Alfred Bester
Alfred Bester est un auteur de science-fiction américain. Il a gagné le premier prix Hugo du meilleur roman en 1953 pour son roman sur la télépathie : L'Homme démoli (The Demolished Man). Né à New York le 18 décembre 1913, il est décédé le 30 septembre 1987.
L'Homme démoli, 1952
modifierUne dépendance mutuelle implique une foi mutuelle.
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 32 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Les gens anthropomorphisent toujours les objets dont ils se servent.
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 105 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Rien n'est permanent à notre époque, sauf la mort physique.
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 127 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
L'esprit conscient ne peut pas faire face au conflit entre l'inconscient et le monde extérieur. Il regrette d'être né. Il essaie de revenir au stade du fœtus.
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 128 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Les gens s'attendent toujours à ce que les traîtres aient un visage de traître.
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 129 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
On ne peut pas tuer un homme dans un accident de chasse si on ne va pas à la chasse.
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 172 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
La peste sait-elle le péril qu'elle représente ?
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 201 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
La semence sait-elle ce qu'elle est lorsqu'elle ne réussit pas à trouver un sol fertile ?
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 237 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Quand la vie devient trop dure,on a tendance à se réfugier dans l'idée qu'elle n'est que faux semblant... une colossale mystification.
- L'Homme démoli, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1955 (ISBN 2-207-50009-8), p. 243 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Terminus les étoiles, 1955
modifierLa vengeance n'existe qu'en rêve.
- Terminus les étoiles, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1958 (ISBN 2-207-50022-5), p. 185 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Un criminel ne se rend jamais tant qu'il a le dessus.
- Terminus les étoiles, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1958 (ISBN 2-207-50022-5), p. 210 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
La vie est une anomalie : c'est là son espoir et sa gloire.
- Terminus les étoiles, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1958 (ISBN 2-207-50022-5), p. 238 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Il n'est pas nécessaire d'avoir un objet de croyance. Il suffit de croire qu'il existe quelque part quelque chose qui est digne de croyance.
- Terminus les étoiles, Alfred Bester (trad. Jacques Papy), éd. Denoël, 1958 (ISBN 2-207-50022-5), p. 243 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Les Clowns de l'Éden, 1974
modifierLe désir est père de la pensée.
- Les Clowns de l'Éden, Alfred Bester (trad. Guy Abadia), éd. Robert Laffont, 1976, p. 39
L'essence même de la découverte est de trouver ce que l'on n'avait pas prévu.
- Les Clowns de l'Éden, Alfred Bester (trad. Guy Abadia), éd. Robert Laffont, 1976, p. 59
Pour faire en sorte que quelqu'un désire quelque chose, il suffit de lui montrer que quelqu'un d'autre le désire encore plus.
- Les Clowns de l'Éden, Alfred Bester (trad. Guy Abadia), éd. Robert Laffont, 1976, p. 92