Modèle:Citation du jour/26 mai 2013
Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela l’argumentum ad personam pour faire la différence avec l’argumentum ad hominem. — Arthur Schopenhauer
Vous pouvez la trouver sur la page : Arthur Schopenhauer