carter, voix de plus en plus faible] qui savez, ce que je pense de ces choses...


O'Neill : Eh bien je crois que la moyenne du Q.I. De la Terre pourrait grimper de quelques points avec deux Carter dans le secteur...


Docteur Carter : (dans les bras d' O'Neill) Tu me manques tellement!


O'Neill : Comment vous vous arrangez pour... accepter cette histoire [de monde parallèles]?
Major Carter : Ce serait trop long à expliquer.
O'Neill : Ah. Bon. Allez-y!
Major Carter : Euh non euh... c'était ça la réponse.
O'Neill : Ah! Oh! Ah ouais, ouais. Ouais, ah.


O'Neill : (parlant du Teal'c primat d'Apophis de l'autre réalité que Teal'c vient de tuer) L'idée, c'était de le neutraliser, point.
Teal'c : Comme je l'ai dit O'Neill, notre réalité est vraiment la seule qui compte.


Apophis : Qui êtes-vous? (à O'Neill) Mon primat t'avait tué sous mes propres yeux!
O'Neill : Je me sens nettement mieux, merci!


Apophis : Dîtes-moi ce que je veux savoir!
O'Neill : Hé! Je voudrais bien. Mais j'y comprends rien moi même! C'est lui [Jackson] qui sait!


Le chasseur de primes [3.7]

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Aris Boch : Moi je vous connais. Capitaine Samantha Carter, Docteur Daniel Jackson, Teal'c, le traître Jaffa et vous êtes le colonel Jack O'Neill.
O'Neill : Oh mais c'est super!.. On est célèbres!

  • SG-1 est prisonnier d'un bouclier d'énergie


O'Neill : Teal'c! Ce vaisseau vole à quelle vitesse?
Teal'c : A mon avis, deux fois plus vite que la vitesse de la lumière.
O'Neill : … Bah on sera.. chez nous pour dîner!
Carter : Euh mon colonel?!
O'Neill : Oui?
Carter : Si vous envisagez de voler ce vaisseau pour qu'il nous ramène sur Terre, n'oubliez pas que même si on atteint les six cent mille kilomètres par seconde, il nous faudra une bonne dizaine d'années pour rentrer...
O'Neill : … (!) … J'aurais dû laisser sortir le chien...


Aris Boch : Docteur Jackson... Est-ce que vous pourriez... soigner ma blessure(.)?
Jackson : Mais je suis archéologue(!).
Aris Boch : Je sais mais vous êtes aussi docteur!
Jackson : En archéologie!


Aris Boch : Eh bien contrairement à ce que la plupart des humains pensent, la Terre est loin d'être le centre de la galaxie!


Jackson : Donc il [le goa'uld qu'Aris veut capturer] a beaucoup de valeur?
Aris Boch : Deux fois plus que vous tous réunis!
Jackson et O'Neill : (surpris, protestent) Deux fois?!?


Jackson : Pourquoi aurait-on confiance en vous?
Aris Boch : Parce que ma parole vaut de l'or sur plus de deux mille planètes(!)...
O'Neill : Bah il y en a des milliards!!


Aris Boch : Vous voulez savoir comment je suis devenu le plus grand chasseur de primes de la galaxie?
O'Neill : (ironique) Ah oui oui! J'en crève d'envie!
Aris Boch : Je suis le plus grand parce que j'ai su rester en vie, un point c'est tout.


Jackson : Dîtes! Ça n'a pas l'air de beaucoup vous déranger d'échanger des vies humaines comme des marchandises...
Aris Boch : Oh vous les Terriens et votre moralité! Ça ne vous est jamais venu à l'esprit que les gens en dehors du système solaire puissent voir les choses sous un autre angle?


Korra : Vous êtes SG-1. De la Terre.
O'Neill : Ah c'est fou comme on est connu, hein?


Les démons [3.8]

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(SG-1 se retrouve emprisonné par des gens à qui ils avaient proposé leur aide)
O'Neill : Carter... La prochaine fois si vous voyez que... que j'éprouve le besoin d'aider quelqu'un, n'hésitez surtout pas à me filer un grand coup de pied.


O'Neill : Je crois que ces gens n'ont jamais vu quelqu'un ressusciter...


(SG-1 se retrouve une nouvelle fois arrêté parce que Daniel a voulu éviter une trépanation)
O'Neill : Major, la prochaine fois que Daniel a envie d'aider quelqu'un vous me le tuez sur le champ.


O'Neill : (au Unas) Dîtes-moi... Vous allez jouer ce petit jeu combien de temps? Le méchant Démon(!). Faut pas m'la faire! C'est un plan excellent surtout avec le prêtre dans la poche. C'est agréable de récupérer toutes les jeunes filles, non?


Règles de combat [3.9]

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Lt Hibbard : Défense de parler!
O'Neill : Pourquoi?
Lt Hibbard : (exaspéré) Parce que vous êtes morts!
O'Neill : (!!)... Morts?
Lt Hibbard : Si vous faîtes semblant de ne pas être morts, ça ne vous rapportera que plus d'ennuis(!).
O'Neill : Plus d'ennuis que d'être morts?


Rogers : Vous êtes tous morts jusqu'à 14h30.
O'Neill : Euh... GMT ou horaire d'été capitaine?


Rogers : Nous avons étudié longtemps et assidûment. Nous savons beaucoup de choses.
Carter : À propos de la Terre ?
Rogers : Oh oui(!)... (fièrement) Le coton et l'avoine sont récoltés en Amérique.
O'Neill : Et cette information pourrait vous sauver la vie un jour ?!


O'Neill : Mais il [O'Neill prétend parler au nom d'Apophis] m'a également demandé de vous dire que toute l'invasion de la Tau'ri est définitivement annulée pour cause de... euh... pluie. Hum-hum.


(O'Neill est en train de parler avec Hammond)
Rogers : Mon Seigneur!?
O'Neill : A vrai dire on l'appelle seulement... général Hammond.
(Rogers commence à s'énerver et à se débattre, puis il se met à hurler)
Rogers : Traîîîtres! (...)
Frasier : Qui est-ce colonel?
O'Neill : Il s'appelle Rogers. En dépit des apparences, ce n'est pas un des nôtres.


O'Neill : Le toubib dit que vous n'avez pas mangé...
Rogers : … C'est du poison.
O'Neill : Évidemment, on est à l'hôpital(!). C'est toujours comme ça.


O'Neill : Une fois que nous aurons pris le camp, nous deviendrons les défenseurs pour donner du temps à Carter. Est-ce que c'est clair pour tout le monde? Daniel?
Jackson : Q-Quoi?
O'Neill : (comme s'il avait répondu oui) Génial.


Le Jour sans fin [3.10]

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Jackson : J'ai passé la moitié de ma vie à étudier l'histoire de l'écriture, et comment diverses cultures ont consigné les évènements à travers les âges : du marteau et du ciseau jusqu'à la plume et l'encre. Mais je n'avais encore jamais admiré toute l'ingéniosité de ce simple élément de technologie que nous utilisons [le stylo bille].


O'Neill : Dans une semaine, je vous manquerai
Jackson : (sarcastique) Oui! Vous et votre mauvais caractère, vos insultes, votre intelligence, votre logique biscornue...


Jackon : Teal'c t'as tué(?).
Shaare : Oui.
Jackson : Mais tu es là(?).
Shaare : Oui.


Le Passé oublié [3.11]

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Horner : E-euh je peux savoir d'où vous venez? E-et comment vous êtes entrés ici?!
O'Neill : La Porte était ouverte...


Teal'c : Peut-être que Linéa a expérimenté d'autres méthodes de destruction de mondes...
O'Neill : (amer) La diversité est en effet ce qui pimente la vie!..


O'Neill : Écoutez... Je ne veux pas dire que la première femme dont vous tombez amoureux depuis la mort de Sha're est une sorte de monstre... mais si jamais elle se rappelle qui elle est, (froidement) vous serez le premier à mourir.


