Cristina Campo
écrivain, poéte et traductrice italienne
Victoria Guerrini, connue sous le nom de plume Cristina Campo, née le à Bologne et morte le à Rome, est une écrivaine, poète et traductrice italienne.
Citations
modifierLes Impadonnables, 1992
modifierLa vieillesse, oublieuse souvent d'une si large part de la vie passée, se souvient de l'enfance avec une clarté sans cesse accrue.
- Les Impardonnables (1987), Crisitina Campo (trad. Francine de Martinoir, Jean-Baptiste Para & Gérard Macé), éd. Gallimard, 1992 (ISBN 2-07-072619-3), p. 23
Les fleurs ne s'ouvriont pas si nous attendons qu'elles s'ouvrent, mais par leur propre essor elles s'épanouieront quand le temps sera mûr.
- Les Impardonnables (1987), Crisitina Campo (trad. Francine de Martinoir, Jean-Baptiste Para & Gérard Macé), éd. Gallimard, 1992 (ISBN 2-07-072619-3), p. 29
L'attention est le seul chemin vers l'inexprimable, la seule voie vers le mystère. En fait, elle est solidement ancrée dans le réel, et c'est seulement par des allusions cachéees au sein du réel que se manifeste le mystère.
- Les Impardonnables (1987), Crisitina Campo (trad. Francine de Martinoir, Jean-Baptiste Para & Gérard Macé), éd. Gallimard, 1992 (ISBN 2-07-072619-3), p. 211
En face de la réalité, l'imagination recule.
- Les Impardonnables (1987), Crisitina Campo (trad. Francine de Martinoir, Jean-Baptiste Para & Gérard Macé), éd. Gallimard, 1992 (ISBN 2-07-072619-3), p. 211
Le saint est l'homme dans la personne duquel il semble impossible de reconnaître la trace de la blessure originelle, quel que soit le nom qu'on lui donne.
- Les Impardonnables (1987), Crisitina Campo (trad. Francine de Martinoir, Jean-Baptiste Para & Gérard Macé), éd. Gallimard, 1992 (ISBN 2-07-072619-3), p. 303