Chapitre 1, La maison familiale
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Les dures réalités de l’existence m’obligèrent à prendre de rapides résolutions. Les maigres ressources de la famille avaient été à peu près épuisées par la grave maladie de ma mère ; la pension d’orphelin qui m’était allouée ne me suffisait pas pour vivre et il me fallait, de quelque manière que ce fût, gagner moi-même mon pain.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. I, La maison familiale, p. 54
Chapitre 2, Vienne, misère et justice sociale
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Je remercie cette époque de m’avoir rendu dur et capable d’être dur. Plus encore, je lui suis reconnaissant de m’avoir détaché du néant de la vie facile, d’avoir extrait d’un nid délicat un enfant trop choyé, de lui avoir donné le souci pour nouvelle mère, de l’avoir jeté malgré lui dans le monde de la misère et de l’indigence et de lui avoir ainsi fait connaître ceux pour lesquels il devait plus tard combattre.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 58
Vienne n’était pas seulement le centre politique et intellectuel de la vieille monarchie danubienne, mais aussi le centre économique du pays. À l’armée des militaires de haut rang, des fonctionnaires, des artistes et des intellectuels, s’opposait l’armée encore plus nombreuse des travailleurs. Face à la richesse de l’aristocratie et du commerce s’étalait la plus complète indigence. Devant les palais de la Ringstrasse traînaient des milliers de chômeurs, et au-dessous de cette via triumphalis de l’ancienne Autriche, dans l’obscurité et la boue de ses égouts, gîtaient les sans-logis.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 62
Il ne me fut jamais très difficile de trouver du travail, puisque ce n’était pas comme ouvrier spécialisé, mais comme manœuvre ou travailleur auxiliaire, que je cherchais à gagner mon pain.
Je me trouvais ainsi dans la même situation que ceux qui secouaient de leurs pieds la poussière de l’Europe avec le dessein impitoyable de refaire leur existence dans un monde nouveau et de conquérir une nouvelle patrie.
Détachés de toutes les considérations paralysantes de devoir et de rang, d’entourage et de tradition, ils saisissent chaque gain qui s’offre et font toutes les besognes, pénétrés de l’idée qu’un travail honorable n’abaisse jamais, quel qu’il soit. J’avais de même décidé de sauter à pieds joints dans ce monde nouveau pour moi pour y faire mon chemin.
Je m’aperçus bientôt qu’il était moins difficile de trouver un travail quelconque que de le conserver.
L’insécurité du pain quotidien m’apparut comme un des côtés les plus sombres de cette vie nouvelle.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 64 - 65
L’insécurité des salaires quotidiens est une des plus graves plaies de l’économie sociale.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 65
Ainsi, l’homme jadis laborieux se relâche en toutes choses jusqu’à devenir un simple instrument aux mains de gens qui ne poursuivent que d’ignobles profits. Son chômage lui était si peu imputable à tort que, d’un seul coup, il lui est tout à fait égal de combattre pour des revendications économiques ou d’anéantir les valeurs de l’État, de la société ou de la civilisation. Il devient gréviste sinon avec joie, du moins avec indifférence.
J’ai pu suivre ce processus sur des milliers d’exemples. Et plus j’en observais, plus vive était ma réprobation contre ces villes de plusieurs millions d’habitants, qui attirent si avidement les hommes pour les broyer ensuite de façon si effroyable.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 67 - 68
Pour ne pas désespérer complètement des hommes qui m’entouraient alors, il me fallait faire abstraction de leurs façons et de leur vie, et ne retenir que les raisons de leur déchéance. Alors je pouvais supporter ce spectacle sans découragement, alors ce n’étaient plus les hommes qui ressortaient de tous ces tableaux du malheur et du désespoir, de l’ordure et de la dépravation, mais les tristes résultats de tristes lois. Cependant, ayant moi-même bien du mal à vivre, j’étais gardé de capituler en quelque pitoyable sentimentalité à la vue des produits, résultat final de ce processus de dégradation. Non, ce n’est pas ainsi qu’il fallait le concevoir. Et il m’apparaissait que, seul, un double chemin pouvait conduire à l’amélioration de cet état :
Établir des bases meilleures de notre développement en s’inspirant d’un profond sentiment de responsabilité sociale.
Anéantir avec une décision brutale les rejetons non améliorables.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 71
Dès mes années de lutte de Vienne, je m’étais persuadé que :
Le but de l’activité sociale ne devra jamais être d’entretenir une endormante prospérité, mais bien plutôt d’éviter ces carences essentielles de notre vie économique et culturelle, qui conduisent nécessairement à la dégénérescence de l’individu ou tout au moins peuvent l’entraîner.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 72
Mais il sautait aux yeux que l’État autrichien, ignorant toute justice et toute législation sociale, était impuissant à combattre les croissances néfastes.