Les flammes de l'enfer 1/2 [3.12]

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Jackson : Ça fait une sacrée descente, dites-donc!
Martouf : Les nacelles sont propulsées à une vitesse extrême...
Jackson : Ces propos sont-ils censés me rassurer?


Na'onak : Qui êtes-vous(!)?
O'Neill : Gens de peu de foi ne faîtes pas attention à nous...


Bynarr : Jetez-les dans les oubliettes!!
O'Neill : Oh j'adore... les oubliettes.


O'Neill : C'est coquet cet endroit, j'aime bien.

{{Réf Série|série=Stargate SG-1 |saison=saison 3 |épisode=épisode 12 |auteur=Richard Dean Anderson |date=1999 |acteur=Richard Dean Anderson

Jacob Carter : Il [Bynarr] est les yeux et les oreilles de So'kar.
O'Neill : Vous voulez dire l'œil et les oreilles...

  • Binar est borgne


Les flammes de l'enfer 2/2 [3.13]

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Teal'c : (souriant) On y est arrivés.
O'Neill : (levant la main) Alors un thé glacé et un esquimau au citron. Ou juste de l'eau.


Invasion [3.14]

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O'Neill : (agacé) Comment une aiguille dans mes fesses peut-elle sortir l'eau que j'ai dans mes oreilles?


 
Carter : (hors d'elle) Maybourne! Décidément vous êtes idiots tous les jours de la semaine vous pourriez vous accorder de temps à autre quelques jours de vacances!


 
Davis : Vous êtes sûr que c'est une bonne idée mon colonel?
O'Neill : Bah en tout cas c'est une idée...


Simulation [3.15]

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Carter : Pour quelle raison êtes-vous si confiant?
O'Neill : Parce que Lya est quelqu'un d'honnête et de perspicace, et qui votera dans notre sens. J'ajoute qu'elle nous aime.
Jackson : Lya aime tout le monde... à la façon des Nox.


 
Travell : Notre technologie est en toute occasion supérieure à la leur... et à la votre!
O'Neill : Mon Dieu! Pauvre de nous...


 
Travel : Si vous continuez à faire de telles tentatives quelles qu'elles soient, je vous disqualifierais et vous remplacerais au tribunat. Ska'ra sera alors représenté par quelqu'un d'autre. Est-ce bien compris?
O'Neill : (boudeur) Oui mais on n'est pas d'accord !


Un Étrange Compagnon [3.16]

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Jackson : (la bouche pleine) Ch'est la meilleure tarte que ch'aie chamais manchée!
Carter : Qu'est-ce qu'elle a de différent?
O'Neill : C'est une simple tarte...
Teal'c : Oui, mais elle est pourtant meilleure!


 
Hammond : Peut-on déterminer l'effet de ces implants?
O'Neill : Une pénurie de dessert dans la base à court terme, je dirais.


 
Urgo : Je dois vous dire que vous êtes bien mieux vus de l'extérieur que vus de l'intérieur. Vu de l'intérieur c'est d'un compliquééé !..


 
Carter vient d'expliquer ce qu'était Urgo, qui peut lire les pensée affleurantes de SG-1, à O'Neill qui n'a visiblement pas compris
Urgo : Haha le colonel ne comprend rien! Haha! (à O'Neill) Au fait une petite question : c'est quoi un bouffon?


 
Jackson : On nous a bagué en quelque sorte... comme on bague des animaux.
Teal'c : (à Urgo) Nous ne sommes pas des animaux.
Urgo : (à Teal'c) Je me le demande parfois. Surtout face à vous!


 
Urgo : C'est la mort... ou moi... La mort ou Urgo, vous devez décider. Moi ou la mort.
O'Neill et Carter : … (!) …
Urgo : … Eh bien?!
O'Neill : On réfléchit!


 
Urgo : Roh dites j'ai une idée! On se fait une partie de cache-cache. Vous vous cachez et moi je vous cherche! Hahaha. Oh je ne vais pas tricher. C'est entendu je suis en vous mais je peux l'oublier! Une, deux,...


 
Carter : Le champ magnétique que génère les puces prouve qu'elles fonctionnent sur des principes électroniques de base.
Urgo : (moqueur) Théorie brillante quoique, totalement fausse!


 
O'Neill : Je n'ai pas chanté! Je le saurais si j'avais chanté. De toute façon je ne connais même pas les paroles de ce(!)
Fraiser met un enregistrement où l'on entend O'Neill chanter
O'Neill : … Admettons!... Si vous appelez ça chanter.


 
Urgo : Pendant que je me tais je tiens à souligner qu'en parlant de toi [Togar] comme d'un pervers, je pensais que tu l'étais dans le meilleur sens du mot(!).


 
O'Neill : Vous avez le choix, à vous de décider... La mort ou lui [Togar]?
Urgo : J-je v-veux pas...
O'Neill : Lui ou la mort...
Urgo : Oh Seigneur!...
O'Neill : Eh bien?!
Urgo : Je réfléchis!


La Pluie de feu [3.17]

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O'Neill : Alors, Leira? Quand est-ce que ça commence?
Leira : Bientôt! Un peu de patience...
O'Neill : Je suis patient... Je suis extrêmement patient! C'est pour quand?
Leira : Il est toujours comme ça?
Teal'c : Très fréquemment.
O'Neill : Merci Teal'c!


Trahisons [3.18]

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Jackson : Les Tollas ont refusé de nous faire profiter de notre technologie...
O'Neill : Mais on a eu droit à un panier de fruits !


 
O'Neill : Je veux préciser une chose... J'ai agis seul. Carter et Daniel ont protesté. Et Teal'c euh... le fait est que lui n'a rien dit mais j'ai senti qu'il désapprouvait mon geste, vu la façon dont il a haussé son sourcil en me voyant faire. (il essaye d'imiter Teal'c haussant le sourcil)


 
Carter : Si je peux être franche avec vous, cette attitude ne vous ressemble pas.
O'Neill : Ah bon!? Vous croyez?! Qu'est-ce qui me ressemble? Cirer les bottes d'un gradé incompétent?... Je crois que c'est plutôt votre affaire!


 
O'Neill : (à la délégation Tolla qu'il croise) Tiens donc! Nos chers alliés... Vous venez reprendre votre engin si supérieurement conçu?.. Quand on a des choses à ce point supérieures on met des antivols dessus!


 
O'Neill : Je peux vous offrir une bière... mais surtout pas mes confidences.
Jackson : Ah! Bah c'est dommage parce que j'aime pas trop la bière...


 
O'Neill : « Nous », c'est...?
Maybourne : … mon organisation.
O'Neill : Le N.I.D.?
Maybourne : Hm-une de ses branches.
O'Neill : Aha! Une qui a pourri, qui s'est détachée?


 
Hammond : Et cette retraite, ça se passe bien?
O'Neill : Bah j'ai du temps... Chaque jour c'est repos, repos total et, c'est très reposant... Et je m'ennuie comme un rat mort!


 
O'Neill : … D'autant que j'étais sincèrement touché que vous soyez venus vous assurer que je tenais le choc, aussi spontanément.
Jackson : Er, c'est-à-dire que j'étais envoyé...
O'Neill : Comment ça?
Jackson : Euh... On a tiré à la courte-paille... (grimace)... et j'ai perdu.


Un Nouveau Monde [3.19]

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Rygar : Parlons de votre ami qui se cache dans la forêt...
O'Neill : Je n'ai pas d'ami... dans la forêt, ou ailleurs...


Teal'c : Quel sort votre peuple réserve-t-il à mes amis?
Nyan : Malheureusement, ils sont la preuve que les croyances de mon peuple sont fausses, et que les croyances de nos ennemis sont vraies. Ce sont des choses qu'un militaire digère difficilement.


Nyan : Teal'c... Je suis un scientifique. Si je découvre des preuves que mes théories sont fausses, ça m'intéresse autant que si elles se révélaient exactes. Le progrès scientifique quelle que soit sa direction est toujours un progrès.


