William Makepeace Thackeray
romancier britannique
William Makepeace Thackeray (1811-1863) est un romancier britannique.

Mémoires de Barry Lyndon (The Luck of Barry Lyndon), 1844Modifier
Que l’homme qui a sa fortune à faire se rappelle cette maxime : Attaquer est l’unique secret. Osez, et le monde cède toujours ; ou s’il vous bat quelquefois, osez de nouveau, et il succombera.
- Mémoires de Barry Lyndon du royaume d’Irlande (1844), William Makepeace Thackeray (trad. Léon de Wailly), éd. Librairie Hachette et Cie, 1865, chap. XIII, p. 180
La Foire aux vanités (Vanity Fair), 1848Modifier
Le monde est un miroir qui renvoie à chacun ses propres traits ; si vous froncez le sourcil en le regardant, il vous jette un coup d’œil renfrogné. Riez, au contraire, avec lui, et il se montrera bon compagnon.
- La Foire aux vanités (1848), William Makepeace Thackeray (trad. Georges Guiffrey), éd. Librairie Hachette et Cie, 1884, t. I, chap. II, p. 11 (texte intégral sur Wikisource)
- Citation choisie pour le 5 septembre 2016.
L’Histoire de Henry Esmond (The History of Henry Esmond), 1852Modifier
Ce n’est pas de mourir pour sa foi qui est le plus malaisé, maître Harry ; chaque homme de chaque nation a fait cela : c’est d’y vivre qui est difficile, […].
- Henry Esmond : Mémoires d’un officier de Marlborough (1852), William Makepeace Thackeray (trad. Léon de Wailly), éd. Librairie Hachette et Cie, 1882, t. I, partie Livre premier, chap. VI, p. 47