Je ne sais ce qui m’effrayait alors le plus : la misère économique de mes semblables, leur grossièreté morale, celle de leurs habitudes, ou bien le niveau si bas de leur culture intellectuelle.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 73
Transformer un peuple en nation présuppose la création d'un milieu social sain, plateforme nécessaire pour l'éducation de l'individu. Seul, celui qui aura appris, dans sa famille et à l'école, à apprécier la grandeur intellectuelle, économique et surtout politique de son pays, pourra ressentir l'orgueil de lui appartenir. On ne combat que pour ce qu'on estime ; et pour estimer, il faut au moins connaître.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 79
En défendant contre le
juif, je combats pour défendre l'œuvre du seigneur.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 130
Chapitre 3, Considérations politiques générales touchant mon séjour à Vienne
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Dans le second cas – si fréquent aujourd’hui – moins le chef croit lui-même en ce qu’il professe, plus sa justification en est creuse, terne, plus elle choisit des moyens vulgaires. Il ne songe plus à se porter lui-même sérieusement garant de ses manifestations politiques : on ne donne sa vie que pour ses convictions. Dans le même temps, ses exigences à l’endroit de ses partisans deviennent toujours plus grandes et plus éhontées jusqu’à ce qu’il sacrifie enfin ce qu’il avait encore d’un chef pour devenir un politicien : cette sorte de gens dont l’unique et véritable conviction est l’absence de conviction, associée à une insolence importune et à un art éhonté du mensonge.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. III, Considérations politiques générales touchant mon séjour à Vienne, p. 132
Ce que nous désignons toujours par « opinion publique » ne repose que pour une part minime sur l’expérience personnelle et sur les connaissances des individus ; par contre, elle est en majeure partie suscitée, et cela avec une persévérance et une force de persuasion souvent remarquable, par ce qu’on appelle « l’information ».
De même que les convictions religieuses de chacun sont issues de l’éducation, et que ce sont seulement les aspirations religieuses qui sommeillent au cœur de l’homme, ainsi l’opinion politique de la masse est l’aboutissement d’une préparation de l’âme et de l’esprit souvent incroyablement opiniâtre et profonde.
La part de beaucoup la plus forte prise à la « formation » politique, que l’on désigne en ce cas d’une façon très heureuse par le mot de propagande, incombe à la presse. Elle assume en tout premier lieu le travail d’« information » et devient alors une sorte d’école pour les adultes. Seulement, cet enseignement n’est pas aux mains de l’État, mais entre les griffes de puissances, qui, pour la plus grande part, sont tout à fait néfastes. Encore jeune j’avais eu, précisément à Vienne, l’occasion d’approcher les propriétaires et les fabricants d’idées de cette machine à éduquer le peuple. Mon premier étonnement fut le peu de temps qui est nécessaire à cette puissance, la plus pernicieuse de l’État, pour créer une opinion déterminée, même si elle va complètement à l’encontre des idées et des aspirations les plus réelles et les plus certaines de la communauté. En quelques jours, la presse sait, d’un ridicule petit détail, faire une affaire d’État de grosse importance, et inversement, en aussi peu de temps, elle fait tomber dans l’oubli des problèmes vitaux jusqu’à les rayer complètement de la pensée et du souvenir du peuple.