Instinct maternel [3.20]

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Carter : Pourquoi Apophis a attaqué Chulak? C'est absurde! Enfin, tous les Jaffas ne sont pas en rébellion contre les Goa'ulds...
Bra'tac : Non...
Jackson : … Mais c'est plus facile de tous les supprimer d'un coup plutôt que de faire la chasse aux traîtres.


Moine : Il y a un moment que je me trouve ici.
O'Neill : Non, non. Quand on est entré vous n'étiez pas là.
Moine : "Là" est une notion relative...
O'Neill : (dubitatif, sarcastique) Ah, vraiment?


Moine : Ne mettez pas d'obstacle entre vous et l'endroit où vous êtes.
O'Neill et Jackson : … (!!) …
O'Neill : (à Jackson) Bah me regardez pas!...
Bra'tac : Je pense qu'il souhaite que nous enlevions nos bottes...


Jackson : Nous sommes à la recherche d'un enfant... Un bébé.
Moine : Les étoiles filantes. La lumière d'un éclair. Il suffit d'un battement de cil pour passer à coté.
O'Neill : Un éclair vous dîtes...
Moine : Est-ce qu'un flocon de neige peut exister dans un tourbillon de feu?
O'Neill : (franchement agacé) Pardon?!
Jackson : Jack!...
O'Neill : Non, non, a-attendez! Je suis pas complètement hermétique aux métaphores mais, alors avec lui je décrypte rien!


Moine : Le soleil est chaud. Le vent souffle. L'herbe est verte en haut des collines. Rien de mauvais ne s'y cache.
O'Neill : (sarcastique) Oh ça j'en suis pas certain...
Jackson : Jack! C'est de la philosophie zen. Apparemment la religion que ce moine professe a du être à la base du bouddhisme sur Terre...
O'Neill : (sarcastique) Tiens c'est passionnant! Rappelez-moi d'en toucher un mot au dalaï-lama quand on sera revenus...


Jackson : Il faut que vous me répondiez. Y a-t-il un enfant ici?
Moine : Il y a un enfant en chacun de nous.


Moine : Les mots ne peuvent exprimer les choses. Les paroles ne reflètent pas la pensée. Encombré de mots, l'esprit se brouille.


Jackson : Vous ne pouvez pas me convaincre que j'allumerai cette bougie avec mon esprit. Je suis un homme rationnel et je trouve qu'utiliser un briquet, c'est bien plus pratique.


Le Crâne de cristal [3.21]

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Teal'c : Je ne sais pas qui a construit ça, mais c'était forcément une race supérieure.
Jackson : On mettrait n'importe quelle pyramide terrienne à l'intérieure il resterait encore de la place...
O'Neill : Ça doit être difficile à chauffer un truc comme ça!


Hammond : Et si ce crâne s'amuse à vous envoyer là où est le docteur Jackson ?
Teal'c : C'est que j'aurais réussi à le localiser...


Teal'c : On pense que ça doit être un moyen de téléportation.
Rothman : Vous êtes sérieux?!
Jackson : (personne ne le voit ni ne l'entend) C'est bien Robert! Soit sceptique!
Hammond : Hé bien on espérait que votre expertise archéologique nous apprendrait où il aurait bien pu être expédié...
Rothman : Ce n'est qu'un crâne !!
Jackson : Non pas aussi sceptique...


Rothman : (il doit rendre un rapport sur le crâne dans 12 heures) Il a parlé de téléportation... Qu'est-ce que vous en pensez?
Sgt Siler : Que vous allez vous faire virer.


Rothman : Hé! J'aimerais que ce soit un appareil de téléportation comme ça je pourrais l'utiliser pour retrouver Daniel! C'est aussi mon ami vous savez. Mais il faut pas se leurer... Je crois que ce que nous avons ici c'est... un presse-papier.


Jackson : Non, non, nonnonnon! Je suis réel! Je suis vrai! C'est pas une hallucination!
Balard : Oh les hallucinations ont toujours dit ça...


Balard : I-il [Daniel Jackson] se trouve juste à côté de moi.
O'Neill : (ne voit personne, ironique) Oh bah alors il a beaucoup maigri...


Némesis [3.22]

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O'Neill : (il observe Teal'c, en combinaison spatiale, dans un sas) Dîtes quelque chose.
Teal'c : Un petit pas pour un Jaffa...


Teal'c : Thor avait raison : on va tous mourir ici.
O'Neill : Non, gardez espoir. On a vécu des situations plus graves...
Carter : Non, mon colonel.
O'Neill : Ah bon, à ce point?!?


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Saison 4

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Victoires illusoires [4.1]

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Teal'c : Les Réplicateurs sont protégés contre la technologie Goa'uld. Mais étrangement ils sont vulnérables aux armes à projectiles...
Davis : … (???) …
O'Neill : (blasé) … Aux flingues...


Thor : Vous nous avez montré qu'il fallait une approche... moins sophistiquée. Nous ne pouvons penser de la sorte.
Jackson : Autrement dit v-vous recherchez u-une personne plus bête que vous pour vous aider?
O'Neill : Vous avez frappé à la bonne porte!
Hammond : Thor, je comprends votre situation, mais nous avons besoin de SG-1 ici.
Carter : E-Et si j'y allait seule?
O'Neill : J'ai un doute : vous n'êtes peut-être pas assez bête!?
Carter : J'essayerai d'être à la hauteur.


Carter : Qu'est-ce qui vous fait croire que je peux vous aider à vaincre une chose faite de kirons alors que j'ignore ce qu'est un kiron(!) ?
Thor : Nous n'aurions jamais inventé une arme propulsant des projectiles, faits d'un alliage de feu et de carbone, par combustion de nitrate de potassium, de sulfure et de charbon...


Thor : Major Carter. Vous nous suggérez de détruire le vaisseau le plus performant qu'on ait jamais créé? Avant même qu'il soit achevé?
Carter : C'est tout juste ça...


Carter : Le « O'Neill » est votre vaisseau le plus performant. Les Réplicateurs voudront à tout prix l'avoir, convaincus que c'est une prise superbe. Ils ne s'attendront pas à ce que vous le torpilliez. C'est une tactique que vous n'avez jamais employé!
Thor : C'est une tactique irrationnelle.
Carter : Et c'est son intérêt!! C'est peut-être fou mais mieux que de rester là à attendre qu'ils envahissent votre monde! Pardonnez-moi, c'est peut-être une idée stupide mais, ne suis-je pas là pour ça?


L'autre côté [4.2]

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Jackson : Jack!
O'Neill : Oui, Daniel?
Jackson : On devrait pas demander pourquoi ils veulent de l'eau lourde?
O'Neill : Non. Ça je crois pas, non!


Jackson : Tout leur monde est en flamme et nous on leur offre de l'essence!.. A quoi ça peut leur servir?!
Teal'c : Nous leur avons offert de l'eau lourde...
O'Neill : (comme si ça devait mettre fin à la conversation) Exactement!
Jackson : J'ai employé une métaphore(!).
O'Neill : Oui bah ça suffit! Il sait pas ce que c'est une métaphore!


Expérimentation hasardeuse [4.3]

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Jackson : Anise(?)...
Anise : Ça signifie « noble force ».
Jackson : Je suis Daniel, ça signifie... « Dieu est mon juge ».
O'Neill : Je suis Jack! Ça signifie... mpfff... Y'a quoi dans la boîte?


O'Neill : (il vient de mettre K.O. Teal'c qui se retrouve à l'infirmerie) Teal'c. Je suis vraiment désolé hein.
Teal'c : … Non vous ne l'êtes pas.
O'Neill : Il a raison : pas vraiment.


Anise : Votre force est cinq fois supérieure à celle d'un humain normal.
O'Neill : Oh! Il n'y a aucune différence alors!


Carter : Vous vous rendez compte que nous désobéissons aux ordres d'un supérieur?
Jackson : … Oui mais c'est pas la première fois que ça nous arrive...
Carter : Les autres fois, c'était pour sauver la Terre!
O'Neill : La Terre, les steaks... Il y a une différence?


Hammond : Pouvez-vous me dire pourquoi plusieurs témoins vous ont vu dans un restaurant en ville hier soir?...
Jackson : (parvient à s'imposer malgré les interventions simultanées de Carter et O'Neill, qui finissent par lui laisser la parole) Monsieur, je peux vous expliquer!... … Euh en fait non.


Jackson : Nous n'avons aucun moyen de les aider?
Teal'c : Non.
(…)
Jackson : Dix minutes après que le C4 se déclenchera, toute la montagne volera en éclats.
Teal'c : J'en suis conscient.
Jackson : … Donc notre décision de rester repose sur une argumentation solide et réfléchie...
Teal'c : En effet.


Destin [4.4]

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O'Neill : (il s'attendait à voir Bra'tac et il se retrouve face à une femme) Bra'tac... vous avez... fait quelque chose à vos cheveux?


Sho'nauc : Vous croyez que je ne dis pas la vérité?
Jackson : Non ce n'est pas qu'on ne veut pas vous croire, mais...
Teal'c : (le coupe, sèchement) On ne te crois pas! Ce que tu dis ne peut être prouvé.
O'Neill : (essaye de corriger le manque de tact de Teal'c) Je crois que ce que Teal'c essaye dire, c'est que...
Teal'c : (le coupe, sèchement à nouveau) J'ai dit exactement ce que j'avais à dire O'Neill.


Jackson : Hégérie, la nymphe romaine des sources... e-et de l'accouchement(!).
O'Neill : Ce sont deux choses qui n'ont rien à voir!
Jackson : Aucune importance.


Diviser pour conquérir [4.5]

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Fraiser : Bien! S'ils [Carter et O'Neill] ne sont pas des Zatarcs, ils ne sont pas une menace pour le président?!
O'Neill : Oh ça tombe bien j'ai des questions à lui poser...


L'histoire sans fin [4.6]

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O'Neill : Je me souviens très bien d'avoir été assis là en écoutant Carter pérorer et parler d'activité solaire et d'un truc... coronal(!) ou quelque chose.
Carter : D'émission de masse coronale! Je m'apprêtait à en parler(!?).
O'Neill : Ah vous voyez! Comment je le saurais?
Carter : Peut-être que vous avez lu mon rapport!?
Jackson : (avec un air de profond scepticisme) Peut-être qu'il a lu votre rapport???


Carter : Nous ne sommes pas allés sur P4X-639...
O'Neill : Si nous y sommes allés. (pointe Jackson) Non ce n'est pas vrai : c'est ce que vous alliez dire.
Jackson : Bien sûr que c'est ce que j'allais dire!
O'Neill : (à lui-même) D'accord, mauvais exemple...


Hammond : Vous vous rendez compte que c'est un peu difficile à accepter pour moi?!
O'Neill : Hé, s'il n'y avait que moi, je serais d'accord(!)... Mais vous oubliez Teal'c. C'est vrai, est-ce qu'il a une tête d'illuminé(!)? … … Mauvais exemple...


O'Neill : (à Malikai) Vous connaissez des archéologues qui ont une arme!?
Jackson : (lève la main) Euh... Oui, moi.
O'Neill : Mauvais exemple...


Hammond : (voyant O'Neill et Teal'c jouer au golf à travers la Porte des étoiles) Colonel O'Neill! A quoi est-ce que vous jouez!?!
O'Neill : (se retourne vers Hammond et se met à hurler) On ne m'interrompt pas en plein milieu de mon swing!!!


Eaux troubles [4.7]

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Carter : Comment connaissez-vous le SG-C?
Markov : J'ai lu quantité de dossiers sur vous tous.
O'Neill : La question était : comment?
Markov : J'ai étudié votre langue dès l'âge de six ans. Ça a été facile.
O'Neill : (à Carter) Ça doit être de l'humour russe...


O'Neill : (à propos du saut en parachute) C'est facile. Vous sautez et vous tirez la manette!
Teal'c : Je ne crois pas que ce soit très judicieux...
O'Neill : J'ai dit que c'était facile, pas judicieux.


Primitifs [4.8]

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O'Neill : Rothman! (il le réveille)
Rothman : Colonel?!
O'Neill : Vous ne remarquez rien de bizarre, chez Hawkins?
Rothman : Bizarre?
O'Neill : Différent...
Rothman : Différent?
O'Neill : Étrange...
Rothman : Étrange?
O'Neill : Rothman!!


Rothman : Vous me donnez un fossile d'un million d'années, là je vous dirais ce qu'il a mangé au petit déjeuner, mais je... je sais pas étudier les vivants. Ils sont trop récents.


O'Neill : J'en suis sûr, ça ne peut être que Hawkins...
Teal'c : Faîtes-moi confiance O'Neill.
O'Neill : Et si je ne suis pas O'Neill?
Teal'c : Alors ce n'est pas à vous que je parlais.


Terre brûlée [4.9]

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Carter : Tenez. Regardez ceci.
O'Neill : (regarde dans le microscope puis se redresse) Ah ouais... Des petites, choses oranges floconneuses...
Carter : Ce sont des microbes, mon colonel(!)...


Sous la glace [4.10]

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Jackson : C'est comme l'envers du décor : ça ne marche que si on se creuse pas trop la tête, que si on ne se pose pas trop de questions. Mais c'est ce qu'il faut qu'on fasse. Posons-nous des questions sur chaque chose. Essayons de tout envisager.


Point de non-retour [4.11]

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Jackson : (ils sont dans une fourgonnette de surveillance avec des écrans partout) Je n'ai encore jamais fait de surveillance comme ça. On n'est pas censé avoir des beignets ou j'sais pas quoi?


Martin : Il s'agit d'un projet top-secret du gouvernement permettant d'effectuer des voyages instantanés dans d'autres systèmes solaires au moyen d'un appareil connu sous le nom de « Porte des étoiles ».
O'Neill : Ça ferait un scénario intéressant pour une série télé, non?


O'Neill : Si vous l'aviez [un cure-dent] mis debout à l'intérieur de la porte, comment êtes-vous sorti?
Martin : (sur le ton de l'évidence absolue) Par la fenêtre!!! Je ne suis pas stupide au point de sortir par la porte!!


Perdus dans l'espace [4.12]

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Vidrine : Est-ce que l'avion est au point?
Teal'c : (très calme, banal) L'avion a réalisé les performances qu'on attendait.
O'Neill : Wouhou!...
Hammond et Vidrine : ..(!!)...
O'Neill : Pardon mon général. C'était plus fort que moi. J'ai été gagné par l'enthousiasme de Teal'c...


La malédiction [4.13]

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Stephen : La dernière fois que je vous ai vu, vous donniez une conférence devant une salle vide...
Jackson : Oui enfin... elle était pleine quand j'ai commencé.


Le venin du serpent [4.14]

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Réaction en chaîne [4.15]

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O'Neill : (à Maybourne, ils entrent dans un appartement vide) Ah c'est bien la déco chez vous!


O'Neill : (à Maybourne qui vient d'ouvrir son frigo ne contenant qu'un pack de bière et un tube de moutarde) Ah vous suivez ce fameux régime à base de bière et de moutarde... Ça vous réussit?


Mme Kinsey : Il [le chien] a l'air de vous apprécier monsieur Starsky!
O'Neill : 'Parce qu'on a le même coiffeur.
Kinsey : Chérie, Starsky et Hutch [noms sous lesquels O'Neill et Maybourne lui ont été présentés] sont les héros d'une série télévisée...
Mme Kinsey : Oh! Vous êtes des acteurs alors?!