C’est ainsi que l’on parvenait en quelques semaines à sortir de façon magique certains noms du néant, à y attacher par une large publicité des espérances inouïes, à leur créer enfin une popularité telle qu’un homme de véritable valeur ne peut de sa vie en espérer autant ; des noms qu’un mois auparavant personne n’avait entendu prononcer, étaient lancés partout, alors qu’au même moment des faits anciens et bien connus, relatifs à la vie de l’État ou à la vie publique, étaient enterrés en pleine santé ; parfois même ces noms avaient été prononcés à l’occasion de telles turpitudes qu’il semblait qu’ils eussent dû plutôt rester associés au souvenir d’une bassesse ou d’une coquinerie bien déterminées.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. III, Considérations politiques générales touchant mon séjour à Vienne, p. 162 - 163 - 164
La masse est instinctivement hostile à tout génie éminent. On a plus de chance de voir un chameau passer par le trou d'une aiguille que de découvrir un grand homme au moyen d'un élection.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. III, Considérations politiques générales touchant mon séjour à Vienne, p. 168
La
nature ne connait pas de frontières politiques. Elle place les êtres vivants les uns à côté des autres sur le globe terrestre, et contemple le libre jeu des forces. Le plus fort en courage et en activité, enfant de prédilection de la nature, obtiendra le noble droit de vivre.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 243
La religion de Moïse n'est rien d'autre que la doctrine de la conservation de la race juive.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 270
L'
État est un organisme racial et non une organisation économique.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 271
En suivant attentivement tous les événements politiques, je m’étais toujours extraordinairement intéressé à l’activité de la propagande. Je voyais en elle un instrument que précisément les organisations socialistes-marxistes possédaient à fond et savaient employer de main de maître. Par là j’appris de bonne heure que l’emploi judicieux de la propagande constitue véritablement un art qui, pour les partis bourgeois, restait presque inconnu.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. VI, Propagande de guerre, p. 313
Mais c’est seulement, pour la première fois, au cours de la guerre, que je pus me rendre compte à quels prodigieux résultats peut conduire une propagande judicieusement menée. Ici encore, toutefois, il fallait malheureusement tout étudier chez la partie adverse, car l’activité de notre côté restait sous ce rapport plus que modeste. Mais précisément l’absence complète d’une propagande d’envergure du côté allemand devait crûment sauter aux yeux de chaque soldat. Tel fut le motif pour lequel je m’occupai encore plus à fond de cette question.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. VI, Propagande de guerre, p. 313 - 314
Dans cette propagande de guerre ennemie, je me suis énormément instruit.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. VI, Propagande de guerre, p. 314
Chap 10, Les causes de la débâcle
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Ceux qui connaissent le mieux cette vérité sur les conditions d'emploi du mensonge et de la dénonciation ont été de tout temps les juifs ; leur existence n'est elle pas fondée sur un seul et grand mensonge, celui d'après lequel ils représentent une collectivité religieuse, tandis qu'il s'agit d'une race.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. X, Les causes de la débâcle, p. 407
Pour la masse, la
foi est souvent la seule base d'une conception
morale du monde.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. X, Les causes de la débâcle, p. 471
Les dogmes sont pour les religions ce que les lois constitutionnelles sont pour l'État.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. X, Les causes de la débâcle, p. 472
Le rôle du plus fort est de dominer, non point de se fondre avec le plus faible, en sacrifiant ainsi sa propre grandeur. Seul, le faible de naissance peut trouver cette loi cruelle.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. XI, Le peuple et la race, p. 501
Ici intervient, il est vrai, l'objection spécifiquement judaïque, aussi comique et que niaise, du pacifiste moderne :
L'homme doit précisément vaincre la nature !
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. XI, Le peuple et la race, p. 504
Sans
idéologie, toutes les facultés de l'esprit ne seraient que l'esprit en soi, mais jamais une force créatrice.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. XI, Le peuple et la race, p. 526
Dans quelques dizaines d'années, tout l'Est de l'Asie pourra nommer sienne une civilisation dont la base fondamentale sera aussi bien l'esprit grec et la
technique allemande qu'elle l'est chez nous.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. XI, Le peuple et la race, p. 510
Le
juif forme le contraste le plus marquant avec l'
Aryen. Il n'y a peut être pas de peuple au monde chez lequel l'instinct de conservation ait été plus développé que chez celui que l'on appelle le peuple élu. La meilleure preuve en est le simple fait que cette race a survécu jusqu'à nous.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. XI, Le peuple et la race, p. 527 et 528
Chap 12, La première phase du développement du parti ouvrier national socialiste allemand
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Chacun parle du
racisme comme il le comprend ; mais cette multiplicité d'interprétation ne peut pas être prise comme point de départ d'un mouvement politique militant.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. XII, La première phase du développement du parti ouvrier national socialiste allemand, p. 636
Chap 14, Orientation vers l’Est ou politique de l’Est.
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La France même doit être comptée au nombre de ces États [géants]. Non seulement du fait qu’elle complète son armée, dans une proportion toujours croissante, grâce aux ressources des populations de couleur de son gigantesque empire, mais aussi du fait que son envahissement par les nègres fait des progrès si rapides que l’on peut vraiment parler de la naissance d’un État africain sur le sol de l’Europe.[...] Si l'évolution de la France se prolongeait encore trois cents ans dans son style actuel, les derniers restes du sang franc disparaîtraient dans l'État mulâtre africano-européen qui est en train de se constituer : un immense territoire de peuplement autonome s'étendant du Rhin au Congo, rempli de la race inférieure qui se forme lentement sous l'influence d'un métissage prolongé.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. XIV, Orientation vers l’Est ou politique de l’Est, p. 736
Ce peuple [français], qui tombe de plus en plus au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l'appui qu'il prête aux Juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l'existence de la race blanche en Europe.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. Nouvelles Éditions Latines, 1934, p. 621