Kinsey : J'ai lu les rapports de vos missions menées à partir de cette montagne! Vous mettez quotidiennement en péril l'existence de cette planète!
O'Neill : Je fais mon boulot. Celui pour lequel on m'a engagé. Et je doute fort que vos électeurs puissent en dire autant à votre sujet!
Kinsey : Oh je vous en prie! Soyez réaliste... La moitié des citoyens Américains ne votent jamais(!). Et la moitié qui vote, est trop stupide(!) pour savoir ce qu'elle fait.


2010 [4.16]

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Pouvoir absolu [4.17]

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Jackson : Un an. Pas davantage.
Major Davis : C'est impossible! Cela couterait le double!
Jackson : Donc ça n'est pas impossible, n'est-ce pas?


Shifu : [J'ai appris à Daniel] Que la véritable nature de l'Homme est déterminée au cours d'un combat entre la conscience de son esprit et son subconscient.


La lumière [4.18]

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Prodige [4.19]

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O'Neill : Ecoutez Professeur... Ici, c'est une autre planète.
Dr Hamilton : Pas une planète, c'est une lune! Nous tournons autour de ce géant gazeux.
O'Neill : (ironique) Si c'est une lune alors il n'y a plus rien à dire. Allez-y faîtes ce que vous voulez! Il peut plus rien se passer.


Entité [4.20]

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Répliques [4.21]

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Double d'O'Neill : [Je parle] A la Terre, et à l'autre équipe SG-1.
O'Neill : (à travers le MALP) Hé! L'autre équipe SG-1 c'est vous(!).


O'Neill : Tu m'avais donné ta parole!
Double d'O'Neill : Oh ça serait pas la première fois que tu te serais menti à toi-même!


Exode [4.22]

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O'Neill : Un pépin?
Carter : Noon! C'est juste que c'est la première fois que je fais exploser une étoile...
O'Neill : On dit que la première fois c'est toujours la plus dure...
Carter : ...(!?) …
O'Neill : Oui enfin... C'est ce qu'on dit.


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Saison 5

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Stargate SG-1/Saison 5

Saison 6

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Prisonnière des glaces [6.4]

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O'Neill : Ah! Zut!
Teal'c : Un problème O'Neill?
O'Neill : J'ai oublié d'enregistrer Les Simpson ! Bah quoi, c'est important pour moi.
Teal'c : ???


Les rescapés [6.18]

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Carter : ... Et la procédure est très simple. On va tout bêtement enfoncer votre câble dans ma matrice.
Corso : ... Avec grand plaisir !
Carter : (soupir) Je devrais réfléchir avant de parler !


Saison 7

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Retour aux sources (1/2) [7.1]

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O'neill : Ce n'est pas un petit virus de rien du tout qui les a décimés. C'était la peste. On aurait peut-être dû se protéger.
Carter : À chaque fois qu'on franchit la porte, on risque d'être contaminé par un germe inconnu. On ne porte pas de combinaisons étanches pour autant.
O'neill : Mais cette ville s'appelle quand même la "Cité des âmes en paix", non ?
Jonas : Non, en fait, ça s'appelle la "Cité des âmes perdues", mon colonel.
O'neill : Ça m'étonnerait que ce soit dans le sens géographique du terme.


Autochtone : [en pointant Teal'c du doigt] Lui, c'est un Jaffa ?
O'neill : Non, mais il en joue un dans une série télé.


[Discussion entre O'neill et le chef de la tribu qui a accueilli Daniel après qu'il soit revenu de son ascension]
Shamda : Les vrais amis sont ceux que tu connais mieux que toi-même.
O'neill : Mais les apparences sont souvent trompeuses.
Shamda : L'ennemi parle bien mais l'ami parle vrai.
O'neill : Faire confiance à tous est une erreur. Mais se méfier de tous aussi.
Shamda : Qui prétend avoir beaucoup d'amis n'en a aucun.
O'neill : Oui mais tant va la cruche à l'eau...
Shamda : Cette parabole m'est inconnue. Quelle morale enseigne-t-elle ?
O'neill : Elle dit qu'il faut économiser l'eau... Et savoir s'arrêter. Je ne sais pas si c'est la mieux adaptée à la situation mais je n'en ai pas d'autres.


[Jackson a été retrouvé vivant sur une autre planète mais a perdu la mémoire]
Teal'c : Vous ne nous reconnaissez pas, Daniel Jackson ?
Jackson : Non, pas du tout.
[Une pause gênante suit. Jackson s'écarte de l'équipe]
O'neill  : Même pas moi ?


[Jack raconte son passé à Daniel]
O'neill : La dernière fois que je vous ai vu, nous avons combattu ensemble Anubis.
Jackson : Anubis ?
O'neill  : Oui, c'est ça. Notre ennemi. Il est pas très très sympathique comme garçon. Il a un manteau noir, un regard noir, enfin il est très noir.


Hammond : Vous ne vous souvenez vraiment pas de moi ?
Jackson : Non, je ne sais pas qui vous êtes.
O'neill  : Ni moi d'ailleurs.
O'neill  : Venez. C'est par là. [L'équipe quitte la salle de la Porte] Vous avez aussi oublié que vous me deviez de l'argent ?


[Frasier vient juste de rendre ses lunettes à Daniel]
O'neill : Vous me reconnaissez maintenant ?
Jackson : Vous avez toujours été coiffé comme ça ?
O'neill : Oui, pourquoi ? [Regarde Daniel bizarrement].
Jackson : Non, non, pour rien.


Jackson : Excusez-moi, je suis en retard. J'avais oublié l'heure de la réunion.
[Long silence]
Jackson : C'était une blague en rapport avec mon amnésie.
Hammond : Dr Jackson, ce briefing est classé top secret.
Jackson : C'est ce que Jonas m'a dit mais... avant je faisais aussi partie de l'équipe et... je ne trouve pas de raison valable à vous donner. Sauf que je sens que ma place est ici.
Hammond : Ça, c'est une raison suffisante.
Jackson : Et puis à qui je pourrais aller raconter ce que vous direz. Je ne me souviens plus de qui que ce soit.
O'neill : Très drôle.
Jackson : C'est gentil, Jim.


O'neill : Que tous ceux qui pensent que cette idée est parfaitement ridicule lèvent la main bien haut ! Allez ne vous gênez pas, bien haut ! [Tous les auditeurs lèvent petit à petit la main] Levez la main !
[Dépitée, Carter lève la main aussi.]
Hammond : Vous pouvez garder les mains levés parce que la question suivante est : qui va accomplir cette mission ?


[Dans un F-302]
O'neill : J'avais demandé Leader Rouge comme nom de code.

  • Référence à Star Wars


[Daniel et Jonas fouillent l'ordinateur d'un vaisseau mère Goa'uld alors que des Jaffas tentent de les capturer]
Jonas : Pourquoi vous ne lancez pas une recherche avec des mots-clés ?
Jackson : Point faible, ça ira ?
Jonas : Vous faites des progrès Dr Jackson. Votre mémoire revient de même que votre légendaire sens de l'humour.


Retour aux sources (2/2) [7.2]

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O'neill : Vous connaissez l'histoire du loup qui avait juré de ne pas attaquer les moutons ? Elle parle des joies de l'entente cordiale, mais aussi de... gigôts.


Jonas : Où sont les hangars ?
Jackson : Euh... Par là !
Jonas : Vous êtes sûr ?
Jackson : Non !
Jonas : [En reproche] Ah, c'est bien, ça...


Commandant Hale  : Huit hommes, c'est tout ? Vous appelez ça des renforts, vous ?
O'neill : Mais ce sont les huit meilleurs.


Jackson : Qu'est ce que j'étais bien sur la planète où vous m'avez retrouvé. La vie était paisible, les gens gentils.
Jonas : Vous n'aviez qu'à y rester.
Jackson : J'avais oublié comment ça se passait ici.
Jonas : C'est la grande vie. Si jamais on s'en sort...
Jackson : Je vous laisse mon ancien bureau...
Jonas : Non, je voulais parler de la place dans l'équipe.


O'neill : Vous êtes complètement idiot. Vous le savez ça ?
Commandant Hale : En échange de cet artéfact, Anubis a accepté de ne pas envahir le territoire Kelownien.
O'neill : Ce qui confirme exactement ce que je viens de dire.


Herak : Quant à vous tous, vous serez publiquement exécutés. Votre mort dissuadera ceux qui voudraient défier leur dieu.
O'neill : Est-ce que ça doit être obligatoirement public ?
[Herak pointe sa lance Goa'uld sous le nez d'O'neill]
Herak : Préférez-vous mourir tout de suite ?
O'neill : [En déviant l'arme] En public, j'adore !


[Jonas quitte la Terre pour aller diriger Kelowna. On lui fait des adieux.]
O'neill : Vous avez toutes vos petites affaires ? Votre brosse à dents ? Vos pantoufles ? Votre sèche-cheveux ?


O'neill : On mange à 19h. Tâchez de pas être en retard, Teal'c devient grognon s'il ne dîne pas à heure fixe.
Jackson : Jack ? Avant d'accepter de revenir, de réintégrer SG-1 et d'explorer la galaxie, tout en sauvant le monde au péril de nos vies, j'ai oublié de vous demander un truc... On est payés pour ça ?
O'neill : [Il sourit] Bienvenue à bord.


L'Apprenti sorcier [7.3]

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[Le colonel O'neill a été rajeunit]
Clone de O'neill : Daniel ! Dites leur qui je suis, s'il vous plaît! Merci!
Jackson : Ça serait avec joie si je le savais.
Hammond : D'après ce qu'il dit, ce jeune homme serait le colonel O'neill.
Jackson : Est-ce-que c'est une blague ? [Sam fait non de la tête] Alors qui est-ce ?
Clone de O'neill : Daniel !
Jackson : Je reconnais bien sa façon de hurler mon prénom.


Hammond : Vous croyez que le colonel O'neill aurait pu rajeunir de plus de 30 ans du jour au lendemain ?
Jackson : Il en a vu d'autres monsieur.
Teal'c : Pas d'aussi bizarre.
Jackson  : Non, excepté la fois où il s'est transformé en vieillard, ou en cro-magnon ou la fois où des robots nous ont...


Hammond : Bien, en attendant il ne nous reste qu'à l'installer [O'neill] le plus confortablement possible.
Carter : Je vais lui apporter une console.


[Teal'c fouille le frigo de Jack]
Teal'c : Meneriez-vous une expérience sur le développement bactérien ?
Clone de O'neill : Laissez mon reste de chili tranquille !


[Carter en plein briefing avec les pilotes de F-302]
Carter : Si vous regardez votre dossier, capitaine, vous serez que le F-302 est pourvu d'absorbeurs inertiels dont je peux vous parler encore mieux que le colonel, donc veuillez ouvrir le...
[O'neill dans le couloir tente d'entrer mais des gardes surveillent la porte]
Clone de O'neill : Mais je veux seulement dire un petit... Aïe!
Soldat : Désolé mais je vous déconseille de résister.
Clone de O'neill : Lâchez-moi espèce de gros...
Soldat : N'insistez pas !
Clone de O'neill : Je vous préviens une dernière fois et après je m'énerve ! Très bien, vous l'aurez voulu je suis énervé !
[Carter sort de la pièce et voit O'neill immobilisé]
Carter : C'est bon, vous pouvez le lâcher.
Clone de O'neill : Voie de fait sur un officier supérieur, ça pourrait vous coûter cher. Carter. Si j'avais voulu...


[Pendant le même briefing]
Clone de O'neill : Capitaine, je n'ai pas eu le temps de faire coudre de galons de colonel sur mon uniforme. Vous voulez le faire ?


Jackson : [Au clone de O'neill] On a quelque chose à vous dire qui risque de vous déplaire, alors, euh... n'en veuillez pas à Sam quand elle vous l'annoncera.


O'neill : J'ai dormi pendant combien de temps ?
Carter : Environ sept jours.
O'neill : Record battu.


Loki : Je suis généticien, je faisais partie du Haut Conseil Asgard.
Carter : Vous faisiez partie ?
Loki : J'en ai été chassé pour avoir procéder à des expériences interdites sur des humains.
O'neill : Parce qu'il y en a qui sont autorisées ?


Loki : En m'en servant comme modèle, j'espérais réussir à fabriquer un clone susceptible d'abriter toute l'étendue de notre intelligence supérieure. Malheureusement, je n'y suis pas parvenu.
Clone de O'neill : Pourtant avec une intelligence supérieure de cette étendue.
O'neill : C'est exactement ce que j'allais dire.


Jackson : Pourquoi avez-vous repris des expériences qu'on vous a interdites il y a dix-neuf ans ?
Loki : Parce que je croyais qu'O'neill était la clef.
O'neill et son clone : Moi ?
Loki : Je pensais que son ADN renfermerait les informations que je cherchais.
O'neill et son clone : Mon ADN ?
O'neill : [A son clone] Bon ça suffit !
Loki : O'neill s'est montré suffisamment évolué pour recevoir et même utiliser les connaissances des Anciens. Aucun humain n'en aurait été capable il y a à peine une génération. Vous représentez une étape significative de l'évolution humaine.
Jackson : Et vous venez seulement de vous en rendre compte ?
Loki : Je l'ai appris en même temps que les autres Asgards. O'neill est une légende vivante chez nous.


Les Esclaves d'Erebus [7.4]

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Jackson : D'où ça vient, ça ?
Teal'c : Ca vient de O'neill. Il m'offre de la gélatine colorée afin de montrer qu'il compatit à ma douleur.
Jackson : C'est gentil de sa part.
Teal'c : Oui, mais inutile.


[Carter parle d'un film qu'elle vient de voir, probablement The signs]
Carter : S'ils ont réussi a traverser toute la galaxie c'est que leur technologie est assez évoluée. Pourtant ils essayent d'envahir la Terre à mains nues. Et leur point faible, je vous le donne en mille : ils ont horreur de l'eau. Et du coup je ne vois pas quel est l'intérêt d'attaquer une planète qui en est couverte aux deux tiers. Et où il pleut tout le temps.
Jackson : Et quel est celui d'aller voir ces films s'ils sont tellement mauvais ?
Carter : Ca me fait rire à chaque de fois de voir à quel point ils sont loin de la vérité.


O'neill : Qu'est ce qu'il fait, là ?
Jackson : Il est en train de passer ses nerfs sur ce pauvre Jaffa... Imbécile.
O'neill : Je vous demande pardon ?
Jackson : Je vous répète ce qu'il a dit.


O'neill : Bon, il est temps de passer au plan B.
Carter : [Etonnée] On a un plan B ?
O'neill : Non, mais il est temps d'en trouver un.


Jackson : Il nous faut une diversion.
Carter : On a des grenades.
O'neill : C'est pas assez.
Carter : On a des mortiers.
O'neill : [En regardant un vaisseau-mère en construction] On a beaucoup mieux que ça.


Le Réseau [7.5]

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Nevin : Combien de monde vous avez exploré ?
O'neill : J'en sais rien. Des tas.
Nevin : Plus de 10 ?
O'neill : Ouais.
Nevin : Plus de 20 ?
O'neill : Oui.
Nevin : Plus de 30 ?
O'neill : Oui.
Nevin : Plus de 40 ?
O'neill : Oui
Nevin : Plus de 50 ?
O'neill : Oui et peut-être...
Kendrick  : Nevin, laisse nos invités manger tranquillement.
Nevin : Encore plus que 50 alors ?
O'neill : [Doucement, à Teal'c] On va peut-être aller dormir à l'hôtel.


Vaisseau fantôme [7.6]

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Carter : On dirait qu'ils ont été mis en sommeil cryogénique de manière à supporter un long voyage. Si une civilisation ne dispose pas de vaisseau dépassant la vitesse de la lumière, elle n'a d'autre choix que de recourir à l'hibernation. Sinon, les voyages interstellaires lui prendraient plusieurs générations sans parler des effets de la relativité sur...
O'neill : [Exaspéré] Donc le vaisseau est rempli de surgelés.


Hammond : Colonel, Major, vous vous sentez bien ?
O'neill : Mon général, j'ai un marteau dans le crâne.
Hammond : [Amusé] Le colonel est égal à lui-même.


Frasier : Non mon colonel, vous devez rester allongé au moins le temps que vous récupériez.
O'neill : [Essaye de s'asseoir] Je suis en pleine forme.
Frasier : Allongez vous tout de suite.
O'neill : [Quasi incapable de bouger] Bon c'est vrai que ça ne va pas fort.


Teal'c : L'éclectro-encéphalogramme de Daniel Jackson est anormalement confus.
O'neill : Et vous trouvez que ce que vous venez de dire est clair ?


[Frasier vient de transférer les autres personnalités de Daniel dans le corps de Pharrin]
Frasier : Je n'y suis pour rien, c'est Daniel. Sa conscience s'est repliée sur elle-même et il n'a jamais réimmergé plus de quelques secondes. C'est ce qui a permis à Pharrin de séparer les autres esprits de celui de Daniel pour les réabsorber en lui.
O'neill : Plus on est de fous, plus on rit.
Frasier : Il restera en animation suspendue le temps qu'on ranime tous les autres passagers et ensuite ils s'occuperont de lui.
O'neill : Vous voulez dire, d'eux.
Carter : Le générateur à Naquadah fournit toute la puissance nécessaire.
Teal'c : Nous allons pouvoir commencer à réveiller les autres passagers dans quelques heures.
Carter : Et ensuite on les amenera sur une planète accueillante.
O'neill : Parfait. Ceux de SG-4 joueront les agents immobiliers, ils adorent ça.


[Daniel vient de reprendre conscience]
O'neill : Comment ça va ?
Jackson : Mal à la tête.
O'neill : Vous avez un marteau dans le crâne ?
Jackson : Oui, on peut dire ça.
O'neill : Je connais.


Les Envahisseurs [7.7]

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Edwards : Le pentagone veut des croiseurs et des F-302. Nous on cherche le minérai.
O'neill : Et nous on cherche les chercheurs de minerai. C'est simple.


Jackson : Vous vous souvenez de ça ?
O'neill : Comme si c'était hier.
Jackson : C'est dingue qu'il marche encore.
O'neill : Les goa'ulds ont des piles alcalines.


Jackson : Colonel, les Unas défendent toujours leur territoire et si on les provoque, ils peuvent être extrêmement dangereux.
Edwards : [à propos de Jackson] Il est toujours comme ça celui là ?
O'neill : Et encore il est calme.


Jackson : Le colonel Edwards ne sait pas du tout s'y prendre avec les Unas.
O'neill : Ni avec vous. C'est un bon officier qui, vu la situation, a le droit d'être un peu tendu.
Jackson : Oui, c'est vrai. Ce qu'il y a, c'est que j'ai eu beaucoup de mal à vous dresser alors ça m'embête de devoir tout refaire avec un nouveau colonel.
O'neill : Ça va bien se passer. Mettez-y du votre. Essayez d'être un peu moins... [O'neill cherche ses mots]
Jackson : Un peu moins quoi ?
O'neill : Vous savez ce que je veux dire.


Edwards : [à Daniel] O'neill avait raison à votre sujet. Vous êtes un casse-pied hors norme. Mais vous êtes très doué.


La Grande Épreuve [7.8]

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Warrick : Je vous présente Eamon. C'est lui qui a fait du Seberus le vaisseau que vous voyez aujourd'hui. Mais c'est avant tout mon petit frère.
O'neill : Ah bah oui, la ressemblance est frappante. Vos écailles sont du même vert. C'est des écailles, hein ? [Embarrassé]


Warrick : Major Carter, pour être un bon copilote, vous devez connaître le vaisseau par cœur.
Carter : [Elle prend le livre que Warrick lui tend] Qu'est ce que c'est ?
Warrick : Les plans et le manuel complet du Seberus, je les ai faits traduire pour vous.
Carter : C'est très gentil.
O'neill : [Jette un œil au livre] Mais c'est quoi cette langue bizarre ?
Carter : Ce sont des maths mon colonel.


O'neill : Vous venez Teal'c ?
Teal'c : Moi, je reste ici, le Major Carter a demandé mon assistance.
O'neill & Carter : Ah oui ?
Teal'c : En effet.
Carter : C'est vrai, ça m'était sorti de la tête.
Teal'c : Profitez de la visite diplomatique, O'neill.
O'neill : Merci, j'en frémis d'avance.
[O'neill s'en va avec Warrick]
Teal'c : Vous m'avez sauvé Major Carter.
Carter : En effet.


O'neill : Mais combien de fois il faut que je vous le dise ? Ne vous laisssez pas capturer par les méchants.


Le Vengeur [7.9]

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Felger : Le colonel O'neill et moi, on a affronté la mort tous les deux. Après m'avoir décoré, Jack m'a regardé droit dans les yeux et il m'a dit : Jay,...
O'neill : [Entre dans la pièce] J'espère que ça va pas être trop long.
Felger : Colonel O'neill ?
O'neill : Folger ?
Felger : Felger. Je ne savais pas que vous viendriez aussi, mon colonel.
O'neill : Moi non plus.


Carter : Il s'agit d'une arme énergétique susceptible de remplacer les missiles sur le X-303.
O'neill : Un phaser ?
Carter : Plutôt une sorte de torpille à photons.


O'neill : Alors vous préférez rester devant votre ordinateur plutôt que de venir vous promener au grand air avec nous.
Carter : Ce n'est pas de gaité de cœur, mon colonel, mais je pense vraiment qu'il faut creuser cette idée.
O'neill : Qui est de Felger !
Carter : Je vous rappelle qu'il nous a sauvé la vie.
O'neill : Oui, ça faudrait pas l'ébruiter.
Teal'c : Si nous parvenons à désactiver les portes des étoiles à distance, nous disposerons d'un énorme avantage tactique sur les Goa'ulds.
O'neill : Oui, si ça marche.
Carter : C'est ce que je vais tâcher de déterminer.
O'neill : Pensez bien aux lunettes de protection.


O'neill : [Sur une autre planète, contacte Carter restée sur Terre par MALP] Je croyais vous avoir dit de vous méfier de cette espèce de sale rat de laboratoire.
Felger : [Tout bas] Il sait que je suis là ?


Felger : Coupable moi ? Non. Ça a dû prendre au moins mille ans aux Anciens pour construire les portes des étoiles, et moi, j'ai tout détruit en une journée. Sans oublier le fait que j'ai isolé douzes équipes sur d'autres mondes tout en nous privant des ressources nécessaires à notre défense, nous laissant donc à la merci du premier Goa'uld venu. Pourquoi je m'en voudrais ?


Felger : Tout le monde sait que vous êtes parfaite, major.
Carter : Arrêtez, je ne suis pas parfaite.
Felger : Et il faut que vous soyez modeste, en plus. Mais c'est logique, ça fait partie de votre perfection.


Felger : [Sur le point de partir désactiver son virus] Je suis un professionnel, ça va aller.
Chloe : Jay, prenez l'antivirus.


Felger : C'est super de se retrouver là, tous les deux, à l'aventure. Comme si on était les Butch Cassidy et le Kid de la science.
Carter : Butch Cassidy et le Kid se sont fait exécutés par l'armée bolivienne, je vous rappelle.
Felger : Ah oui, j'avais oublié ce détail.
[Un Jaffa apparaît. Carter met Felger à l'abri.]
Felger : Qu'est ce qui se passe ?
Carter : On a un problème.
Felger : Un problème ? Quel genre de problème ?
Carter : Genre armée bolivienne.


Les Amazones [7.10]

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Jackson : [À propos des Hak'tyl] Elles me font penser à l'ancien mythe grec des Amazones.
O'neill : Ah ouais, moi aussi.
Jackson : En gros Teal'c, c'était un peuple de guerrière qui de temps en temps capturaient des hommes dans d'autres tribus pour s'en servir comme reproducteurs. Et d'après la légende, elles se coupaient le sein droit pour tirer plus facilement à l'arc.
O'neill : Ce qui n'a pas l'air d'être le cas ici, elles n'ont pas... d'arc.
Jackson : Oui, bien observé.
O'neill : Attendez, si ça se trouve, c'est pour ça qu'elles nous ont capturés. Elles veulent seulement se servir de nous. Enfin, de nous trois je veux dire.
Jackson : Quoi, comme reproducteurs ? Non, ça m'étonnerait.
O'neill: Vous me connaissez, je suis toujours prêt à rendre service.
Carter : Qu'est-ce-qu'il ne faut pas entendre...


[Daniel explique à Nesa qu'il porte des lunettes car il voit mal]
Mesa : C'est peut-être un symbiote qu'il vous faut ?
Jackson : Merci, ça va aller, les lunettes me suffisent.


[Les Hak'tyl, le peuple d'Amazones, remercient l'équipe SG-1 pour leur avoir donné accès à la trétonine]
O'neill : Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je veux dire n'importe quoi, surtout n'hésitez pas. Téléphonez ou envoyez un coursier.


La Fontaine de Jouvence (1/2) [7.11]

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Colonel Reynolds : Vous n'avez pas confiance dans le plan A ?
O'neill : Vous savez bien qu'ils ne marchent jamais nos plans A.


O'neill : [Par radio] SG-3, ici SG-1, vous n'avez toujours rien à signaler ?
Un membre de SG-3 : Pas pour l'instant mon colonel, la porte est inactive. On reste en position.
O'neill : [à Carter] En attendant, si on faisait un billard ?


Dr Lee : Vous vous sentez pas à l'étroit, vous ? Non mais c'est vrai, ils n'auraient pas pu les faire un peu plus large leurs couloirs.
Jackson : Les mayas étaient peut-être très maigres.
Dr Lee : Et puis faut faire attention au plafond en plus.
Jackson : Ils devaient être maigres et petits.


[O'neill fait un long discours à Ramius qui retient prissonniers les Tau'ri venu capturer le Super Soldat d'Anubis]
O'neill : Salut à vous ! [Il fait le salut vulcain] Alors voilà, vous devez vous dire que nous sommes venus pour vous tuer. Mais c'est un simple malentendu. Non, c'est pas du tout ça. En fait, si on est là, c'est pour vous aider. Si, si, je vous jure. J'ai pas raison ? [Ses compagnons de cellule acquièsent] Vous allez rire, c'est un vrai quiproquo. En fait, nous sommes venus vous protéger d'un assassin et lui, lui, il veut vous tuer. Vous voyez comme c'est curieux ? [Ramius reste impertubable] Bon d'accord. Vous connaissez l'assassin. Il est balèze, il a l'air méchant, il est habillé tout en noir. D'ailleurs, il a failli vous tuer une fois. Enfin bref, c'est lui qu'on est venu chercher, pas vous. Voilà, vous n'avez plus qu'à nous faire gentillement libérer. Et vous n'entendrez plus parler de nous, ni nous de vous, enfin j'espère.
Ramius : Jaffa, Kree!
[Ramius s'en va]
Carter : Joli discours mon colonel.
O'neill : Merci Carter.


Teal'c : Ramius vous forçera tous à mourir pour couvrir sa faute.
Jaffa : Mon dieu va se battre pour son peuple.
Bra'tac : Tu te trompes mon frère, ton dieu doit être à quatre pattes en train de pleurer comme un enfant. Ils ont peur de se battre, ils se cachent et ils n'hésitent pas à sacrifier leurs fidèles Jaffas pour s'enfuir comme des lâches.
[Le jaffa s'en va.]
O'neill : Et nous alors ? C'est bizarre, j'étais persuadé que j'arriverai à le convaincre.


La Cité perdue (1/2) [7.21]

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Contexte : Jack O'Neil a collé sa tête dans une bibliothèque des Anciens pour découvrir l'emplacement de la cité perdue "Atlantis".

O'Neill : Hammond vous envoie prendre de mes nouvelles ?
Carter : Non ! En fait c'est drôle, vous allez rire. Je faisais un tour en voiture, comme ça pour rien, et à force de me balader, j'ai atterri pas loin de chez vous alors euh... (soupire bêtement)
O'Neill : Ah oui, oui, c'est drôle, je ris.
...
Carter : Je regrette de ne pas l'avoir fait !
O'Neill : Quoi ? Coller votre tête dans ce truc ? Vous êtes cinglée ! Carter, vous êtes l'une des plus grandes ressources naturelles de ce pays, voire même ... l'un de nos trésors nationaux !... On avait pas le choix Carter, c'est comme ça !
...
Daniel Jackson : Vous allez rire en fait c'est assez rigolo... Voila, Teal'c et moi on passait dans le coin par hasard et on a vu la voiture de Sam devant alors...
O'Neill : Désopilant !
Daniel : Oui, donc à ce moment là, Teal'c m'a dit... Enfin non, il n'a rien dit mais il a soulevé un sourcil lourd de sens et là, J'AI dis, puisqu'on est là, pourquoi ne pas s'arreter...
O'Neill : Ce sont des donuts ?
Teal'c : en effet !


O'Neill : Non, non, non, vous n'y connaissez rien ! C'est un super analogie ! Monsieur Burns est un Goa'uld ! C'est clair.
Teal'c : Ce n'est qu'un dessin animé humoristique O'Neill.
O'Neill : Ne soyez pas si... superficiel.
Daniel [qui était en train de jouer avec une orange en équilibre sur sa bouteille de bière, la laisse à moitié tomber] : Ne dîtes pas ça, Teal'c est l'homme le plus profond de l'Univers. Je vous assure ! Il est pire qu'Oma ! Dîtes lui vous (se tournant vers Teal'c) à quel point vous êtes profond. (se retournant vers Carter et O'Neill) On va rien comprendre ! Ça va être génial !
...
Teal'c : Pour comprendre la profondeur, il faut savoir chuter !
Daniel : Ah, je vous l'avais dit !
O'Neill : Alors, plus de bière hein Daniel !
...
O'Neill [croyant ouvrir au livreur de pizzas, découvrant Hammond] : Qu'est-ce qui est arrivé à mon livreur habituel ?
Hammond : J'espère que je ne dérange pas !
O'Neill : Non, non, il ne manquait plus que vous !


Daniel : Treize horizontal, vous avez écrit le mot 'Thaonas' !
O'Neill : Oui, et alors ? Qu'est-ce que ça veut dire ?
Daniel : Ne me le demandez pas à moi ! Huit vertical vous avez écrit 'Tracklarouch'.
Carter : C'est quoi la définition ?
Daniel : Euh, d'après le nombre de case et les autres lettres, la réponse devrait être 'identité'. Et le Treize vertical serait 'Sphère'. Jack c'est ça !
O'Neill : Je croyais que c'était moi qui devait me mettre à raconter n'importe quoi ! Mais en fait non !
Daniel : Mais la planète est bien une sphère, et mon identité c'est mon nom !
O'Neill : Notre traducteur a besoin d'un traducteur !
...
Carter : Sept horizontal, corps exerçant une attraction puissant, il a répondu Uma Thurman.


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Saison 8

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Stargate SG-1/Saison 8

Mesalliance (2/2) [8.2]

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Colonel O'Neill [O'Neill est proposé comme général commandant de la base] : Moi qui me rebelle toujours contre l'autorité à la moindre occasion, comment je vais pouvoir incarner cette autorité ? Je ne vais jamais arriver à me supporter !


Saison 9

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Stargate SG-1/Saison 9

Saison 10

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Stargate SG-1/Saison 10

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